[Alis, Yoichi, Kabbale, Wildrej] Mystère et boule de riz

[inland]

Mafia Camping.
PJs concernés :Yoichi et Alis
Lieu : campement Lupperttazi, quelque part au Japon

Le dirigeable marqué d’un « L » survole un campement de fortune rappelant les champs de bataille de l’époque féodale. Encerclées par une forêt de bambous aussi sauvage qu’épaisse, des centaines de tentes se dressent, de milliers de couleurs différentes, cousues mains. Pendant le voyage aérien, d’autres hommes de mains venus gonfler les effectifs de « La coutière » ont prévenu Yoichi : il s’agit de la plus singulière des 10 Capos des Luppertazzi. Nomade, non conformiste au possible, caractérielle, mais aussi maternelle : tant de mots qui tendent à brosser le portrait de cette femme sans nom bien mystérieuse.

« C’est la spécialiste des déplacements, de la géopolitique et des frappes éclairs de la Famiglia. C’est surtout la plus nice ! Vous avez de la chance d’être nommés sous ses ordres » lâche le pilote, le pouce levé, en invitant la petite troupe d’un coup de tête à descendre de son ballon.

Yoichi est rapidement placé en file indienne avec tous les autres hommes (une vingtaine) qui l’ont accompagné, tous comme lui de jeunes recrues. Il est le dernier de la liste. En face, une immense tente fushia de style oriental les attend. Les bonhommes rentre tous un à un. Pour camisole boy le temps parait interminable quand vient enfin son tour. Il découvre alors un intérieur majestueux, riche en meubles remplis à rabord de rouleaux de tissus, de soie, de laines dorées. Le sol est en peau de bête. Au milieu, derrière une petite table en bois, une femme est penchée, elle s’affaire sur une machine à coudre avant de lever la tête.



« Bonjour petit homme. J’ai beaucoup entendu parler de toi. En bien ou en mal, peu importe, disons juste que mes oreilles n’ont pas été insensibles. Je suppose que l’on t’a déjà tout dit, mais que ce soit bien clair, je suis l’une des dix Capos de la Famille, et si avant ça tu étais sous les autres de ce bon à rien de Fulvio, maintenant tu es sous les miens. Je n’ai pas de nom, alors tu peux te contenter de me tutoyer, j’aime être proche de mes hommes. »
Elle marque une courte pause puis enchaîne.
« Pour te souhaiter la bienvenue chez moi, et pour te récompenser de quelque uns de tes… mmm… exploits… J’ai répondu à ta requête que j’ai reçu en télégramme. Et je t’ai cousu ça de mes propres mains. »

Elle se penche puis jette sur la tableau un petit paquet en carton.

« J’ai également un autre présent pour toi… » rajoute t-elle d’une voix suave.

Elle se lève, s’approche d’une malle en bois d’un pas félin, ouvre le cadenas qui y est attaché pour découvrir un corps : celui d’Alis. La jeune femme a l’air engourdie, elle a les mains attachées dans le dos et un foulard dans la bouche.

« Tu ne la connais peut être pas mais vous êtes lié plus que de raison. Elle s’appelle Alis, plus connue sous le surnom de Justice. C’est la journaliste qui t’as rendu si célèbre pauvre petit. Tu as fait les premières pages il y a deux jours je te rappelle. Ta tête était dans le Daily Padokia, puis reprise partout ailleurs. »

Alis, qui a tout entendu de la conversation enfermée dans le coffre, est sans doute déconcertée par tout ça. Sa position, sa situation : rien n’est clair, mais terriblement effrayant. Comme un flash, elle se souvient alors. Sa nuit à l’hôtel au Port le lendemain de son enquête, et l’explosion qui la réveille à 3h du matin. Quand elle se rue à la fenêtre de sa chambre, elle peut voir les flammes qui investissent le QG du Daily Padokia. Faire un article –aussi retentissant- sur le meurtre perpétué par la mafia a toujours de fâcheuses conséquences. Il était temps d’en payer le prix. La journaliste a à peine le temps de réaliser l’incendie criminel du bulding d’en face, qu’une ombre surgit, l‘immobilise et l’endort avec un tissu imbibé d’éther.

Combien de jours sont passés depuis ? Où est elle ? Tant de questions.

« On pourrait la tuer, bien entendu. Ce ne serait que lui rendre la monnaie de sa pièce. Et les Luppertazzi ne sont pas connus pour pardonner. Mais on pourrait aussi l’utiliser… Ses talents d’investigatrice ne sont plus à démontrer. Sa pige sur l’incident de l’entrepôt B-19 était un coup de maître. Pour le coup, tu t’es bien fait avoir Yoichi Fallenstar. »

La couturière avance en souriant et vient enlever le foulard qui empêche Alis de parler.

« Les Luppertazzi ont la main mise partout sur le monde, sauf ici au Japon. Nos concurrents locaux, les Yakuzas, nous mènent la vie dure, ils ne lésinent pas sur les moyens pour conserver leur du. J’ai été envoyé ici avec mes hommes par le Boss en personne pour sécuriser un territoire pour la Famille. Malheureusement, deux frères haut placés de la mafia locale du nord nous empêchent de remplir cet objectif. »

Nouvelle pause, pendant laquelle la femme se rassoit et range sa machine à coudre, sous une bâche en plastique.

« Vous avez peut être entendu parler d’un pouvoir secret, d’une énergie que seuls certains hurluberlus se disent capable de maîtriser. Vous avez peut être vus à la télé, Des gens capables de tordre une cuillère par la pensée. Vous avez même peut être été confronté directement dans votre vie à des phénomènes étrange et inexplicable. Mon petit Yoichi, vu ta particpation à l’Examen Hunter de cette année, ça ne m’étonnerait guère que d’apprendre que tu as assisté à certaines choses… spectaculaires, de la part des examinateurs notamment.

