[Léo, Yoichi, Alis et Sissel] Le prix des rêves

[Men NeN]

Sissel, Alis et Yochi

Pendant que Sissel demeurait sage comme une image, Yochi non loin se mit à frapper le sol avec force ce qui ne fut pas sans passer inaperçu dans une salle où tout le monde est allongé à terre et sommé de fermer sa gueule ^___^

Lawrence, chef sanguinaire tourna la tête dans sa direction avec colère.

« Des revendications peut-être ? » Lâcha t-il avec froideur.

Puis ses yeux s’entrouvrirent un peu plus lorsqu’un boucan du tonnerre raisonna un peu plus loin où deux des preneurs d’otage s’échinaient à installer leur matériel informatique. Apparemment, sans raison valable, leur ordinateur avait prit un mauvais coup et avait été bousculé un mètre plus loin.

Etrangement, Lawrence n’avait pas quitté Yochi du regard, un sourire éclipsa sa colère, puis à nouveau il fut le preneur d’otage au regard froid et impitoyable.

« Manieur de nen… » Sans attendre, il visa Yochi et tira.

Notre ami en camisole esquiva en essayant d’utiliser les otages comme bouclier mais là où ce fut plus compliqué, c’est quand d’autres membres des Anoubis se mirent eux aussi à tirer. Yochi esquiva se protégea tant et plus mais un balle lui frôla le bras entamant la chair et une seconde se logea dans le bas de son dos avant qu’ils n’atteignent les escaliers et parviennent à fuir sévèrement blessé.

Il ne restait plus que Sissel et Alis… ah non, apparemment Alis avait disparut ^^ on, alors juste Sissel qui voyait autour de lui les gens hurler de terreur, deux otages venaient de s’ajouter à la liste des morts.

Les preneurs d’otages ordonnèrent le silence, frappèrent ceux qui refusaient d’obéir et mirent en joue ceux qui n’obtempéraient toujours pas. Lawrence fou de rage, se lança à la poursuite de Yochi, il se retourna quelque seconde et fit le signe quatre, aussitôt quatre des membres d’Anoubis se mirent à le suivre.

Ils prirent les escaliers et disparurent à leur tour.

Alis

Profitant de l’agitation provoqué par Yochi et grâce à d’autres artifices tel qu’un zetsu, la jeune journaliste avait réussi à s’esquiver sans rencontrer de difficulté. L’ascension des marche l’avait amené jusqu’à un couloir long et linéaire. Au loin résonnait des bruits de balles et des cris de douleur et d’horreur alors qu’elle avançait.

Puis ce ne fut plus derrière elle que lui parvinrent des cris de douleur mais également au devant, elle vit courir vers elle l’un des preneur d’otage monté quelques temps plus tôt avec Vanda, il lui manquait le bras gauche arraché par un quelconque moyen des plus violent, il ne restait qu’un moignon sanguinolent, il s’arrêta soudainement et tomba au sol en se tordant de douleur.

Un peu plus loin reposait le cadavre d’un autre terroriste, il était adossé au mur droit, recouvert par une sorte de lierre verdâtre ayant creusé ses racines dans tout son corps. Le corps nageait dans son propre sang.

Face au macchabée, il y avait trois portes donnant sur des bureaux, celle portant le nom de Lionel Limbourg s’ouvrit alors et fut franchit par un homme aux cheveux verts turquoise dont le regard était dur et froid. Décidément. Il tirait avec sa main gauche un filet fait de lierre dans lequel se tortillait un captif qu’Alis put reconnaître entre mille : le fameux Lionel Limbourg.

[Hrp : Alis, je te laisse choisir un avatar pour le vil hunter responsable de la déchéance de Justice. A moins que tu ne préfère que j’en choisisse un moi-même. A toi de voir ^^]

« Pitiéééé. » gémit Lionel. « J’ai fait tout ce que Monsieur JT m’avait demandé, j’ai détruit les tablettes ! Pourquoi vous en prenez vous à moiii. »

« Pauvre imbécile. » Répondit Cheveux turquoise. « Tu as cherché à nous berner et tu as cru que tu t’en tirerais. Je crois que tu as oublié à qui tu avais affaire. »

Dans le dos d’Alis, des cris résonnèrent de plus belle, quelqu’un approchait en courant blessé, elle put voir qu’il s’agissait de Yochi. Cheveux turquoise tourna alors la tête en direction de Alis puis dégaina un pistolet en bois.

« Qu’est-ce que c’est encore ? D’autres être pathétiques en quête d’une mort lente ? »


Yochi

Blessé et handicapé de surcroit, camisole boy monta quatre à quatre les escaliers, perdant petit à petit son sang sur le trajet. Il arriva face à un couloir linéaire avec à sa conclusion des bureaux devant lesquels se tenaient deux silhouettes dont l’une vaguement familière puisque ressemblant à celle d’Alis.

Derrière lui, il entendait les Anoubis s’élancer à sa suite. Prit en sandwich et de surcroit en mauvaise forme, qu’allait faire notre ami au rire si particulier.


Léo

Les deux loustics se mirent à courir vers les portes puis sautèrent par dessus comme s’il s’était agit de saut d’obstacle. De son coté, après avoir escaladé le mur, Léo s’infiltra en toute discrétion à l’intérieur de l’usine tandis que ses deux suivant prenaient à présent les devants en courant vers la porte principale qu’ils ouvrirent d’un coup de pied.

En suivant leurs pas, Léo croisa un type visiblement KO, allongé au milieu de débris de bois. Une fois à l’intérieur, il se retrouva dans une vase salle où trônait une immense chaine de production constitué de cuve géante, de tapis roulant et autre bizarreries dont peut être équipé une usine. Il vit en hauteur, sur une plateforme haute de 5 mètres dont l’accès se faisait par une grande échelle en bois, la silhouette bien connu de la femme en parka entouré de deux types visiblement hostiles à son égard.

Ceux qui l’avaient suivi étaient déjà entrain de gravir l’échelle, ordonnant aux deux autres de les attendre pour capturer la cible. La chasse au bonbon avait tout à coup l’air d’une chasse à l’homme… enfin à la femme ^^
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Men Nen pour nous les hunter !

[Yoichi Fallenstar]

La galère.

Yoichi avait déjà été, plusieurs fois, dans sa courte vie blessé par balle et il n'y avait pas a dire, cela faisait TOUJOURS un mal de chien. Vraiment.
La balle dans son bras lui faisait mal, mais pas trop, ses bras étaient mort depuis longtemps et les terminaison nerveuse était elle même dans un état déplorable, nan la ou le bas blessait, c'était la douleur dans le dos.

Le pire pour Yoichi c'est que son cerveau trouvait ca hilarant, la blague de péter leur matos informatique hilarante, les otages ne lui avait pas permis de s'en sortir indemne se prendre des balles qui lui était destiné hilarant, cette course poursuite hilarante.

Voir Alis au bout de ce tunnel et se rendre compte qu'il attirait vers elle des ennemis : Pas drole. Du tout même. Son cerveau se mit a réfléchir comme un de ces instants fugitifs ou il voyait le monde en possibilité en choix, en route a parcourir pour atteindre son, un but précis.

Il se disait finalement, qu'il avait deux choix, il n'avait que deux choix et sa vie ou sa mort allait être intimement lié a ces deux choix.

Le premier était de continuer sa course et trouver une solution avec Alis, dépasser l espace d'un instant le gars et son gun de bois et s'enfuir par une fenetre par exemple, apres tout d'apres le repérage cela était faisable, pour lui, même dans son état ... peut être pas pour Alis ... Mais il y avait des risques, les gars armé allait tirer et pouvait toucher quelqu'un ... la toucher.

La seconde était de s'occuper de ses poursuivants, de risquer sa vie en les affrontant avant qu'il ne la voie ... il ne s'en sortirait sans doute pas, peu de chance ou avec une chance honteuse. Alis serait saine et sauve car il ne se faisait pas de doute qu'elle puisse s'occuper du gars au gun de bois ... elle arriverai a fuir si elle n'était pas poursuivit par les poursuivant de son "petit frère".

Pour Yoichi le choix était tout trouvé, ou aurait été tout trouvé, il y a de cela 2,3 mois. Trouver une solution pour le sauver lui, a la rigueur en se servant d'Alis et s'enfuir pour se soigner ... et continuer a vivre, survivre ... il y a deux, trois mois ...

Pour la premiere fois de sa vie le regard de Yoichi changea, il fut honnete franc, et infiniment triste.
Puis il sourit a sa soeur, un sourire d'enfant qui rie du simple fait dêtre devant les bras de sa mère, de sa soeur ... car même si elle ne l'était pas vraiment de sang elle était sa seule famille, sa soeur. La seule et unique personne l'ayant choyé et ayant pris soin de lui, sans arriere pensée.

