Alis Candidat
 Joined: 24 Apr 2012 Posts: 35
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Posted: Wed Apr 25, 2012 11:12 am Post subject: Le nen |
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Le nen, mais pourquoi ?
Le Nen est issu de l’énergie présente dans chaque corps humain. Normalement, l’énergie est scellée dans l’individu et seuls quelques très rares individus sont capables de l’utiliser instinctivement. Ceux là sont bien souvent des génies, des grands maîtres, des surhommes, des esprits purs peu conscients du pouvoir qui sommeille en eux. L’examen d’hunter permet de dissocier ces phénomènes des personnes ordinaires sans avoir à les chercher. En effet, l’apprentissage du nen constitue le dernier et véritable examen pour devenir hunter professionnelle. La raison en est que les hunters aspirent à avoir la force qui leur correspond. De quoi ai-je peur ? A quoi je pense ? De quoi ai-je envie ? Toutes ces choses donnent forme au nen, apportant aux hunters la réponse désirée à leurs manques.
Le nen, mais comment ?
Le nen est la capacité à manipuler librement l’énergie vitale qui émane du corps, également appelée « aura » ; son apprentissage reposent sur les quatre étapes fondamentales suivantes : Découvrir le « ten », apprendre le « zetsu », réussir le « ren », atteindre le « hatsu ». On appelle shokos les ouvertures qui maintiennent l'aura scellée dans le corps.
Découvrir le « ten »
L’aura est projetée dans de simples fuites incontrôlées. Le ten consiste à la réguler ; on apprend alors dans un premier temps, à visualiser l'aura via la méditation. Une pratique du ten régulière ouvrira progressivement les shokos. Ceux des yeux permettront entre autre, de voir l'aura à l'oeil nu. Il sera alors enfin possible de passer à l'étape suivante, le zetsu, ce qui ne signifie pas qu'il faille cesser la pratique du ten. En effet, si le nen est une chose que l'on ne perd pas, cette étape, et les trois qui suivent (zetsu, ren, hatsu), nécessitent un entretien régulier pour garder leur spontanéité. Remarque ; Puisque c’est l’aura qui débride les shokos, le nen d’autrui provoquerait aussi leurs ouvertures ; mais sans maîtrise du ten, l’énergie vitale ne cesserait alors de s’échapper, provoquant la fatigue et parfois la mort de la personne qui s'y résoudrait.
Apprendre le « zetsu »
Le zetsu permet de ramener à soi l’aura émise. A cette fin, on doit forcer la refermeture des shokos. Il va sans dire qu’on se retrouve alors aussi fragile qu’avant notre découverte du nen. L’énergie vitale ainsi revenue permet toutefois de récupérer plus facilement de la fatigue. Le zetsu sert donc au repos ; et à la filature puisqu’elle supprime toutes traces d’aura laissées (le sixième sens, c'est souvent qu'une affaire de perception au nen). Son apprentissage n’est généralement qu’une affaire de pratique et de volonté. Il faut le vouloir. D’ailleurs sans connaissance première du nen, certains chasseurs et prédateurs apprennent naturellement cet art pour capturer leurs proies.
Réussir le « ren »
Le ren consiste à accroitre l’ouverture des shokos pour produire une aura d’un tout autre niveau. Le ren est éprouvant et ne peut être normalement activé que quelques minutes à pleine puissance. En tout cas, il fait de nous des surhumains. Notre résistance, notre tonicité, notre perception, tout cela est sacrément amélioré ; même si ce n’est qu’un instant. Le ren a donné naissance à beaucoup de variantes, tel le Ken, le Gyo... Pour ces derniers, vous en apprendrez plus sur le chapitre dédié aux compétences.
Atteindre le « hatsu »
L'hatsu est ce qui donne de la spécificité à son nen. Parce qu'il est propre à chacun de lui donner une forme, cette étape est aussi appelée "hatsu, les techniques secrètes". Chaque individu possède une affinité parmi six existantes, à qui l'on associe comme en astrologie, un trait de caractère. Pour les plus sceptiques, un test a aussi vu le jour, consistant à remplir un verre d'eau et à y poser une feuille à la surface. Déclencher son "Ren" révélera alors sans échec la nature de votre nen ; sera-t'il du renforcement, de l'émission, de la transformation, de la manipulation, de la matérialisation ou bien de la spécialisation ? La partie suivante "Le nen, mais lequel ?" vous expliquera en détail les spécificités de ces six groupes.