Je ne m’étendrai pas sur le sujet, cela reste assez confidentiel dans le mieux, mais disons que les deux frères à problèmes ont accès à ce pouvoir… qui s’avère extrêmement puissant et ravageur, surtout pour mes hommes. Une vraie plaie. Le cadet par exemple, peut faire jaillir des flammes de ses mains… un vrai magicien. Le problème c’est l’aîné. Personne n’est en mesure de me dire quelles sont ses capacités. Tous ceux qui l’ont croisés ne sont jamais revenus il faut dire…

Je veux que vous fassiez équipe pour enquêter et comprendre les pouvoirs de cet homme. L’information est une arme précieuse pour gagner la guerre, sachez le. A la clé, Yoichi tu pourras prétendre de passer d’homme de mains à soldat, quant à toi Alis, à une mort peut être moins douloureuse… Je ne vais pas te mentir, la Famille ne te laissera jamais repartir vivante, tu en sais beaucoup trop désormais. »

[Pour info, Alis vu ton métier, tu as entendu parler des Luppetazzi. Plus grosse organisation criminelle de son temps, cette mafia tentaculeuse est aussi puissante que crainte et respectée. Infiltrée dans tous les milieux et surtout à dans les strates supérieures, elle n'hésite pas à employer ses relations pour assoir son pouvoir. Assassinat, drogue, blanchiment, commerce du corps, paris frauduleux et casinos constituent pour beaucoup son pain quotidien.

Pour le reste, une petite intro habituelle, assez longue, je ne donne pas plus de renseignement pour le moment, j’attends de voir vos réactions à chacun^^ à la semaine prochaine]

Tourisme médical.
PJs concernés :Wildrej et Kabbale
Lieu : Village de Yari, nord du Japon

La nuit, et avec elle la lune rayonnante accompagnée de ses filles, les étoiles. Un petit village de campagne japonais de 500 âmes tout au plus, installé en haut des montagnes, saupoudré d'une neige fine qui n'arrête pas de tomber. Les toits des maisons faites de bois sont blancs. C'est assez rustique. Wildrej et Kaballe qui déboulent ici ont cette impression de voyager dans le temps, revenir un siècle ou deux en arrière.

Le duo mono bras après avoir embarqué depuis la République Padokia dans un bateau de tourisme low cost, s'est risqué à prendre une route sinueuse au creux des falaises pour débouler ici, dans le coin du cul du monde, où pas un chat ne pointe son nez. Pourquoi ici ? Pourquoi le Japon ? Terre de légende où les mythes et les miracles prennent vie, c'est ici plus qu'ailleurs qu'ils espèrent trouver un remède divin. Plus qu'un pèlerinage, un véritable enquête au milieu du froid.

C'est le conducteur du bateau de la Sky Compagnie, qui leur a parlé de ce village perdu : Yari. Selon les dires de ce vieux marin japonais au front dégarni et amateur de bon vin qui a pris les deux loustics en affection, c'est ici qu'une de ses arrières grand tante du côté de son père aurait retrouvé la vue. Des ouïes dires confirmés au port d'arrivage par des marchands de vases, de fruits et légumes ou encore de soie. L'un aurait connu un voisin qui aurait arrêté de boîtier après 20 ans de rhumatisme, l'autre, un ancien collègue boucher qui aurait retrouvé son pouce, coupé d'un coup de hachoir 5 ans plus tôt. De la pure magie !

Dans ce village des plus austères rien ne laisse affirmer en tout cas toutes ces informations, c'est d'ailleurs plutôt mort. Les cheminées fument et la lumière pulse aux fenêtres, signe qu'il y a de la vie mais personne n'est à l'extérieur -étant donné la température ce fut étonnant. A part un chat de neige qui miaule à mort, tout est calme. Autour de ce qui peut être vu comme la place du village, cheveux verts et cheveux verts déchiffrent divers panneaux sur quelques bicoques : une boutique d'apothicaire, une traditionnelle taverne et la maisonnée d'un forgeron. Un panneau pointant la nord, indique à des kilomètres de là, un temple en ruine autrefois majestueux. La silhouette de l'édifice se dresse en haut d'une colline à la pente abrupte.



Et puis il y a surtout ce qui ne sautait pas aux yeux au premier coup d'oeil mais qui intrigue maintenant à raison nos deux bonhommes : un tas recouvert d'une pellicule enneigée. Qui à y regarder de plus près est en fait un amas de corps humain. Entreposés dans un coin, trente et quelques corps ! Tous calcinés ! Morts par le feu ! Au milieu de ce froid !

Mais diable où sont ils tombés ? Kabbale et Wildrej ont le choix : partir ou rester.
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« Voici ma carte. »

[Kabbale]

Quel voyage... Kabbale fauché comme les blé se demandait encore qui avait bien put avancer l'argent pour le transport? le type aux cheveux verts peut-être.

"Ce serait donc la terre de légende où les membres repoussent et les bobos guérissent ? Étrange, j'aurais juré que c'était le Japon."

Cet endroit ne comptait pas parmi ses préférés, il n'y était jamais allé mais les rumeurs qui courrait sur ce pays avait suffit à l'en dégouter. Lorsqu'il foula le sol neigeux d'un petit village côtier, ses aprioris n'en furent que renforcer.

"Cette charmante examinatrice nous a laissé un mystère sur les bras... Je ne vois pas en quoi ce genre de coin pourrait abriter un mec capable de faire repousser l'entrejambe d'un eunuque.

Si je possédais un don de ce genre, je le vendrai à prix d'or dans les grandes villes. Ne me dit pas qu'on est tombé sur une mère Térésa en kimono -___-"

Croisant la route d'un chat de neige, Kabbale se pencha et se mit à le caresser tout en sifflant. Pauvre petite bête, par ce froid, c'était scandaleux de le laisser moisir dehors.

Puis il jeta un regard en direction des cadavres.

"Redoutable ce chauve O___o"

Il invita le chat transi de froid à partager son poncho puis se dirigea vers la "taverne" du village d'un pas tranquille.

"Je vais à la taverne, il parait qu'un chauve très balèze s'y trouve, preuve à l’appui des cadavres qui se trouve la bas. Tu viens ?"Demanda t-il à Wildrej

Il se stoppa soudainement puis tourna la tête en direction d'une habitation situé non loin.

"Quoi que... c'est une idée idiote mais... oe =) c'est même stupide mais j'ai envie d'essayer quand même "
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Kabbale

Acheter chez Francis !!

[Yoichi Fallenstar]

Yoichi s'était tut durant un bon gros moment, l'oeil vide, ne riant pas, le jeune garcon était étrangement calme. Il avait avancé avec les autres "recrue" sans leur préter attention, a aucune d'entre elle. Il n'avait pas essayé de se lier avec ... il était calme, étrangement calme. Dans la tente, il avait esquicé un sourire pour sa "commande". Il entreprit de l'enfiler sans mot dire, son sourire dérangeant naissant sur son visage enfantin. Pus vint le second cadeau.