Yoichi ne dit qu'une simple phrase, signifiant toute l'importance de son choix.

"Adieu, grande soeur"

Il fit alors volte face, et se mit a courir sur le mur de l'escalier, puisant dans ses dernieres force pour affonter ses adversaires du jour, pour un dernier combat, pour donner sa chance a Alis et ne pas l'entrainer dans SES ennuis, dans ses ennuis imbéciles. Car elle l'avait changer même si il ne s'en était pas rendu compte, car il ne voulait pas la perdre.
Car il avait trouvé quelque chose a quoi il tenait.

On pouvait déja entendre en bas de l'escalier une phrase

""kufufufufufufu derriere toi""

Yoichi faisait le bon choix.

[Désolé Alis je change un peu ton plan, mais j'ai décidé d'agir comme un gamin de 12 ans que Yoichi est, avec émotion et sans plan. Tu as voulu faire de Yoichi quelqu'un de bien, je pense que tu as réussi, dans un sens. J'agis en pur roleplay et je flippe a mort.
Pour le Mj je suis parfaitement conscient que je risque mon perso et je comprend toutes les repercutions possible, je vais faire de mon mieux pour m'en sortir quand même kufufufufufu, on va tailler dans le gras ]
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- Yoichi Fallenstar -

[Sissel J Tengo]

Les gens ne peuvent donc jamais rester tranquilles ? Un jeune homme camisolé a décidé de mettre le bordel à la situation actuelle. Une course poursuite et une petite fusillade résultat en deux morts chez les otages. Sissel resta calme et ne céda pas à la panique il venait de remarquer quelques choses d’étrange mais sa on le verra plus tard. Un vieil homme s’approcha de notre blondinet pour lui lancer la conversation.

« J'ai vu que vous étiez un utilisateur de nen. Je vous soupçonnais au départ d'être celui qui contrôle les Anoubis. Mais je me trompais.

Je m'explique, tous les gardes restant sont en réalité des créatures faites de nen. Quelqu'un les contrôle à distance, ce n'est pas Lawrence, si on le met KO, nous pourrons tous fuir d'ici.

Etes-vous avec moi ? »

Venir et raconter ces histoires de Nen, cette homme semblait lui aussi en avoir mais comment lui faire confiance.

« Mon cher vous venez à mes cotes en me demandant tout ceci et vous espérez que je vous suive sans me poser de question, c'est bien mal me connaitre. J'ai remarqué que vous aussi possédiez le Nen, je vais vous posez des questions et en fonction de vos réponses j'accepterai ou non de vous aider.

Premièrement j'ai remarqué que vous aviez discuté avec une demoiselle un peu plus tôt, celle-ci a disparu ou est-elle ?

Deuxièmement, comment puis-je savoir que vous n'êtes pas un membre des Anoubis ?

Et pour finir, en tant que gentleman j'aurais souhaité des présentations plus respectable, le moins que vous puissiez faire est de vous présenter. Je me nomme Sissel Tengo »

« Armin Ben Ja, archéologue et hunter de surcroit »

Une Hunter ici ? Et qui plus est ce nom n’était pas inconnu a Sissel, l’homme semblait être l’archéologue de renommer mondial dont il avait entendu parler.

« La fille dont vous parlez s'est échappé par les escaliers pendant que l'enfant en camisole provoquait la pagaille.

Elle m'a d'ailleurs demandé la même chose. Je vais vous le montrer de la même manière. »

Armin passa alors en mode Zetsu en fermant ces shokos puis redevint normal.

« Vous constaterez que les créatures de nen sont toujours là, si j'étais l'Anoubis qui les contrôle, elles auraient disparu. Qui plus est, j'aurai signalé la fuite de la jeune fille si j'avais été membre des Anoubis... bref, ces explications vous satisfont-elles ? »

« Elles me conviennent, j'accepte de vous aider. Mais veuillez ne pas vous méprendre, je vous crois mais je n'ai pas une confiance total en vous, vous me comprendrez au vu de la situation dans laquelle nous nous trouvons »

La méfiance de notre cher Tengo pouvait se comprendre après ce qu’il a vécu il préférait rester sur ces gardes.

« Parfaitement.

Mais le plus important actuellement, c'est de savoir qui manipule ces créatures. J'ignore ce que veulent les Anoubis et ce qu'il prépare mais je n'ai pas l'intention de moisir ici pour le savoir. »

« Je crois savoir qui est le maitre de ces pantins. Tout a l'heure quand le chef des Anoubis est parti il fit le signe 4 de sa main, des lors quatre hommes l'ont suivis en tant normale je n'y aurais pas fait attention mais étant un utilisateur de Nen, j'ai pu voir quatre balles de Nen aller se loger dans le corps les quatre hommes après quoi ils ont commencé à suivre Lawrence.

D'après moi ces quatre hommes ne sont aussi que des pantins, mais le plus important est que l'individu qui a tiré ces quatre balles se trouve ici dans cette pièce, le maitres de ces entités »

Sissel montra alors du regard la personne qui venait de tirer les balles de Nen.

« Voilà pourquoi je ne trouvais pas le responsable, il était caché dans un angle mort par rapport à ma position.

Mais pourquoi les aide-t-il, c'est complètement ridicule, cet homme est un simple amateur d'art, il travaillait avec Vanda et Archibald sur des tablettes Oka récemment découverte lors de fouilles.

On ne s'improvise pas terroriste comme ça... c'est incompréhensible.

Bon vous avez un plan, personnellement, je ne suis pas vraiment tailler pour le combat.

En fait, je ne sais pas me battre. »

« Archibald ? Comment connaissez-vous ce nom ? Connaissiez-vous mon grand-père ? »

Archibald Tengo, fondateur de la société Tengo et qui avait disparu, comment Armin connaissait l’aïeul de notre blond.

« Archibald ? Archibald Tengo ? Vous êtes son petit fils ?

Si je le connais, ce fou furieux à dépenser toute sa fortune pour acheter les tablettes Oka, il est persuadé qu’elles vont le mener à la cachette des armes antique.

Apparemment, grâce à elles, il aurait découvert la chambre du repos, c'est là que seraient caché l'une des armes antique. Seulement... seule vanda Somerhald ou Lionel Limburg savent où elle se trouve étant donné qu'ils les ont traduites pour votre grand père. »

« Sauriez-vous ou il se trouve ? »

« Si vous trouvez la chambre du repos vous y trouverez également votre grand père je pense. »

« Je vois donc je vais devoir trouver Vanda ou bien Lionel... Concernant un plan pour la situation, pour en établir un il faudrait que je sache de quel type de Nen vous êtes ainsi que vos capacités, si cela n'est pas trop vous demander évidemment. »

« Concernant mes capacité... hum, en fait je peux me camoufler dans le décors. Un peu comme les caméléons. J’ai honte de le dire mais cette capacité m'a permis de survire à dans de nombreuses contrés peuplés de fauves sanguinaires. »

« Un caméléon ? Cela est bien intéressant, voilà ce que je vous propose... »

Un plan de contre-attaque se préparer, qu’allait faire Sissel ?
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Sissel J Tengo, "Un Brandy, un Cigare et mon argent je vous prie"

[Léo]

Vous avez déja jouer a Metal Gear Solid, ou a Hitman. Vous savez, ces jeux ou plein de bonne volonté on commence discretement. On progresse a pas feutrés, on longe les murs. A chaque recoin, on guette la présence d'un garde ou d'une caméra. Quand une camera se profile a l horizon, on essaye de rester hors de son champ d action, et si on a pas le choix on s approche en suivant ses mouvements pour ne pas se faire repérer. Ce genre de jeu ou on essaye de ne pas tuer d ennemis, pour que ses petits copains ne se disent pas "C EST QUOI SBRUIT !!!! BAH C EST JUSTE UNE BOITE" ou pire. Ce genre de jeu ou quand on doit malgré tous tuer ou neutraliser on fais ca au silencieux, a la corde a piano ou a l etranglement manuel, un truc discret quoi, en prennant bien soin de cacher les corps pour éviter. Ce genre de jeu ou on est capable d attendre plusieurs minutes dans une boite, derriere une poubelle, ou suspendu a un tuyau que THE occasion se présente.