Le nen, mais lequel ?
Toute personne nait avec une affinité particlière pour un type de nen, ce qui ne signifie pas qu'il faille s'en contenter. L'apprentissage des différents hatsu peut se représenter comme une boucle : Renforcement - Émission - Manipulation - Spécialisation - Matérialisation - Transformation - Renforcement - etc, dont la difficulté augmente à mesure que l'on s'éloigne de ses voisins. En étant du Renforcement par exemple, on pourra maîtriser 100 % de ce dernier, 80% de la Transformation et de l'Émission, 60% de la Manipulation et de la Matérialisation et seulement 40% de la Spécialisation.
Renforcement
Le renforcement permet de tout renforcer, ou plutôt ce que l'aura entoure. A l'image du ren, il permet d'abord de se renforcer soi même : sa force physique, sa force défensive, sa capacité de récupération ou de guérison. Mais aussi les objets : la puissance d'un moteur, la rotation d'une toupie. Les animaux : le flair d'un chien, la vue d'une taupe. Ou même les choses impalpables : la chaleur d'un brasier, la densité d'un brouillard.
Ceux du Renforcement sont purs et simples.
Lors du test du verre d'eau, la quantité d'eau augmente.
Emission
L'émission permet de projeter l'aura et de la maintenir hors du corps. Elle est la technique indispensable au combat indirecte ou à distance. Sans elle, le corps à corps est bien souvent la seule option. Il se révèle donc un bon nen de soutien. Sinon l'effet du nen projeté étant semblable à un jet à forte pression, il se révèle également dangereux quand il est manié par un maître en Emission.
Ceux de l'émission sont impatients et caractériels.
Lors du test du verre d'eau, la couleur de l'eau change.
Transformation
La transformation permet d'attribuer des propriétés à son aura ; afin de la rendre rayonnante, électrifiante, brûlante, collante, camouflante, odorante, bruyante, etc. C'est la liaison même entre l'aura et nos cinqs sens. Elle définit comment et avec lequel de nos sens on la perçoit. Un bon hatsu qui manque parfois d'une forme qu'il trouve chez son voisin la Matérialisation.
Ceux de la Transformation sont menteurs et instables.
Lors du test du verre d'eau, le goût de l'eau change.
Manipulation
La manipulation permet de manipuler l'aura. Cette dernière peut ainsi se déplacer selon des motifs compliqués ou même à la pensée. Elle est également permise d'être malléer selon toute disparité. Ceux de l'Emission apprécieront d'avoir une boule de nen téléguidable, tout comme ceux de la Matérialisation apprécieront d'avoir une arme dont l'allonge s'allonge.
Ceux de la Manipulation sont patients et réfléchis.
Lors du test du verre d'eau, la feuille bouge.
Matérialisation
La matérialisation permet de donner une forme à son aura. Une spécialité souvent dépréciée parce qu'elle ramène le nen à une force déjà existante. Il est vrai qu'un nen de la matérialisation ne garantira pas plus d'efficacité que la meilleure arme déjà forgée. Pourtant mère nature a fais bien des choses par lesquelles on ne saurait commencer pour les reproduire. Sinon dites vous qu'on a rarement associer mieux qualité et quantité ; si un shuriken de bonne facture ne vous suffit pas, envoyez en donc mille.
Ceux de la Matérialisation sont nerveux et concentrés.
Lors du test du verre d'eau, des impuretés apparaissent.
Specialisation
La spécialisation permet de spécifier son nen. C'est ici que se regroupe les spécificités que l'on ne trouve pas dans les autres hatsus. On y retrouve notamment des attributs d'ordre psychique : troubles, télépathie, amnésie... ; d'ordre empirique : chance, règles, déraison... ; ainsi que d'ordre du nen : vol, copie, prêt...
Ceux de la Spécialisation sont individualistes et charismatiques.
Lors du test du verre d'eau, un autre changement que ceux déjà annoncés s'opèrent.
[EDIT: J'ai viré les balises bizarres.
Jolie initiative.
Bienvenu Chez nous.
AKA Mathieu©] _________________ Alis |
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