« Tu ne la connais peut être pas mais vous êtes lié plus que de raison. Elle s’appelle Alis, plus connue sous le surnom de Justice. C’est la journaliste qui t’as rendu si célèbre pauvre petit. Tu as fait les premières pages il y a deux jours je te rappelle. Ta tête était dans le Daily Padokia, puis reprise partout ailleurs. »

Il tourna la tête vers Alis, et aussi surprenant que cela puisse paraitre, son oeil s'allume comme celui d'un enfant a qui on avait présenté le pere noel Il se rua vers elle et fléchit les genous pour arriver a sa hauteur et en souriant de toutes ses dents, colla presque son visage au sien.

"Ahhhhh, kufufu c'est toi, super photo! T'as vraiment pris de belles photos. Et t'es rentrée comment, jt'ai pas vu kufufufu, t'a vraiment bien géré, et pas un flou en plus ... ravi de faire équipe avec toi "

Il l'observa encore un moment, visage a visage, souriant de toutes ses dents, avant de s'éloigner, pour se positionner de nouveau a sa capo. Elle leur raconta une histoire qui faisait écho a l'interet du garcon pour les hunters et a ce qu'il n'avait pas compris durant l'examen. Néanmoins devant sa capo il conserva ce même sourire de folle-dingue.

Puis il fut temps de partir et accompagné d'Alis il s'écarta du camps. Assez éloigné pour ne plus etre entendu, il fouilla (avec ses pieds toujours) la jeune femme puis le demande de faire de même avec lui, il ne faisait pas confiance en la famille et se demander si il ne lui avait pas colé un traceur. Qu'elle accepte ou qu'elle refuse il lui parla en ces termes.

"Kufufu, t'es autant dans le caca que moi kufufu ... Ecoute, j'ai pas vraiment envie de te tuer ou même de te garder prisoniere, mais j'ai pas le choix, je me suis retrouvé ici car je voulais participer a l'examen Hunter ... j'ai échoué, donc j'ai pas put me servir de mon rang Hunter pour quitter la mafia ... kufufu c'est un beau foirage éhéhé"

Il sourit, il a douze ans, il n'a pas l'air méchant au fond (sauf qu'elle l'avait vu tuer de sang froid des gardes ... elle avait des photos).

"Enfin, si tu veux partir, tu peux, ils vont te poursuivre par contre, vraiment. Perso je suis obligé de rester avec eux, alors crois moi ou pas, mais je pense qu'on a comme seul moyen de coopérer.

Ils ont parlé de pouvoir, face auxquels ils ne peuvent rien, toi et moi on a aucun interet a leur donner des infos sur ce pouvoir, mais tout interet a l'apprendre si ca s'apprend ou a le piquer si ca se pique... t'en pense quoi kufufu. Tu peux partir je ne plaisante vraiment pas mais nos chances de nous en sortir a deux sont plus grandes."

Son discour avait été entre-coupé de rire, plutot sinistre. Le garcon était fou après tout.
Il prit un moment pour la reflexion et continua.

"Si tu te demandes pourquoi je fais ca, c'est simple kufufu. Si tu m'aides je t'aides pour ton article sur la famille ... Justice signifie que tu as une grande valeur morale, et tu vas vouloir les faire tomber. J'ai pas mal d'info perso, je te dirais ce que je sais en échange, tu lavera mon nom pour que je puisse rentrer plus tard au pays ... Pour cette partie je te laisse réfléchir."

Il s'étira, fit quelques saut et marmona dans ses dents.

"Elle a fait un beau boulot ... pile poil ce que je voulais"
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- Yoichi Fallenstar -

[Wildrej Jelkama]

Si Kabbale se demandait encore comment et qui avait payer le voyage, il aurait sans doute eu un début de réponse en regardant son acolyte vêtu d'une doudoune blanche à fourrure. Oui, sauf que cette doudoune était un modèle pour femme, et que Wildrej l'avait subtilisé lors de leur voyage !
Conclusion, Cheveux Verts n'avait pas un radis non plus !

Si le haut du corps était à peu près à température, ce ne sont pas ses étranges patins blancs qui lui tenaient les orteils au chaud ! Mais vu qu'il faisait des économie d'énergie – puisqu'un seul bras à chauffer – il ne le ressentait pas trop.

Les deux hommes progressaient donc dans cet étrange village. Pas un bruit. On entendait la neige tomber et s'entasser sur les toits ainsi que sur le sol.
Tout était paisible. Wildrej se sentait bien dans cette atmosphère. Le col de sa doudoune relevé, on ne distinguait que ses yeux. Ainsi, il respirait dans son manteau et se réchauffait par son souffle. En regardant autour de lui, il aperçu ce qui ressemblait à un gigantesque temple, au loin ; plutôt intrigant. D'un geste de la main, il balaya devant son visage, essayant de dégager les flocons de neige afin d'avoir une meilleure vue. Peine perdue, le jeune homme se rendit à l'évidence qu'il faudrait s'y rendre pour se faire une vraie idée de l'architecture de cette mystérieuse construction.

De son côté, Kabbale s'était fait un nouveau pote : un chat. Et il avait aussi trouvé matière à jouer : un amas de cadavres.
Sûrement une coutume locale, en tout cas notre manchot ne cilla pas et d'un revers de la main, il dégagea la neige qui s'était accumulée sur les corps. Une moue de suspicion lui échappa lorsqu'il constata qu'ils étaient tous calcinés.
Instinctivement, il leva la tête et scruta les alentours. Comme si il se sentait observé.

« Ils ont peut-être été brûlés à cause d'une sorte d'épidémie... C'est ce qu'on fait parfois... »

Lentement, il rentra sa main dans la poche de son gros manteau en prenant soin de l'essuyer avant. L'autre manche avait été coincée dans la poche de droite. Ainsi on avait l'illusion d'un homme qui avait ses deux bras.

Sans poser de questions, Wildrej, emmitouflé dans sa doudoune blanche, hocha la tête en guise de réponse et emboîta le pas à Kabbale, tranquillement, comme à son habitude...
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~ Wildrej Jelkama ~

[Alis]

Sans repère, Alis est plus inquiète que jamais et réagit à la peur à sa manière ; soit avec impatience et énervement. Elle s'agite, fait autant de bruit que le permet son bâillon. Kidnappée durant la nuit, on ne s'est guère embarrasser de mieux la vêtir. En tenue de nuit, culotte et chemisette, la jeune femme se sent dégradée, et ne se rassure à défaut que de sa relativement bonne condition physique. Au sens propre comme au figuré, elle touche du bois. Quand enfin on ouvre la malle et qu'on la tire par le col pour la mettre à genoux, Alis ne reconnaît de ce beau monde que Yoichi, l'enfant tueur. Enfin un visage familier sur qui posait sa rancœur. Elle lui abhorre alors un regard noir, jusqu'à ce qu'on mentionne les Luppertazzi. Dès lors baissant la tête, elle frémit de rage, ou de peur, plus sûrement des deux ; préférant pour lors, sans doute masquer sa nature outrecuidante.