Ce genre de jeu ou on a tous PETER UNE PUTAIN DE DURITE a un moment donner. Ce genre de jeu ou un ennemi que l on avait pas vu nous surprends avec son petit point d exclamation de merde, ou en criant " HALTE MONSIEUR". Ce genre de jeu ou donc on s ennerve en criant un truc genre " PUTAIN DE TA RACE D ENCULE QU EST CE QUE TU BRANLAIS LA AAAAAAAAAH"
Ce genre de jeu ou on range la corde a piano et ou a la place on sort ( de nul part en general d ailleurs ) un HK416, une minimi, un M4 ou tout autre jouet lancant a grande vitesse un nombre considerable de projectile, suite a la déflagration d'une charge de poudre.


Oui, j'entends par la, ce genre de jeu ou enervé de toute la frustration accumulée les heures précédentes on se lache littéralement, en avancant tel un gros bourrin de Serious Sam pour démonter par centaine des ennemis qui viennent s empaler sur vos balles. Ce genre de jeu ou on deviens un boucher, un bourrin, un gros bill, bref, ce genre de jeu !!!


Et la vous aller vous dire, mais pourquoi il nous parle de ca ce con ? Aller, faites un effort. Vous voyez pas ? Mais si .... Roooh ok jvous aide.


Rappellez vous le contexte : Léo tentant d'infiltrer un complexe de bonbon ( le truc digne du mec qui dis 2 fois son nom quand on lui demande qui il est ! ). Esquive de camera ... placement discret .... infiltration de l usine ... ET LA PAF FINI LA PLANQUETTE.
Encerclée par des mecs visiblement pas super sympa, dans une position peut enviable, malgré sa force quasi légendaire, l objet des recherches de Léo etait la, a proximité et en danger. Le garcon pointa donc en direction de l homme rendu le plus haut sur l echelle la lame de son épée et cria pour que tous le monde sache qu'il était la ... Et qu'on était en train de lui pourrir sa partie


" Va falloir compter sur moi aussi les mecs "
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Léo Vesper

It's time to kick ass and chew bubble gum, but i'm outta gum

[Alis]

Faire marche arrière n'était pas dans les habitudes d'Alis ; ça serait avouer qu'elle s'est trompée. Il n'empêche que monter les marches alors qu'elle entendait l'agitation derrière, la culpabilisait un peu. Elle avait laissé Armin exprès cela dis ; pour sa bonne conscience et persuadée qu'un hunter parviendrait bien le cas échéant à éviter les dégâts. C'était surfait visiblement. En tout cas, ignorante des faits, la rouquine poursuivit sa route avec l'obstination qui lui sied. L'ambiance se révélant toutefois rapidement glauque, on comprendra qu'elle s'y soit lancée à tâtons. La jeune fille pensait beaucoup en cet instant. Notamment, qu'était-il advenu des chiens et des clones ?

- « Fort à parier que ces derniers aient disparu dans un nuage de nen à l'inverse de leurs collègues faits de chair ».

Pour le coupable, elle n'eut longtemps à y penser, ce dernier s'était révélée à elle. Elle le détestait déjà, lui et sa pétulance, et ce serait bien abstenue de lui répondre d'ailleurs. Mais quand on a un calibre pointait sur soi, on ne fait pas sa difficile. Tant pis, elle irait juste avec un peu d'audace.

- « J'en sais rien moi même, ça devient trop compliqué »

D'un déhanché de la tête, Alis pointe le corps couverts de lierre, puis poursuit ainsi.

« Je suppose que c'est de votre fait ? Entre les touristes ; les preneurs d'otages qui en veulent à Limburgs ; vous qui en voulez et à Limburgs et aux preneurs d'otages... je suis un peu perdue. Si vous me faisiez un petit topo, je pourrais déjà vous dire si je suis avec vous, contre vous... ou si j'en ai simplement rien à foutre. Et si vous pouviez aussi baisser votre arme par la même occasion... »

- « Ah... une manieuse de nen prise dans une spirale d’événements qui la dépasse. C'est très simple en vérité, cet homme et la femme qui git dans ce bureau sont mes cibles ou plutôt les cibles que m'ont désignés mes employeurs. La question qu'il vous faut résoudre si vous êtes vraiment celle que vous prétendez être est somme toute très simple : vous me laisser faire mon travail ou vous vous y opposez. Je vous épargne ou je vous tue. Tout comme ces types... les anoubis comme ils aiment à s'appeler »

Bon, il n'avait pas baissé son arme, mais il se révélait plus diplomate qu'il n'y paraissait. Limbourg de son coté jetait à Alis un regard désespéré. Si il savait.

- « Noooon, ne le laissez pas faire, pitié !! »

L'ennemi de mon ennemi est mon ami ; elle est du bon côté se fait-elle la réflexion. Malheureusement, à cette logique, Alis rajoutait l'hypothèse, je protège mes ennemis comme je protège mes amis. Une machine bugguerait à une telle équation ; c'était pour elle le secret, la preuve d'une humanité ; un truc impossible à coder.

- « Enfin, c'est surtout de la bêtise », conclut-elle avant d'appuyer sur le déclencheur de son appareil photo.
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Alis

[Men NeN]

Sissel

Alors que tous s’évertuaient à gagner les étages, notre héros blond lui continuait son bout de chemin au rez de chaussé.

Rencardé par Armin, il mit au point un plan visant à le sortir de cette situation difficile. L’archéologue se mit à ramper jusqu’au coin du mur pourtant aucun des gardes ne fit attention à lui, il se plaqua contre le mur puis tapota contre celui-ci.

Aussitôt, Sissel put à nouveau voir le même manège que précédemment, Armand le pseudo Otage envoya des balles de nen sur des gardes qui se dirigèrent vers Armin tandis que celui-ci se décalait sans doute pour essayer de voir d’où provenait le bruit.

Seulement à présent il n’y avait plus de garde autour du manipulateur et il n’en fallut pas plus à Sissel qui sous la force d’une poussé inconnu fondit sur lui et lui trancha ses mains. L’homme hurla, il gesticula dans tous les sens comme pour essayer de saisir ses moignons, chose assez difficile désormais.

Tout autour les gardes s’évanouirent peu à peu laissant les otages seuls avec le responsable de tout ceci. Bien sur aucun ne compris vraiment ce qui venait de se passer, certains se levèrent timidement puis peu à peu ce fut la débandade et tous se mirent à fuir sans demander leur reste.

Sissel et Armin étaient à présent seuls avec Armand gémissant et se vidant de son sang. L’archéologue lui fit deux garrots puis le blondinet l’interrogea.

« Je… oui, je suis un membre des Anoubis, je… je vais parler mais s’il vous plait ne me tuez pas.

Il y a plusieurs mois Lionel Limbourg est venu me voir, il voulait que je l’aide à convaincre Vanda de travailler pour lui afin qu’elle traduise des tablettes datant de la civilisation Oka. On n’a jamais su comment il les avait trouvés.

J’ai par la suite aidé Vanda à les décrypter, elles révélaient l’emplacement de la légendaire chambre du repos, la tombe du dieu serpent où fut enterré l’un des derniers survivants de la civilisation Yama. Les Yamas ont créés les armes antiques…

Selon les tablettes, Elle serait situé sous le Linx, la statut immense en forme de chat et à tête de femme situé à l’extérieur de la ville. Elles nous apprirent également que dans la chambre du repos avait également été enfermé l’harmonica, l’une des armes antiques…

Alors, a immédiatement récupéré les tablettes, je l’ai surpris au téléphone, il s’entretenait avec un certain Himself_da_god. Apparemment, l’homme lui a donné l’ordre de les détruire. Je croyais qu’il l’avait fait et j’avais perdu tout espoir mais…

Limbourg est un homme cupide, il a mentit et les a conservé, je le sais car il a utilisé un de ses contact au sein de la mafia, Benjamin Linus pour les revendre à un certain Archibald Tengo. J’ai parlé de cette histoire à Lawrence, le chef des Anoubis, un groupe de terroriste.

Nous avons monté cette opération pour essayer de capturer Lionel Limbourg et le forcer à nous indiquer comment accéder à la tombe. Il y a un code sur l’une des tablettes, qui permet d’entrer sans déclencher le piège posé par ceux qui ont construit la tombe, il a vendu toutes les tablettes sauf celle-là.

Il savait qu’ainsi, Archibald Tengo irait droit dans un piège et ne ressortirait pas vivant de la tombe… et Vanda, elle a remit toutes ses notes à Lionel, il est le seul à avoir le code, je… je voulais l’obliger à nous remettre l’ultime tablette pour accéder à l’harmonica. »

Quand Sissel interrogea Armand à propos de Lawrence et de ses capacité, la réponse fut plus brève : « Je… je ne sais pas exactement, il me l’a déjà montré mais, j’ai oublié… c’est très étrange. »


Yochi

Ainsi Yochi tenta le tout pour le tout. Il fonça sur ses poursuivants en train d’escalader les dernières marches.

Un rire étrange résonna derrière eux pourtant seul Lawrence le chef se retourna, les autres firent feu. Balourds et peu rapides, leur tirs furent trop lents pour suivre la course de camisole boy qui se dirigea vers le mur et commença à courir dessus en laissant pendre ses crochets. Seulement en se rapprochant, il réduisit la distance et devint une cible plus facile, une balle atteignit sa jambe puis une seconde son épaule lui érafla la joue droite creusant un sillon qui ne serait pas sans rappeler celui d’un prêtre dans hellsing… le manga bien sur ^^

Aussi lorsqu’il se propulsa au dessus d’eux, ce fut avec ses dernières forces et une douleur attroche dans tout le corps et dans la tête.

Il s’écrasa dans l’escalier qu’il dégringola pour atterrir en bas en sang et à demi mort, il ne pouvait pratiquement plus bouger et ses dernières facultés se résumèrent à assister à la suite des évènements.

Il vit alors les preneurs d’otage disparaître, seul demeura Lawrence qui redescendit les marches en armant son pistolet pour en finir avec lui. Non loin, un autre homme accourait vers lui mais il sombra trop vite dans les ténèbres pour comprendre ce que celui-ci lui voulait.

[HRP : Je te mp certaines infos… d’ici peu ^^]



Alis

Long Shot avait été clair, si le demoiselle lui mettait des bâtons dans les roues, il l’éliminerait comme les autres…

Aussi lorsqu’Alice dégaina un appareil photo, il hésita sur la réaction à avoir, que voulait-elle ? Cette hésitation lui fut fatale, Alice déclencha un flash qui l’aveugla. Elle fonça sur le filet où se trouvait Limbourg pour l’en sortir.

Ou plutôt essaya car si rapide et agile fut-elle, le tireur s’avéra avoir plus de poigne qu’elle et refusa de lâcher prise. Limbourg de son coté se débattit de plus belle, en vain, aussi Alis eut-elle juste le temps de passer la porte du bureau pour s’y barricader laissant de l’autre coté Lionel au prise avec Cheveux turquoise qui retrouvait peu à peu la vue.

« Tu as fait ton choix » entendit-elle de l’autre coté de la porte suivit d’un bang comparable à un tir de pistolet sauf qu’il ne semblait pas avoir visé la porte.

Il y eut d’abord des grincements puis de lourds craquements et enfin on put voir germer une sorte de lierre creusant petit à petit les murs de la pièce et commencer à recouvrir la porte. La plante ne tarda pas à s’attaquer au plancher, il fallait agir vite…

« Ce bureau sera ton tombeau. Adieu gamine. » Entendit-elle alors puis des bruits de pas résonnèrent de plus en plus faiblement signe que le tueur prenait la poudre d’escampette.

Dans le bureau, il y avait justement un bureau ainsi qu’une chaise renversé sur le sol, un grand tapis, des tableaux, deux grandes armoires contenant des objets d’art anciens, une cheminé mais il n’y avait pas de fenêtre.

En même temps, cheveux turquoise aurait été très con de chercher à piéger quelqu’un dans une pièce dont on pouvait s’échapper par la fenêtre me direz-vous, oui c’est vrai ^____^

Assise contre le bureau, Vanda, entrain de se vider se son sang haletait faiblement.

« Ce… ce type est un… un sadique, il ne m’achève… même pas, aaah… il va laisser cette plante nous dévorer… comme les autres.

Lionel… cet escroc a été trop loin.

Il a voulu les escroquer… eux… ce fou… en réponse, ils ont lâché Long Shot. Ce type là… c’est une pointure… un acharné… ne vous faites pas d’illusion… même en sortant d’ici, il ne vous lâchera pas… il finit toujours son travail… toujours… »

[HRP : Je te mp certaines infos… d’ici peu ^^]


Sissel

Alors que le calme revenait, Sissel et Armin virent dégringoler des escaliers un garçon en camisole, criblé de balle. Il s’écrasa sur le sol et roula à quelques mètres du début des marches. Armin s’élança vers lui pour s’assurer qu’il était toujours en vie.

« Il a perdu connaissance… » Signala t-il « Si on ne le transporte pas à l’hôpital, il va mourir. »

Des bruits de pas résonnèrent alors dans l’escalier, Lawrence descendait les marches armé d’un pistolet qu’il pointait sur Armin.

« Je vois que vous avez eut Armand… bien, c’est vraiment une journée désagréable. Puisqu’il n’y a plus que vous deux et ce garçon, je dois vous en tenir pour responsables. Parfait, je vais vous faire payer l’échec que j’ai subit aujourd’hui. »

[HRP : La situation est la suivante, Yochi est dans un état grave, si à la fin de ce tour vous n’avez pas trouvé un moyen de lui faire quitter le musée pour rejoindre un hôpital, il mourra…

Je vous transmets un plan dès que possible, ce soir j’ai plus le temps :(]


Léo

Il arma et fit feu en visant le gus qui était monté le premier à l’échelle, l’idée était assez bonne puisque ce dernier assommé tomba et entraina avec lui l’homme qui le suivait. Peu avant qu’il ne chute et tout le deux, celui qui était encore conscient ouvrit sa bouche et tira une longue langue bleu faites de nen qui se colla à l’échelle et lui permet de se rattraper. Il restât ainsi suspendu puis agrippa les barreaux avec ses mains et redescendit pour faire face à son agresseur.

Non loin, le corps inanimé de son collègue gisait, il semblait juste KO mais après une telle chute, il n’était certainement pas prêt de refaire surface.

« Je vois, on t’a prit pour un intello faiblard mais apparemment tu sais mordre aussi. Bon, je vais te montrer ce qui arrive aux petits malins dans ton genre. »

L’homme se mit alors à courir vers Léo qui se tint d’abord prêt à esquiver puis voyant que son adversaire recherchait le contact activa son nen pour se protéger. En réponse l’homme tira sa langue qui se colla au torse de Léo puis il donna un puissant coup de tête qui souleva notre héros gourmet et l’envoya s’exploser contre un récipient géant.

« Pas trop de bobo j’espère ? Alors comme ça on utilise le nen ? Ahaha amusant, j’aurai dû faire plus attention à ton aura. C’est vrai qu’elle n’est pas comme celle des gens normaux. »

L’homme extirpa de sa poche un rouleau de papier toilette rose, il déchira une feuille qui sitôt entourée par le nen de l’homme-lézard se tint subitement droite et raide comme la justice.

« Allez, tu vas crever maintenant. Tu vas crever à coup de PQ !!!»

[Hrp : Grâce au nen tu as put éviter d’être sérieusement touché par le choc avec le récipient en métal.

Dans le feu de l’action tu as perdu ton arme qui git à deux mètre de toi.

A toi de jouer]
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Men Nen pour nous les hunter !

[Men NeN]

[HRP : Je vous joint l'état des consos en nen ^^

Yochi : -4 pts

Alis : - 1 pt

Sissel : - 3 pts

Léo : - 1 pt]
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Men Nen pour nous les hunter !

[Yoichi Fallenstar]

Perdu dans les limbes, ténèbres abyssaux situés au plus profond de l'esprit de jeune Yochi, Il n'y a plus rien de l'univers dans lequel il gravitait il y a peu.
Juste du vide, exit les preneurs d'otage, le musée, bonjour le vide, le néant, le noir total. Yochi se tient debout au milieu de l'infini soit nulle part puisque l'infinie n'a pas de centre ^^
Face à lui se matérialise son corps baignant dans son sang le fixant avec un sourire figé, sa bouche se met alors à s'articuler.

"Ta vie s'échappe, déjà tu perd conscience, bientôt ton esprit lui même sera aspiré à jamais. Alors tu mourras.

Tu dois rester lucide, tu dois rester connecté à la réalité... concentre toi... j'ai une énigme pour t'aider à rester parmi nous.
Roger est sans abris, pour fumer, il ramasse les mégots au sol. Il lui faut trois mégots pour fabriquer une cigarette. Si il ramasse 10 mégots combien peut-il faire de cigarettes ?"


-----------------------Ca c'était du meujeu ^^ ---------------------------


Yoichi répond du tac au tac tellement cela lui parait simple et évident. Yoichi a toujours été observateur, intelligent. ces derniers temps il a oublié cette partie de sa personalité qui consiste, a toujours consisté a de l'observation. Ici l'observation lui parait simple. L'interet d'une enigme et de donner une réponse simple au chalans histoire qu'il ne voit pas plus loin que le bout de son nez ...