- « Je ferais comme vous l'ordonnez », clame t'elle une fois l'explication faite, la tête légèrement incliné et le ton révérencieux.

Les traits de son visage ont toutefois un peu de mal à suivre sa volonté de soumission.

- « Mais j'aurais besoin de mon appareil. Je ne pourrais vous faire grande investigation sans lui. Ainsi qu'une tenue plus appropriée »

Cette dernière déclaration n'est pas gratuite, ni n'invitait au refus. À contre cœur, on l'obligeait. C'est son désir de les obliger à leur tour qui parlait maintenant, raisonnablement ; sa vie gageant d'un peu plus de valeur, maintenant qu'elle était soumise à leur requête. Elle montrait dès lors tout son tempérament indisciplinable, avisant le consciencieux à ne pas trop jouer avec sa soumission. La famille ne la laisserait jamais repartir vivant, pouvait il espérer son assentiment dans ces conditions ? Ça sonnait plutôt à ses oreilles comme une obligation à les rejoindre ; et c'est aussi pour ça qu'Alis préférait poser dès aujourd'hui les limites de cette subordination tacite.

Une fois dehors, le danger de mort imminent passé, Alis souffle un bon coup et s'essuie ses dernières gouttes de sueurs froides soulagée. Yoichi vînt alors la fouiller. Elle est un peu surprise par son comportement, mais le laisse faire, n'ayant pas grand chose à cacher. Elle comprend alors qu'il la débarrasse de ses mouchards et fait de même, s'abstenant de lui dire que si il y a un mouchard qu'elle craint pour l'instant, c'est lui même. Cela dis, elle est dans la même situation que lui aujourd'hui, et est donc prêt à le croire ; et même, elle ne sent pas refuser à un enfant si jeune le secours qu'il quémande.

- « Ne te fais pas trop d'illusions tout de même ! Ce pouvoir ne t'aidera pas à fuir les Luppetazzi. De l'intérieur, tu n'en es peut être pas conscient, mais c'est de la plus grosse organisation criminelle dont on parle. Ce pouvoir il le possède déjà, tu peux en être sûre ; autrement il s’inquiéterait encore de comment lutter contre le cadet ».

Se voulant toutefois rassurante, Alis caresse le haut du crâne de Yoichi.

- « Ne t'heurte pas à la Familia, c'est encore le plus prudent pour l'instant. Que tu aies assez d'infos ou non, que ça me prenne un jour ou une année, j'écrirais un article qui nous sortira tous deux de là. En attendant, je m'assurerais à ce qu'il ne te force plus à tuer qui que ce soit » termine t'elle d'un sourire inusuel, et donc un peu imbriqué.
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Alis

[inland]

Tour 1

Japanese Show.
PJs concernés :Wildrej et Kabbale
Lieu : Village de Yari, devant l'enclos des chiens de chasse

Les chiens se mettent à aboyer de douleur. Le bruit est fort, ce sont de vrais molosses, au poil dur et épais, des canins sauvages expérimentés pour la chasse et la traque. Mais derrière leur enclos, ils ne sont rien de plus que des proies faciles.

La neige se met à tomber en abondance alors, le chat des neiges se glisse de sous le poncho de Kabbale en pestant. Il s'éloigne jusqu'à disparaître dans le blanc des alentours, les poils dressés, les babines retroussées, Signe que les sauterelles ne lui plaisent pas et font de bien mauvaises colocataires. L'apprenti shaman reste te continue de fixer le petit enclos tandis que les insectes volants entament leur retour laissant les chiens tranquilles.

Soudain ! Cinq projectile de feu en forme de phénix fusent dans la direction. Sans une vitesse et des réflexes aiguisés nul doute qu'il aurait encaissé cette attaque surprise. Le garçon les évite de justesse d'un bond. Ralenti par la neige, il prend position,alors que trois silhouettes surgissent de la nuit, à 10 mètres de là. Wildrej répond aussitôt, un jet. Malheureusement le nuit et la neige n'aide pas à la précision. Il ne sait même pas s'il a fait mouche. Toujours est il que les trois inconnus continuent d'avancer.

A gauche il y a une armoire à glace, un barbu couvert d'un épais manteau en peau de loup. Il tient un lance grenade. A droite, une femme au nez disgracieux aussi forte que son collègue, aussi chaudement vêtue et armée pour son part d'un fléau. Au centre, enfin, le fameux chauve, qui fait ici son apparition.



Vu sa tenue, l'homme n'a visiblement pas peur du froid. Au lieu de frissonner, il a l'air même plutôt à l'aise.

« Niveau discrétion on repassera. Hein ? » dit il en pointant du menton l'enclos des chiens. « Généralement je prends mon temps. Je crame d'abord les yeux, puis je passe à la voute plantaire, je discute, j'écoute, je savoure. J'en ai fait chialer des plus costauds. Je ne vous comprends pas, vu ce qui s'est passé cet après midi, vous en redemandez encore. Mmm ? Quand comprendrez vous qu'il s'agit de NOS terres ?»

C'est alors que du feu en forme de tête dragon entoure son poing droit.

« Et dire que j'étais en train de descendre la cuvée du patron... Tranquille . » termine t-il avant de lâcher un rot.

La grosse femme commence à faire tourner le fléau au dessus de sa tête, alors que le barbu pointe vers Wildrej son arme. Et la neige continue de tomber, de plus en plus fort… une tempête se prépare.

City with two Faces.
PJs concernés :Yoichi et Alis
Lieu : Kitako-city

Avant qu’Alis et Yoichi ne quittent la tente de la Coutière, cette dernière répond aux attentes de la rouquine, lui déliant les mains et lui rapportant son appareil photo surmonté d’un petit cube, une nouveauté. Une pile de vêtements à sa taille l’attend dans un coin de l’entrée : quelque chose de sobre, dans des couleurs brunes.

Sitôt à l’extérieur le binome commence –non pas à se tripoter à en croire les mauvaises langues- mais à se fouiller. Bien leur en prend car si sur Yoichi ils font chou blanc, sur Alis c’est une autre histoire. Trois micros : un dans sa chaussure, un dans ses cheveux, et le dernier dans le pli du pantalon.