"Bah en faite il peut faire 4 cigarettes vu qu'il va se servir des mégots généré par les cigarettes reconstitués pour refaire des cigarettes ... il utilise 3 fois 3 mégots pour faire 3 cigarette qui généreront 3 mégots qui eux même regénèreront 1 cigarette qui refera 1 mégots ...
si il cherche bien il peut ptet même trouver un 11 mégots pour faire 5 cigarettes ..."

[Sissel J Tengo]

Coupez des mains c’était un plaisir auquel s’adonnait Sissel, tout particulièrement quand c’était des preneurs d’otage. Après s’être donc débarrasser des mains d’Armand, celui-ci n’ayant plus la possibilité de contrôler ces pantins les vit disparaitre ou du moins s’évanouir. En situation de crise l’homme sans mains se mit donc à supplier sa vie, à l’entente de ces mots notre blondinet commença son interrogatoire. Des informations sortaient peu à peu de la bouche du « prisonnier », l’emplacement de l’arme antique sous le sphinx en dehors de la ville, l’implication du hacker Himself_da_god dont il connaissait l’existence grâce à Kokowa et l’existence d’un code cacher dans une de tablette qui permettrait de rentrer dans la chambre secrète. Concernant les infos sur Lawrence, chef des Anoubis, rien.

Armand se tut donc, peut-être à cause de la perte de sang abondante. L’homme semblait pale. C’est à ce moment-là qu’il vit tomber des escaliers un jeune garçon camisolé blessé par balle. Le réflexe d’Armin fut d’aller voir son état de santé qui était visiblement critique, l’emmener à l’hôpital le plus rapidement possible était la seule solution. Sa aurait été trop facile s’il n’y avait pas d’obstacle, c’est ainsi que Lawrence fit son apparition comme un grand méchant dans les pièces théâtrales, il descendit peu à peu les marches des escaliers.

« Je vois que vous avez eu Armand… bien, c’est vraiment une journée désagréable. Puisqu’il n’y a plus que vous deux et ce garçon, je dois vous en tenir pour responsables. Parfait, je vais vous faire payer l’échec que j’ai subi aujourd’hui. », Dit-il en pointant son pistolet vers Armin.

Ce n’était pas le seul à passer une journée désagréable, Sissel a vu sa famille perdre leur fortune, son grand-père avait disparu, son frère ne se manifestait pas et maintenant une prise d’otage, il avait aussi son mot à dire. Mais au vu de la situation il fallait plutôt agir, qu’allait-il faire ?


[court post, Men Nenou si tu pouvais me filer le plan le plus tôt possible pour que j'vois avec ma subtile ^^"]
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Sissel J Tengo, "Un Brandy, un Cigare et mon argent je vous prie"

[Alis]

Une situation désastreuse si il en était ; Alis regardait la nature reprendre son dû d'un air plutôt inquiet. Sa tête pointe alors dans tous les recoins et ne peut que constater l'absence de fenêtres. En l'état, même escalader la cheminée lui semblait une solution plutôt viable. Un bon nen du renforcement aurait facilement su créer sa petite sortie de fortune ; elle, n'avait visiblement pas d'épingles à tirer pour s'en compter de nouvelles. Dès lors, son regard se porte sur Vanda ; que le bien portant compte sur la blessée, c'est dire comme la situation lui est préoccupante. Alis ne veut tout de même pas l'inquiéter, et l'écoute donc posément alors qu'elle lui panse ses plaies. Cette dernière se veut bien moins rassurante par contre, lui affirmant que Long Shot ne la lâchera pas ; qu'il finit toujours son travail.

- « Fort bien, je ne suis pas son travail » objecte la rouquine, en insistant sur le "pas".
- « Mais et vous ? J'ai bien compris l'implication de Lionel dans tout ça, mais votre Long Shot a été très clair. Vous étiez tous deux ses cibles »

- « J'ai... j'ai traduit pour lui des tablettes... des tablettes Oka... elles dataient de l'antiquité... mais au fil de la traduction... j'ai découvert qu'elles révélaient l'emplacement d'un trésor... les armes antiques. Lorsqu'il l'a appris... Lionel a immédiatement cherché à les récupérer. Ceux qui lui ont donné ces tablettes... ils ne voulaient laisser aucune trace... ils... ils ont décidé de supprimer tous ceux qui avaient eut connaissance de leur existence. Même Lionel... »

Visiblement, les plaies sont trop profondes pour être soigner, mais la rouquine ne pensait pas se découvrir des talents de médecin pour commencer. Alis tâche juste de faire un garot, histoire de gagner du temps. L'évident est encore qu'ils doivent sortir au plus tôt. Il est temps d'aborder le sujet, nécessité fait loi.

- « Le nen... apparemment, vous le voyez ; vous connaissez. Est ce que vous possédez un hatsu ? Personnellement je n'en ai pas un qui puisse nous tirer d'affaire. Peut on au moins compter sur le vôtre ? Voir même les nôtres, à deux on devrait bien parvenir à quelque chose... J'aimerais éviter de devenir une vulgaire sculpture sur bois personnellement »

- « Je... je sais juste que Long Shot semblait préoccupé par la cigarette de Lionel... mais... je ne sais pas pourquoi »

Lionel utilisait une cigarette ; un nen de la manipulation ? Cela dis, il importait peu à Alis qu'il ait la solution à leur problème ; il n'était pas là pour utiliser son nen à ce qu'elle sache ?! Par précaution, la rouquine fouille tout de même les tiroirs et y récupère un briquet et quelques cigarettes ; sait-on jamais si ils s'en sortent. Ceci fais, elle refait face à la porte et à ce constat, prend un air dubitatif. Tout ce remue ménage, c'était pour quoi déjà ? Rien. Il y avait juste davantage de lierres et toujours pas de solutions ; un retour à la case départ, en pire. Alis avait à en appeler plus qu'à la chance ; chose par laquelle l'impertinente ne gage d'ordinaire jamais. Le mieux qu'elle puisse encore faire était de ne pas l'attendre, mais de la provoquer. Pas susceptible pour un sou, cette dernière pointa curieusement le bout de son nez alors que l'infidèle faisait tâter de son nen la mauvaise herbe ; pas de réaction pourtant, mais une révélation divine, ou une erreur du maître du jeu, c'est au choix ; ces événements ressemblant davantage à un jeu dont elle ne serait que le pion qu'à une destinée toute tracée.
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Alis

[Léo]

Les choses sérieuses avaient enfin commencées. Non pas que l’enquête, l'infiltration et tous le reste ne l’étaient pas, mais quoi de plus sérieux qu'un combat ?
Si le nen l'avait sauvé de plus gros dégâts, Léo avait quand même a ce moment un peu mal au dos. Il faut dire que le garçon avait fait un beau vol plané. Certes il n'avait pas fait une chute de 36km en direction du sol en dépassant le mur du son, qui ferait un truc aussi débile???!!! Mais malgré ça, son contact avec le récipient en métal lui avait laissé un goût amer. Il ne voulait pas connaître a nouveau la défaite, comme lors de son combat a l'examen hunter. Le garçon se mit donc a réfléchir aux éventualités qu'il voyait.


Déjà même si il s'attendait a ce que ses adversaires puissent utiliser le nen, le fait de voir l'un d'entre eux le faire avait quelque chose de troublant, de stressant, et surtout d’étrange.
Car même si le garçon savait que le nen pouvait se manifester de milles et une façons différentes, c'était toujours et serait sûrement toujours un étonnement sans fin. Car oui, l'homme avait sortit une langue géante et bleu. Une langue collante. Matérialisation ? Spécification ? Autre ? Savoir quel type de nen il utilisait aurait sûrement été une information intéressante pour savoir quelle stratégie utiliser dans ce combat, mais l’expérience du garçon en matière de combat contre un utilisateur de nen était a ce jour faible pour qu'il puisse tenter de jauger ainsi son adversaire.


Cet adversaire était il d'ailleurs seul ? Ce n'était même pas sur. Si l'autre homme semblait K.O, peut être allait il grâce a une faculté reprendre rapidement ses esprits. Peut être faisait il semblant. Peut être, peut être, peut être … Le nen était pour Léo une source de stress grandissante dans les combats. Ne pas savoir ce que l'adversaire pouvait faire a tous moment obligeait a une attention de chaque seconde. Le fait que de son côté le garçon n'avait pas encore réellement travailler sur des techniques d'attaque ne jouait pas en sa faveur. Il avait toujours repoussé en se disant qu'il avait le temps d'y réfléchir et de s’entraîner. Et maintenant il regrettait. Une chose était sur, bientôt il s'y pencherait sérieusement, du moins si il ressortait vivant de cette aventure.
Car si a l'origine, il était intervenu pour aider Maria, c'était lui qui se retrouvait maintenant dans la merde, et il n'avait eu aucune nouvelle de la blonde a parka. Avait elle même remarqué qu'il était ici, et que faisait elle en ce moment il ne savait pas.