En bordure du campement ils trouvent une jeep, et un voiturier qui fume clope sur clope. Il est grand, sec et nerveux, les cheveux gominés, pas très agréable. L’homme les fait monter à l’arrière et après avoir traversé la forêt de bambous, pris des chemins de traverse (merci les suspensions) les repose en bordure d’une grande ville au milieu de rizières à parte de vue. C’est assez rural pour sûr, et les armes de moucherons n’aident pas à se sentir à l’aise.

« Voici Kitako-city. 50.000 habitants environ, modeste quoi. Je m’avance pas plus pour ne pas attirer les regards, vous rejoindrez la ville à pied, c’est à 20 minutes, max. L’homme sur lequel vous devez enquêter s’appelle Hashigata Jo, a été aperçu ici pour le dernière fois selon nos informations. Il a établi son Q.G dans la plus grande tour de la cité. C’est stratégique, il s’installe ici au nord du japon, pour être mieux à même de contrer notre invasion. Il cherche à encercler notre campement en organisant ses troupes. »

Le bonhomme ne souhaite même pas bonne chance pour cette mission suicide, ne dit même pas au revoir, qu’il repart, ne ménageant pas sa vitesse.

* * * * *

Kitako-city ! La ville a un aspect étrange : bicéphale, elle est séparée en deux par une immense muraille qui fait également tout le tour, aussi épaisse que le Mur de Chine, et aussi vielle, pas aussi longue évidemment. Nos deux compères arrivent par le côté Ouest, le côté moderne. Cette partie là ressemble à s’y méprendre à une version minuscule de York Shin City : des grands immeubles, des centre commerciaux, un centre névralgique très buisness.

Sur place du village, un groupe de curieux fixe une troupe en train d’installer un cirque. Leurs vingt roulottes sont installées en rond autour du chapiteau qui prend forme petit à petit, alors que les cages aux lions, les deux éléphants et un groupe de lamas attirent les familles venus les photographier.

A deux trois rues de là, il y une boutique ésotérique où officie une vieille dame recroquevillée sur un boule de cristal. Une pancarte en bois posée derrière la vitrine inique :

[Kabbale]

Déjà les péripéties commençaient-elles ? Non , kabbale avait bien l'intention de se la jouer diplomate sauf que... ça supposait retranscrire tout le dialogue dans ce post. Damn it

"On se calme, on se calme. Regardez nos tête, on est pas d'ici, ça se voit bien non ?

N'ayez crainte, on n'en veut pas à votre village, pour être franc on ne sait même pas où on doit aller ^^ Cet endroit n'est qu'une étape sur notre périple... enfin faut voir déjà où se trouve notre destination O___o

Vous voyez nos bras ? Bon, on nous a dit qu'il y avait en ces terres un mec ou un nana ou quelque chose qui permettait de les faire repousser.

Donc on est là pour ça et rien d'autre.

Euh.. peace ?"

"Tu te foutrais pas de ma gueule dugland? C'est justement par ce que tu ressembles à un étranger que je vais te calciner jusqu'aux os. Luppertazzi de merde."

"Lupperazzi ? Skoi ça ? Tu sors! Moi je suis Kabbale Talion, je suis un indien pas un "macaroni au fromage, ça se voit quand même non ? =)

Et puis bon, si je voulais vraiment du mal à ce village, j'vois pas trop pourquoi j'agirai de la sorte.

Et puis d'abord, pourquoi, j'voudrai m'emparer de ce village, il y a rien ici... si de la neige mais ça sert à rien la neige.

Moi ce que je veux c'est récupérer mon bras donc si vous avez des infos sur cette histoire de guérisseur donnez les et on se tirera aussi sec sans plus jamais revenir.

Euh au fait pourquoi vous avez tous ces tatouage ?"

"On dirait des ordres que tu me donnes! Et ne te moques pas de ce village, c'est un point stratégique pour tout le nord du japon après Katako city. Tu devrais surveiller ta langue canaille, tous ces tatouages sont autant de succès pour le compte des Yakuza. Et je ne suis pas n'importe qui. Pour ton bras, je sais que beaucoup de légendes courent, mais cela reste des légendes."

"Excuse moi si je t'ai offensé mais honnêtement, tu es le premier as avoir mit ma parole en doute quand même.

Tu es donc un Yakuza et ce point un lieu stratégique ? Bon... je ne connais pas assez ce pays pour tout comprendre.

Hum, que puis-je ajouter, peut-être pouvons nous faire quelque chose pour vous en échange d'informations sur cette légende ?

A voir tes mains pleines de feu, tu semble en faire partie de ces légendes, je ne me souviens pas avoir vu chose pareil de ma vie."

« Tu en as une sacrée paire dis donc pour parler de la sorte à un Yakuza. Mais oui, je reconnais volontiers que moi aussi je pourrais etre une légende. Si je n’en suis pas déjà une, huhu, je m’appelle Hashigata Gojin, frère cadet de Hashigata Jo, général Yazuka du Nord du Japon.

Je veux bien te donner un coup de pouce à ce que tu recherches… mais suivez moi d’abord ».

Tout le monde rentre dans la taverne. Kabbale et Wildrej s’y sentent d’ailleurs ‘escortés’. C’est un lieu assez rustique décoré par des têtes d’animaux empaillés pareil à un relais de chasseur. Le mur du fond est couvert d’un immense radiateur de sorte que la chaleur en contradiction totale avec la température extérieure est presque étouffante. Derrière le bar, le propriétaire est un vrai géant, qui lit un journal en se tortillant la seul mèche de cheveux qui lui reste sur le caillou.

Gojin s’installe, invitant le barbu et le duo sans bras à en faire de même, alors que la femme au fléau garde la porte.

« Nous allons boire ! Et pas de l’alcool de fillette, un truc qui arrache le gosier et qui désinfecte les trippes. Je tiens cette cuvée d’un vieil ami, un ancien minier Gungnir, devenu Hunter. Ce salop est un pro des liqueurs, la première fois que j’ai bu une de ses créations j’ai cru que j’avalais de l’acide… Ils en ont dans le slips les mecs du Nord. Bref, j’ai pas tapé dans du haut de gamme, mais ça reste très très costaud, vous imaginez bien. Si l’un de vous flanche, vous perdez, et on vous tue. Si nous perdons, je vous dirai où vous rendre et comment vous rendre. Deal ? »

[HRP du meujeu : Le propriétaire va vous amener une bouteille en verre que vous allez vous faire tourner en cercle.
Chacun va boire une gorgée par tour. Entre chaque gorgée le barman va vérifier le niveau de la bouteille pour voir si chacun a bu sa part. Ainsi de suite. Sur la base ça se joue à l’endurance. Après à vous de trouver un moyen ou de compter sur votre endurance pour gagner le jeu^^. Il suffit que l’un des deux de l’équipe flanche pour perdre.
Le tour a été tiré au sort au dé : Grand Barbu > Kabbale > Gojin > Wildrej

A vos subtiles ! Résultat au tour prochain.]
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Kabbale

Acheter chez Francis !!

[Yoichi Fallenstar]

Le duo a peine formé arriva en ville comme sur une chanson de starmania, sauf qu'ils ne faisaient pas fuir les passants, et qu'ils n'avaient pas de lames de rasoir, en effet les rapports étaient plutot léger. Ils arrivèrent donc en ville, la jeune fille toute fraiche accompagné du jeune garcon en camisole noire et orange.

« Faisons d'abord le tour de la ville, sans poser de questions, pour ne pas attirer l'attention »

Comme dit le proverbe, l'homme propose, la femem dispose, Yoichi se laissa guider, une fois n'est pas coutume par son associée du jour. La jeune femme semblait savoir ce qu'elle faisait et notre jeune fou la scrupté du regard. Son oeil passant de la ville a elle avec une aisance peu commune. Jusqu'a ce qu'il passe devant un cirque et que l'oeil du garcon se figea dessus. Cela passa relativement innapercut, la jeune femme commencant un court monologue.

« Nos questions vont attirer le regard sur nous ; nous avons besoin d'une couverture. Nous ne connaissons pas assez la région pour nous faire passer pour des autochtones, mais la présence d'un cirque arrange bien nos affaires ; il ne manque pas d'étrangers en ce moment. La prétention au tourisme n'est pas la couverture la plus discrète, mais au moins si ils nous soupçonnent, ils ne pourront guère faire plus que nous laisser aller. Notamment, mon appareil nous colle déjà l'étiquette touristes. Ton jeune âge l'étiquette famille. Soyons p'tit frère et grande sœur dès aujourd'hui ».

Mais elle ne souhaita pas entrer, elle continua a avancer alors que l'oeil jaune du garcon continuait de rester figé au cirque ... ils sarrétèrent ensuite devant l'office du tourisme ... Yoichi n'avait pas encore décroché un mot, pas un rire et il avancait, relativement calme.

« Je retire ce que j'ai dis. Les seuls étrangers sont probablement les saltimbanques »

Le tour de la vilel fut vite bouclé, maintenant ils avaient une idéeb globale du lieu. Yoichi nota qu'il aurait sans doute pas commencé par faire le tour de la ville, une erreur car sans point de vue global, il se retrouvait tributaire de la chance ...

« Bien, faisons le point. On ne peut pas se faire passer pour un natif, mais les seuls étrangers sont les saltimbanques. Pas de couverture en somme. Quand à enquêter sur Hashigata Jo, quoi de mieux pour attirer l'attention que de prononcer le nom d'un yakuza en chef. L'autre solution serait d'aller chercher le bonhomme nous même, mais la plus haute tour est dans la partie Est de la ville, salement gardé. Selon moi notre salut est dans le cirque. Ils sont passés malgré un tourisme très surveillé ; passés donc selon l'envie des Yakuzas. Je ne serais pas surprise que ces derniers soient très rapidement appelé à les distraire dans la partie Est de la ville. D'ici là, infiltrons les ! Au pire si j'ai tord, gagnera t'on une couverture à l'attention d'une nouvelle stratégie »

Le jeune homme déglutit et se fut d'une voix fluette, loin de sa voix criarde et hasardeuse habituelle qu'il parla, calmement sans rire un instant.

« Pffff, j'aime pas, vraiment pas... »

Yoichi souffla, il n'aimait pas ca, mais elle demanderait des informations du pourquoi de sa réponse. Que devait il faire ? Mentir, imposer ses choix ... l'oeil du garcon fixa un instant le sol et il souffla, de toute maniere elle découvrirait la suite bientot ... il raconta sa vie, le rapport avec le cirque et surtout son but, ou un seul de ses buts, allait savoir ... La réaction de la jeune femme surpris néanmoins le jeune fou.

« Plus de meurtre j'ai dis ! Sois un bon garçon. Il y a mille et une façon de se venger. Fais le dans la légalité »

Phrase ponctué d'une claque sur l'arriere de son crane. L'oeil du jeune homme se dilata, comme un chat et ses muscles se bandèrent, habituellement il aurait sauté a la gorge de la jeune femme, réagissant avec une extreme violence a toute approche sur lui même. Mais ... il n'en fit rien, son regard la toisa, signifiant qu'il avait pris acte de la tape pas forcément qu'il l'acceptait ni qu'il était d'accord sur le precepte divin : tu ne tueras point.

« Si tu le souhaites, je peux faire une enquête préliminaire ; m'assurer que tu n'es rien à craindre. Cela dis, être sous les Luppetazzi à ça de bon, j'ai du mal à voir ce que tu appréhendes exactement ; ni comment tu te vengeras si tu es même effrayé d'une nouvelle rencontre. Pour ma part, je vois dans ton passé une opportunité. Je ne te forcerais pas cela dis ; ça ne sera pas la première fois que je renonce à un plan, c'est les aléas ».

Yoichi ne dit rien un instant et recommenca a rire, comme a son habitude de maniere assez dérangeante et entrecoupé. Son oeil se fixa sur Alis de la maniere la plus folle dont il était capable.

"Kufufufu, soit! Je connais quelques gens dans ce cirque, si rien n'a changé. Fait attention, les gens du cirque n'aime pas les "fouilles me... " kufufufu les journalistes. Je devrais passer ... on y va éhéhéhé.

Ah et pas de "vive l'honneteté la bas ... les lions sont pas sous alimenté normalement ..."

Le but était simple, logiquement les gens du cirque reste les même, change peu, Yoichi reconnaitrait quelqu'un ... et surtout ... pour combler leur fin de mois certains se montre assez peu regardant sur la notion de propriétés ... cela ne plairait pas a miss Justice, pour sur, mais cet état de fait était que même de passage ils savaient beaucoup de chose ... si bien sur il n'avait pas changé de plan de financement ...