Tous ce qu'il savait, c'était que son adversaire tenait dans ses mains des morceaux de PQ rendus aussi affûtés que des lames de rasoir, et qu'il ne comptait pas se torcher avec. Les plans étaient limités. Il devait éviter a tous prix ces projectiles qui sans nul doute lui feraient des dégâts considérables.
Et si il voulait éviter la langue, il devait aussi éviter le corps a corps. Donc, pas de distance, et pas de corps a corps. Ouai, cool c'était un bon plan.
Et pour couronner le tout, son arme se trouvait au sol a deux mètres de lui. Ne pouvait on rêver mieux ? Euh, en fait si, on pouvait.
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Léo Vesper

It's time to kick ass and chew bubble gum, but i'm outta gum

[Men NeN]

Sissel

Ce fut donc notre héros blond qui débuta ce tour en faisant feu sur l’ignoble chef des anoubis qui se baissa pour esquiver. Sissel fonça alors vers lui, il riposta de même en faisant feu à son tour mais Sissel exécuta une roulade sur le coté.

Il y eut cependant quelque chose d’étrange, sitôt sorti du canon, la balle de Lawrence se mit à grossir jusqu’à atteindre la taille d’un ballon de football avec un point d’interrogation gravé dessus. Et lorsqu’elle toucha le sol à coté de Sissel, il y eut d’abord un bruit puis une onde de choc qui projeta Sissel sur le coté.

De son coté, Armin était en train d’évacuer le blessé agonisant, il fut projeté jusqu’à la sorti par une force inconnu tandis que Sissel était affalé sur le sol, à demi hébété par le choc. voyant qu’Armin se faisait la malle, Lawrence profitant de l’état du blondinet à lunette noire pointa son arme pour en finir.

« Adieu, qui que tu sois. »

Sissel tout engourdi par le choc ne pouvait plus réagir…

[HRP : Par rapport à ta défense, utiliser ta TS pour esquiver te coûtais une seconde action, or Armin en était à sa première, tu as donc esquivé par un déplacement]

Alis

Après avoir pointé le bout de son nez enfumé dans le couloir, elle distingua la silhouette de Long Shot remontant le couloir par lequel elle était venue. Apparemment, il ne semblait pas avoir prit note que son lierre avait finit en bois mort et continuait tranquillement sa marche.

Alis après avoir mit Vanda sur la place passager enfourcha son bolide et roula à toute vitesse vers l’homme aux cheveux turquoises. Il se retourna, médusé et lava un bras devant son visage avant d’être percuté puis encastré dans un mur.

L’un des tueurs les plus impitoyables venait d’être victime d’un accident de la route. Et contre cela aucun flash ni radar ne pouvait être de taille. Seulement en y regardant de plus prêt, le bonhomme avait le teint marron et sa peau était aussi sèche que de l’écorce.

En réalité, Alis venait de percuter une statue en bois à l’effigie de Long Shot et dont le front portait l’inscription suivante :

« I GOT U !! »

Un coup d’œil à droite puis à gauche et enfin derrière… rien, plus de trace de Long Shot, le salaud s’était fait la malle. Alors pour faire honneur à la suite des plans d’Alis, notre dame enfourcha sa mot et mit les gaz en direction de l’escalier.

Sissel et Alis

Alors qu’il avait la mort en face et l’impuissance en lui, Sissel vit une moto arriver par derrière Lawrence et le percuter de plein fouet, l’enjambant pour mieux descendre les escaliers avec li bloqué sur la roue avant.

Son sang dessina un magnifique tapis rouge sur les marches et ses hurlements résonnèrent en cœur avec les vrombissements du moteur, créant là une symphonie jusqu’alors jamais entendu d’oreille humaine. Il y avait vraiment une poésie qui se dégageait de ce moment si bien u’une fois l’escalier dévalé, plus rien ne fut pareil.

Alis bien que conductrice émérite perdit le contrôle de son engin qui se coucha au sol tandis que les restes de Lawrence était envoyés quelques mètre plus loin servir de paillassons à la porte d’entrée.

Plus de peur que de mal pour notre motarde et plus de mal que de peur pour notre terroriste des Anoubis qui n’avait pas vu l’attaque venir mais l’avait senti passer. Mais qu’importe, là où il était désormais, il n’y avait plus de souffrance, il avait rejoint un monde meilleur. Que la paix soit avec lui

Et avec votre espriiiiiit.

Bref, il était désormais admis que la situation était résolue, les méchants terroristes étaient tous morts hormis Armand le manchot. Sissel retrouvait peu à peu ses sensation et Alis était de nouveau debout prête à reprendre la route.

Pour gagner du temps et pour faire suite à vos subtiles, Sissel, Alis et Vanda firent route vers l’hôpital où Yochi avait été admis d’urgence sous la surveillance inquiète de Armin. S’en suivirent l’arrivé de la police à laquelle Armand jura de raconter tous ce qui s’était passé pourvu qu’on l’emmène loin du quatuor.

Une fois les forces de l’ordre renseigné par les révélations du terroriste manchot, Sissel et Alis furent remerciés même si la présence d’une moto dans un musée fut à leur yeux un fait des plus aberrent. Il ne fut pas fait mention du nen, chose appréciable et l’affaire fut classée.

Réuni tous les cinq dans la chambre où Yochi sortait de son coma, ils avaient à présent à décider de ce qu’ils comptaient faire à présent. Sissel était toujours à la recherche de son grand père qui semble t-il devait se trouver au Lynx à présent.

Alis avait perdu la trace de Lionel et de Long Shot, Vanda lui révéla que sa prochaine cible devait être logiquement Archibald Tengo qui se trouvait au Lynx à cette heure.

Yochi… que voulait faire Yochi tient au fait ?

[Hrp : Yochi, ta carac constit est actuellement divisé par deux, tes blessures ont été soignés mais elle ne sont pas guérris pour autant, ta santé s’en trouve donc très précaire.

A vous de décider de la suite à donner aux évènements récents ^^]


Léo

Les feuilles de PQ fusèrent tandis que Léo tentait d’esquiver tout en réduisant la distance avec son adversaire. Pas assez agile ni rapide il prit un projectile dans le bas, la blessure fut profonde mais il évita de perdre le bras grâce à son nen.

Arrivé à hauteur du bonhomme, il voulut frpper e tlà, l’homme tira sa langue sur lui mais là était l’objectif de notre gourmet qui coinça l’organe entre ses deux points.

« GAaar… glbll… »

Si l’attaque ne causa aucune souffrance, le méchant se retrouva en tout cas fort handicapé et tenta vainement de se libérer. Léo lui assena alors plusieurs coups qui finirent par avoir raison de lui. Il tomba à son tour KO.

Léo cria alors le nom de Maria pour s’enquérir de la situation de son amie. Pour réponse des corps tombèrent depuis la plateforme, apparemment notre blonde en parka n’en avait fait qu’une bouché.

Elle descendit alors pour rejoindre notre héros amateur de bonbon.

« Léo ? Si je m’attendais à te voir ici. Regarde, j’ai le bonbon. Mais, j’hésite à la manger, c’est une saveur si rare. » Déclara t-elle en montrant un simple bonbon enroulé dans un papier plastique des plus commun.

« Bon, il faut partir, d’autres risque de débarquer. De plus je ne suis pas venu ici pour le bonbon, c’est un bonus pour mon voyage. Et toi pourquoi es tu ici ? »
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Men Nen pour nous les hunter !