Yoichi en doutait.
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- Yoichi Fallenstar -

[Wildrej Jelkama]

Au milieu de l'enclos de chiens, la blancheur du décors avait été brisé par plusieurs sortes boules de feux qui avaient manqués de peu nos deux manchots.
Puis, 3 silhouettes s'étaient dessinées une à une.
Tout en se relevant, Wildrej les déshabilla du regard ; et même si c'est une expression, parfois, on se dit qu'heureusement que l'homme (et la femme) moderne porte des vêtement !
Face à eux, un imposant barbu vêtu d'un manteau animal tenant à bout de bras un lance grenade (o_o), une femme plutôt du genre « je suis grosse et moche mais j'suis armée d'un fléau » et enfin celui qui semblait le leader de ce petit groupe : un chauve.
Portant une simple petite armure locale, l'homme était pour ainsi dire torse nu et largement recouvert de tatouages.

Hostiles les mecs....

L'affaire bien mal engagée allait subir un petit revirement grâce à la jactance de Kabbale.
De son côté, Wildrej regardait la seule main qui lui restait. Paume ouverte vers le ciel, il contemplait les flocons qui y tombaient et fondaient presque instantanément.
En même temps, il écoutait attentivement la discussion, jetant de temps à autre un bref regard pour voir si tout se passait bien.

Et ça se passait plutôt bien... jusqu'à ce qu'on les invite dans la taverne. Là, le chauve annonça qu'un petit jeu d'alcoolique les attendait.
Le tenancier arriva alors, une bouteille à la main, tandis que les 4 larons prenaient place autour d'une table. Une bonne petite ambiance, bien typique. Avec la grosse qui faisait barrage de tout son corps devant la porte.

« ...Deal ? »

Le deal était des plus simple : Boire de l'alcool en échange d'information, et perdre la vie si une des deux équipes tombaient dans les pommes.
Wildrej ouvrit sa doudoune, laissant apparaître son visage. Il regarda Kabbale et hocha la tête en guise d'acquiescement. Longtemps contraint à ingurgiter des sédatifs, des alcaloïdes et toute sorte de breuvage médicamenteux, le jeune homme aux cheveux verts ne se sentait pas vraiment en danger sur ce coup là. A sa connaissance, rien ne pouvait être plus nocif et soporifique que les traitements parégoriques qu'on lui avait administrer des années durant.

« Merci de votre hospitalité…  » ajouta Wildrej, tout en posant sa main sur la table, impatient - à tort (?) - de goûter à cette liqueur...
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~ Wildrej Jelkama ~

[Alis]

Aux abords du bourg, Alis porte respectivement ses yeux sur la ville, puis sur Yoichi. Individualiste chevronnée, elle n'y mettait pas un point d'honneur, on ne la supportait simplement jamais assez longtemps pour qu'il en soit autrement. Travaillée en binôme était donc une première pour elle. Et même si elle s'en trouvait d'aspect un peu bougon ; avec honnêteté, ça ne la dérangeait pas. Elle n'en était pas moins méfiante sur la discrétion du petit homme et souhaitait visiblement jouer la prudence.

- « Faisons d'abord le tour de la ville... sans poser de questions... pour ne pas attirer l'attention » entrecoupa-t-elle, visiblement gênée par les moucherons qui lui tournaient autour.

Une fois sur la place, la main en paravent, luttant contre le soleil, Alis mire au loin la plus haute tour du village ; mais son attention est très rapidement détourné par l'activité avoisinante, qui lui paraît alors déjà comme la solution à une de ses inquiétudes.

- « Nos questions vont attirer le regard sur nous ; nous avons besoin d'une couverture. Nous ne connaissons pas assez la région pour nous faire passer pour des autochtones, mais la présence de ce cirque arrange bien nos affaires ; ils ne doivent pas manquer d'étrangers en ce moment. La prétention au tourisme n'est pas la couverture la plus discrète, mais au moins si ils nous soupçonnent, ils ne pourront guère faire plus que nous laisser aller. Notamment, mon appareil nous colle déjà l'étiquette touristes. Ton jeune âge l'étiquette famille. Soyons p'tit frère et grande sœur dès aujourd'hui ».

Ceci signalé, elle prit connaissance de la réaction de Yoichi. Et le vit l’œil accaparé par le cirque. Rien de surprenant à ce qu'il soit tout ébloui par son charme, au vue de son jeune âge. Mais il n'était pas temps à le visiter ; aussi elle lui tapota légèrement le dos pour lui indiquer qu'ils étaient temps de se remettre en route. La visite les mena vers maints endroits, notamment devant la porte de bronze où elle pressa le pas, devant la diseuse de bonne aventure qu'elle ignora simplement et en face de l'office de tourisme où elle poussa un soupir médusé, la déperdition du lieu l'informant aisément de l'aversion que les gens tenaient aux voyageurs.

- « Je retire ce que j'ai dis. Les seuls étrangers sont probablement les saltimbanques » répondit-t-elle d'un ton dépité.

Le tour de la ville les amena à revenir sur leur pas. À nouveau devant le cirque, l'investigatrice tire et partage ses conclusions avec Yoichi.

- « Bien, faisons le point. On ne peut pas se faire passer pour un natif, mais les seuls étrangers sont les saltimbanques. Pas de couverture en somme. Quand à enquêter sur Hashigata Jo, quoi de mieux pour attirer l'attention que de prononcer le nom d'un yakuza en chef. L'autre solution serait d'aller chercher le bonhomme nous même, mais la plus haute tour est dans la partie Est de la ville, salement gardé. Selon moi notre salut est dans le cirque. Ils sont passés malgré un tourisme très surveillé ; passés donc selon l'envie des Yakuzas. Je ne serais pas surprise que ces derniers soient très rapidement appelé à les distraire dans la partie Est de la ville. D'ici là, infiltrons les ! Au pire si j'ai tord, gagnera t'on une couverture à l'attention d'une nouvelle stratégie »

Ca faisait un moment déjà, depuis qu'ils avaient quitté la place, que Yoichi se mordillait la lèvre, aussi Alis ne fut-elle pas spécialement surprise de sa réponse. Agacée tout de même ; tout ce qu'elle demande en retour, c'est une raison pour un refus ; ce qu'il offrit, à son initiative, allant jusqu'à révéler un pan très personnel de sa vie. Pas très diplomate toutefois, elle ponctua le discours de Yoichi de légers petits coups sur son crâne.

- « Plus de meurtre j'ai dis ! Sois un bon garçon. Il y a mille et une façon de se venger. Fais le dans la légalité »

Le savon passé, Alis reprend sur un ton plus bienveillant.