[Léo]

J'adore quand un plan se déroule sans accroc. Cette phrase qu'un célèbre fumeur de cigare aux cheveux gris aimait dire n'avait que peu d'application dans la vie de tous les jours. En effet, rares étaient les fois ou dans la réalité les plans se déroulaient sans accroc. En général tous part en couille, il y a des morts, des bras qui volent ou d'autres trucs pas cool.
Pourtant, même si tous ne s'était pas déroulé comme prévu, Léo n'avait pas à se plaindre de la tournure qu'avait pris le combat. Se trouvant confronté a un adversaire maniant mieux le Nen que lui, petit apprenti, le garçon avait décidé de jouer la carte du corps a corps. En effet, son adversaire avait deux façons de se battre. A distance, il envoyait des morceaux de PQ tranchants, et au corps a corps, il disposait de cette langue de Nen capable de soulever un homme, de le projeter, et de faire sûrement plein d'autres choses. Léo avait donc décidé de choisir le corps corps. Et ça avait payé. Certes, il avait pris quelques coups mais rien de grave.
Cependant, une chose était sure dans la tête du garçon Il devait à présent s'entraîner afin d'acquérir une bien meilleur maîtrise du nen. Sa défense ne se basait quasiment à l'heure actuelle que sur l'esquive, et sur la meilleur façon de limiter les dégâts. Il ne possédait pas de réelle techniques de défense. Et pour l'attaque, c'était quasiment pire. Seule son arme et ses poings pouvaient lui servir a mettre hors jeu ses adversaires. Et au cours de ce combat, le garçon avait perdu son arme, ce qui avait réduit largement sa capacité de faire des dégâts. Il lui fallait développé de nouvelles techniques. Des techniques de nen.


Ses adversaires neutralisés Léo put enfin prendre contact avec Maria. Après voir pu constater que la blonde avait mis hors combat tous ses adversaires, le garçon la vit descendre de son perchoir. Et la, l'ado fut envahi par un sentiment étrange. Il avait fait ce chemin pour la revoir. Mais pourquoi exactement ? La réponse, était que lui même ne le savait pas. Il avait eu envie de la revoir, et prisonnier de cet espèce de trouble du comportement il s'était senti obligé de la retrouver. Le problème était qu'il ne savait réellement pas pourquoi. Quand la jeune fille lui demanda donc la raison de sa présence ici, c'est un trouble certain qui envahit Léo. Plutôt que de répondre immédiatement, il se dirigea vers son arme qui gisait au sol, et après avoir regardé rapidement qu'elle n'avait pas subit de dégâts, il entreprit de la recharger en répondant a la question, avec le plus de self contrôle qu'il pouvait avoir.


«  Hé bien, il semblait que tu avais besoin d'aide, et comme je passais par la, je me suis dit que si je laissais la fille de mon maître en danger, il ne me le pardonnerait pas !!! »


Il prit quelques secondes pour voir si la jeune fille croyait dans le bobards qu'il venait de sortir, et avant même de pouvoir lire sur le visage de la blonde un quelconque sentiment, il se reprit de lui même, ne souhaitant pas lui mentir ou lui cacher quelque chose.


«  Nan, la vérité, c'est que je voulais te revoir …. Pour, euh … te remercier !!! Oui, c'est ça, te remercier !!! Te remercier de m'avoir permis de rencontrer ton père, de m'avoir permis de me renforcer. Çà me servira au prochain examen hunter, que je compte bien repasser et réussir a la prochaine session. Même si j'ai pris conscience dans ce combat que j'étais encore faible et qu'il me fallait de l'entraînement, au moins je suis moins faible qu'avant. »


Mais si la jeune fille possédait maintenant le bonbon que tous recherchaient, visiblement elle n'était pas venu pour ça. Faut dire que tant de moyen déployés pour voler un simple bonbon, semblait être un brin abusé, même pour un collectionneur compulsif. Quand la jeune fille lui dit donc qu'il fallait bouger, Léo n'hésita pas un seul instant


« J'étais venu pour te chercher un peu comme jt'ai dis, je m'étais dis que cette histoire de bonbon légendaire t'aurais sûrement attiré ici !!! Mais si tu m'acceptes a tes cotés, je veux bien t'accompagner pour la suite de ce que tu es venu faire, ça me fera sûrement un bon entraînement !!! »
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Léo Vesper

It's time to kick ass and chew bubble gum, but i'm outta gum

[Yoichi Fallenstar]

Vivant ? Ce fut la seule pensée de Yoichi lorsqu'il sentit l'air s'engoufrer dans ses poumons enfantins. Il était vivant, totalement. Eberlué le jeune Fallenstar posa un regard nouveau sur les choses qui l'entourait, un regard neuf Il était en vie et son esprit fou semblait être enfin arrivé a un certain consensus. Il savait, il savait ce qu il devait faire a présent.
il savait, et il allait mettre son plan a execution.

les nombreux mps interchangé entre les joueurs ne pouvant être retranscri a cause de volumétrie, fatigue et maladie de l'auteur, ce dernier va condenser et expliquer ce qu'était leur contenu.
En premier au chevet de Yoichi vint Sissel. Ils parlèrent un peu, beaucoup, assez pour que Yoichi comprenne qu'il devait la vie a ce "grand frere a lunette", assez pour qu'ils mettent en commun leurs infos, dont une de Yoichi. Une tablette était chez Wanda.
Yoichi recut également de l'argent, Un million de jennis pour se soigner et savoir qui avait comanditer le vol des tablettes.
Sissel partit, Alis vint, une discussion commenca ou Alis comprit ou était Yoichi et qu'elle l'avait abandonné, en partie seulement mais quelqu'un d'aussi juste qu'elle ne pouvait voir que ce fait ... elle était a quelques pas de lui et ne l'avait pas aider.

Survint une mini engueulade ou Alis comprit que Yoichi risquerait encore sa vie pour un dénommé Sissel, cité plus haut, inconnu d'elle ... mais bon toujours est il que Yoichi décida d'aller ou plutot de retrouner a l'AnM. Ce qui s'y dit restera entre le joueur et le mj car ... vous n'avez pas besoi nde le savoir.

[Désolé mec c'est méga court, j'ai la crève et je suis au lit avec de la fièvre . Je poste donc ce poste hideux. Désolé.]
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- Yoichi Fallenstar -

[Sissel J Tengo]

Sissel fut donc sauver par une demoiselle en moto dévalant les escaliers, voilà donc une manière de changer les contes habituels ou l’on voit le chevalier sur sa monture blanche ici c’était une rouquine sur une moto. Bref peu après ils s’en allèrent tous dans l’hôpital ou fut accepter le jeune homme blessé un peu plus tôt, après quelques discussions avec la police la situation s’était calmer maintenant vint la suite de l’histoire… des discussions entre joueurs et pnj… Comprenez que le joueur derrière son écran n’allait pas forcement s’appliquer sur la description des discussions mais plutôt les enchainer les unes après les autres.


Sissel/Yoichi (indigo)

« Kufufufufufu ... je suis encore en vie finalement aie »

« Tu as bien de la chance petit, tu aurais dû rester calmement avec les otages »

« Pas faux, kufufufu, t'es qui ? » , demanda Yoichi de son lit.

« Ah mes excuses les présentations avant tout, Sissel J. Tengo, et toi petit ? »

« Yoichi Fallenstar, kufufufu pardon de pas te serrer la main mais j'en ai pas kufufufu »

Sissel sembla légèrement troubler par la situation, ce n’est pas tous les jours que l’on voit un garçon en camisole dire qu’il n’a pas de main.

« Et bien je peux voir ça, que faisais tu donc dans ce musée ? »

Yoichi regarda donc notre blondinet, le scrutant dans les moindres détails avant de lui-même poser une question.

« C'est par ma faute tes blessures ? »

« Mes blessures ne sont uniquement que le résultat de mes erreurs lors de mon affrontement face à ce Lawrence » , rétorqua Sissel.

« Kufufufufufufufuf peuf peuf ... je t'aime bien. T'es comme Alis. Je suis un ancien mafieux, j'ai travaillé pour les Luppertazzi, enfin je suis parti des que j'ai pu ... Il m'est arrivé quelques bricoles et ... bah pour faire simple j'ai la "famille" aux fesses et j'ai besoin d'argent pour aider mes maitres ... je pouvais faire d'une pierre deux coups au musée mais mes nouvelles capacités m’ont rendu orgueilleux et je n'ai pas fait assez attention ... c'est tout »

Sissel fut surpris par les aveux de Yoichi, mais après tout ce monde ne l’étonnait plus beaucoup.

« On pourrait dire que tu as appris une leçon de vie, ne jamais sous-estimer l'adversaire et prendre conscience de ces propres faiblesse »

Yoichi se mit à exploser de rire, tousser, fit une grimace et regarda son ventre...

« Rrrrrr, je vais finir aussi rapiécé qu'un ... qu'un quoi ? Kufufufufufufu Et toi pourquoi tu as pris part à cette attaque ? »

« Je n'y ai pas pris vraiment part je n’étais là que pour rencontre quelqu'un, la situation a dégénéré comme tu as pu le voir. Une occasion s'est présentée et je l'ai saisi afin de nous libérer, nous les otages, de leur emprise. »

« Mmmmm, on sait pourquoi ils étaient là ? Ce n'était pas pour l’argent mais pour autre chose et les luppertazzi sont dans cette ville géré par un certain linus qui ... vit au-dessus du louve ... je sais que je ne suis pas psychologiquement stable et que la parano n'est qu'une de mes démence mais ... ça m'intéresse tu comptes faire quoi grand frère lunette ? »

« La personne que je cherchais se trouvait dans le musée, plus précisément il y avait deux personne : Lionel Limburg et Vanda Somerhald. Limburg serait mort d’après les rapports de la police et Vanda se trouve ici même avec nous, je compte obtenir des informations sur ce qui se trouve dans cette chambre puis y aller pour retrouver mon grand-père. »

« Vanda ?? oooo c'est très intéressant, j'ai aussi des questions pour elle et si je ne me trompe pas j'ai ptet une piste pour toi »

« Une piste ? Raconte-moi donc »

« Il y a un bar en ville ou les gens comme nous échange des infos contre des services, ou de l’argent ... l'un des gars de ce bar m’a proposé une info conter de l'argent ou un vol chez une certaine vanda d'une certaine tablette »

« Intéressant, merci pour cette information je l'utiliserai adéquatement. Nous avons donc besoin d'argent pour obtenir ces informations... mais je dois me rendre autre part... Je te propose ceci, comme tu es celui qui m'a donné cette information, je veux bien te confier de l'argent pour que tu aille nous dégoter ces renseignements, tu connais ou se trouve le bar et tu y a déjà eu accès »

« Je me renseignerai aussi si ils ont un guérisseur... j'aimerai revenir au max de mes capacités car actuellement je ne serai qu'un poids mort. Mais ça te coutera ptet un peu plus cher kufufufufufufu »

« L'argent n'est pas un problème... »


Sissel/Alis (dark red)

La transaction entre Sissel et Yoichi fut faite en toute discrétion, le blondinet s’éloigna alors un peu avant d’aller voir sa sauveuse.

« Bien le bonsoir, tout d'abord je tiens à vous remercier de m'avoir sauvé lors des évènements du musée. L'homme que vous venez de sauver se nomme Sissel J. Tengo »

« Alis. Votre sauveuse. Tout le monde peut se tromper »

La demoiselle répondit sans sourire, mains dans les poches, ce qui qui démontra tout l’intérêt qu’elle porta a son geste : un pur fruit du hasard.

« Je vous avais déjà remarqué avant les évènements, vous possédez la même "caractéristique" que moi si vous voyez ce que je veux dire. Qu'est-ce qu'il vous a amené dans ce musée ? »

« Le blondinet à lunettes noires, je présume ; ça vous va bien en effet. Étonnamment, ça ne me surprend pas que vous soyez ce Sissel. Quand j'y repense, celui en camisole devait bien être Yoichi. Je ne sais pas ce que vous lui avez raconté pour qu'il se mette martel en tête, mais vous avez intérêt à ce que je le retrouve en un seul morceau. Un convalescent, ça devrait rester au lit » , s'énerve-t-elle.

L’énervement d’Alis fit reculer d’un pas notre cher Tengo.

« Pas d’inquiétude, il reviendra avec une meilleur santé que lorsqu'il a quitté cette hôpital. »

« Sinon, vous allez au musée pour quoi, vous en général ? Je vais vous surprendre, moi j'y suis allé pour voir les expositions » , dit-elle d’un ton sarcastique.

Le sarcasme d’Alis le surpris, cette demoiselle avait du caractère et il savait déjà par conséquence que la discussion allait être difficile.

« Et bien ce n'est pas faux, mais combien de chance y a- t-il pour que quatre manieurs de Nen puissent se trouver parmi une prise d'otage. Je vais vous expliquer pourquoi je me suis rendu au musée et vous en échange me dites votre véritable raison ? »

« Pourquoi votre raison doit-elle m'intéresser au point de vous dévoiler mes affaires ? Vous êtes un poil trop curieux Sissel. Ça ne me plait pas. C'est stressant même, je ne vous connais pas ! Quelle vérité espérez-vous entendre exactement ; qu'essayez-vous de m'arracher... »

Alis regarda de travers notre homme a lunette, cherchant visiblement à le jauger, à le comprendre. D'ailleurs sa réponse en elle-même ressemblait davantage à une pensée exprimée à voix haute qu'à une véritable question.

« Et bien tout simplement des informations. Je me suis rendu compte que les personnes ici présentent semblent avoir un lien avec ce que je recherche. Vanda Somerhald possède des informations à propos de ces fameuses tablettes ainsi que la situation de mon grand-père. Yoichi lui aussi semblait avoir des informations.

Si cela vous stresse tant que ça, je vais donc arrêter de vous déranger, veuillez m'excuser si mes questions ont été déplacé. » , Dit-il d’un air respectueux.

« Les tablettes, celle qui mènent aux armes antiques ? Les questions ne me dérangent pas tant qu'elles concernent les autres. Cela dit, si c'est vraiment les armes qui vous intéresse, et si vous avez déjà parlé à Vanda, alors vous devez déjà être au courant du peu que je sais. Ne vous en déplaise, pour ma part, j'étais vraiment venu voir l'exposition, les armes peuvent rester là où elles sont ; même si il y aura toujours des fous comme Limburgs ou Tengo pour vouloir les réveiller »

Sissel retira alors ces lunettes avant de lancer un regard froid en direction de son interlocutrice lorsque celle-ci évoqua les mots « fou » et « Tengo ».

« Très chère avec tout le respect qui vous est du je vous prierai de ne pas insulter mon aïeul de la sorte. »

Le blondinet remit ces Hunter Armani en place avant de poursuivre.

« Mon grand-père ne souhaite pas réveiller ces armes au contraire lui et moi voulons la même chose : les détruire ou bien du moins les cachés en sécurité. Tout sa afin d'éviter que des gens comme Limburg ou bien Lawrence le chef des Anoubis, mettent la main dessus. »

« Ça s'appelle de l'hypocrisie, tout juste bon à vous réconforter dans votre désir de découverte. Vous voulez cacher des armes que d'autres ont déjà dissimulés, au point qu'elles sont devenus des légendes ? Des armes à la localisation secrète et crypté depuis plusieurs centaines, voire plusieurs milliers d'années ? Vous voulez mettre en sécurité des armes, actuellement protégés par des pièges, et par des fanatiques prêts à engager les meilleurs tueurs à gages pour ne laisser aucune info filtré ? Alors dis-moi Tengo junior, qu’apporteras-tu de plus ? Parce que s'il ne s'agissait que de les protéger, détruire les tablettes auraient suffi »

« Les cachés ne sont en qu'en recourt alternative, le but principal est de les détruire. Détruire les tablettes ne sert à rien, il y aura toujours quelqu'un qui saura leur existences. Détruire la source du problème voilà notre réponse »

« Et si vous en êtes incapable ? » , s'exclame Alis.

« Avec le nen, il ne vous est pas venu à l'esprit que cette arme pouvait être une personne ? La tueriez-vous, juste parce qu'elle est une arme ? Ca n'est qu'une hypothèse ; mais à ma place, en sachant ça, à qui confierez-vous leurs destinées ? A ceux qui les ont protégés et les protège encore sans faillir ; ou aux présomptueux qui pensent être capable de gérer une chose qu'ils n'ont jamais vu, ni eu entre les mains ? »

Sissel afficha alors un sourire en coin.

« Une personne ? C'est impossible. Je possède des informations sur les différentes armes et cela inclus le "type" de l'arme, il n'y a aucune arme humaine. » , Dit-il confiant.

Alis n'aimait pas le sourire en coin de Sissel. Elle trouve l'air narquois. Aussi elle fronça les sourcils et frappa plusieurs fois le front du dandy de son index.

« Parce que tu sais comment t'y prendre pour les détruire ? Si non, me prends pas de haut ! T'es juste un arrogant »

Elle commença alors à partir en ronchonnant.

« Dire que c'est pour ces indolents que je m'en vais risquer ma vie »

Après s'être éloigné, Alis semble tilter quelque chose, puis se retourne et adresse la parole une dernière fois à Sissel.

« Et n'oublie pas, fais gaffe à mon frère ! Y a intérêt à ce que je le retrouve entier, sinon je... »

Elle le regarda d'un œil noir, puis passa la porte.


Sissel/PNJ

Concernant la discussion entre Sissel, Vanda et Armin, cela resta un secret entre le joueur et le MJ. En fait pour vous dire la vérité le joueur derrière son écran n’avait plus la force ni l’envie de retranscrire la discussion entre ces trois personnages il décida donc de les sceller en utilisant le système de discussion privée entre jouer et MJ.
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Sissel J Tengo, "Un Brandy, un Cigare et mon argent je vous prie"