- « Si tu le souhaites, je peux faire une enquête préliminaire ; m'assurer que tu n'as rien à craindre. Cela dis, être sous les Luppertazzi à ça de bon, j'ai du mal à voir ce que tu appréhendes exactement ; ni comment tu te vengeras si tu es même effrayé d'une nouvelle rencontre. Pour ma part, je vois dans ton passé une opportunité. Je ne te forcerais pas cela dis ; ça ne sera pas la première fois que je renonce à un plan, c'est les aléas »

A la nouvelle réponse qu'il invective, Alis hoche les épaules. Si ce n'était que les gens du cirque... Elle même ne se présente jamais comme reporter. Son nom de journaliste n'était d'ailleurs pas qu'un principe, c'était sa protection ! Enfin, ça aurait dû l'être, estima-t-elle en repensant aux Luppertazzi. Elle soupira puis emboîta le pas en vue de sa prochaine imposture.
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Alis

[inland]

Tour 2

Buvons!
PJs concernés :Wildrej et Kabbale
Lieu : Taverne de Yari

Le barbu prend une bonne gorge, repose la bouteille d’un coup sec et rote, comme insensible à cette cuvée. Il a l'air solide le type. C’est alors au tour de Kabballe, très concentré, la bouche un peu plus gonflée qu’à l’accoutumée de boire. Tout se passe bien. Le chauve, grand sourire aux lèvres nargue tout le monde en buvant deux fois puis en tirant la langue fier comme un coq de basse court. Wildrej enfin qui a commandé un bol de riz pour l’occasion (l’air de la montagne ça creuse !) se contente quand a lui d’une gorgée.

Le tavernier qui a vérifié que tout le monde a pris sa ration déclare alors : « Premier tour :R A S ! Vous pouvez commencer le second ! La dose augmente ! 1 gorgée et une demi gorgée ! »

Même chose, le barbu boit, le barbu rote. Le barman procède à une vérification tend à la bouteille à poncho boy qui juste avant de porter la bouteille à sa bouche voit son voisin de gauche vaciller. La main sur le cœur, le géant à la pilosité d’ours, couche son torse sur la table ne se sentant pas bien.

Gojin se lèvre, et met une claque à la nuque de son camarde malade sans se soucier de sa santé un seul instant et ricane à nouveau.

« Hé bien ! Je ne comprends pas… d’habitude Udeko n’est pas une femellette ! C’est une vraie barrique ! Il faut croire qu’il a attrapé froid, ou que vous vous êtes montré plus fort que lui… ou plus malin » dit il avec un air espiègle.

« Soit, un deal est un deal ! L’homme que vous cherchez n’a pas de nom ni de surnom d’ailleurs… arf… j’avais jamais pense à ça… Enfin… il s’en était lui-même donné un, mais c’était vraiment ridicule. Quoi qu’il en soit il est un peu spécial vous verrez… il vit seul dans le temple à l’orée du village pour sa seule passion. D’ailleurs cet endroit est un véritable labyrinthe bourré de pièges. Si vous vous aventurez comme ça vous ne reviendrez jamais en vie. »

Le yakuza va alors dans un coin du bar et rapporte une carte du temple qu’il installe au milieu d’une autre table laissant le barbu se remettre en douceur. Le document, jauni par le temps, indiqué un tracé jusqu’à un fameux X, marquant l’emplacement du mystérieux quidam.

« Suivez bien ce chemin, si vous vous en écartez je ne donne pas cher de votre peau. A vraie dire, j’en ai un peu rien à foutre de vos vie mais je sais reconnaître quand je perds. Oh ! Et puis un dernier un conseil : jamais ô grand jamais ne parlez de mon grand frère Jo-san devant lui… Là aussi c’est une question de vie et de mort. Non seulement son Nen est plus puissant que le sien, l’élève a dépassé le maître, mais en plus ils ont une vieille histoire… le truc genre puéril.

En tout cas moi non plus je ne démérité pas en termes de Hatsu. Uh uh. Mon frère a beau être un génie je lui crame la gueule quand il veut.»

[J’ai considéré que la TS de Wildrej agissait de façon passive, puisqu’il y a eu contact ! J’ai fait un joli 5 à mon D6. Vous êtes chanceux -__-. Si vous avez besoin de plus de précision : MP !

La suite un peu plus bas.]

Circus smile.
PJs concernés :Yoichi et Alis
Lieu : Kitako-city

Un géant qui nourrit les félins avec un bac rempli d’un monticule de viande, vient à leur rencontre un immense sourire placardé sur son visage. Il pose ce qu’i teint dans les mains au sol d’un jeune garçon et le charge du reste de la besogne.

« Yoichi ? C’est bien toi ? Ah vil garnement ! Viens donc dans mes bras ! »
L’homme n’attend pas la réponse qu’il l’attrape et le soulève au sol. Il faut dire que le type est particulièrement grand et musclé.

« C’est ta copine ? Bien roulée dis donc ! T’as eu l’œil. Mais je vais faire mon mal poli si je continue. Je suis Ramon Kootch, on m’appelle L’élastique humain dans le métier. J’étais le prof d’acrobatie de ce voyou. » s’exclame t-il en désignant de son long doigt camisole boy.



Alis corrige le tir comme elle le peut, prétendant des liens familiaux.

« Ta grande sœur donc ? Petit cachotier tu nous en avais jamais parlé ha ha ! Tu es venu ré intégrer la troupe ? Ta sœur avec ? Ken nous a dit que tu étais parti t’entraîner dans un temple Shaolin. Je dois dire que j’ai été assez déçu que ne me dise pas au revoir, ni que tu me donnes de tes nouvelles… Moi, ton senseï ! Ton plus grand fan ! Ca va faire deux ans maintenant non ? Tu n’as pas trop grand ha ha ha. » dit il en gloussant, aussi idiot qu’une poule, aussi sincère aussi.

« Mais tu dois avoir été assez occupé avec les bonzes j’imagine… Tu sais en même temps que t’es parti Ken a touché une coquette somme. Une tante éloignée laissant un riche héritage quelque chose comme ça, il était second sur la liste ! Un sacré pactole, avec il a pu fonder un autre cirque, il m’a nommé à la direction de celui-ci. Tu ne le trouveras pas ici mais je pense que ça lui aurait fait plaisir de te voir. Tu veux qu’on lui téléphone ? »

« Tu sais depuis que j’ai mon propre cirque, j’ai engagé de vrais personnages ! Ils assurent le show comme personne. Y’en a notamment deux jumeaux là, de vrais perles ! On se presse pour venir les voir. Ils agissent comme un miroir quand ils le désirent. Par exemple, si l’un se coupe de mèche de cheveux, l’autre voit la même mèche de cheveux coupée. Si l’un mange une cuisse de poulet, l’autre se retrouve avec la même viande plein le gosier ! Je n’ai jamais vu ça ! De la pure magie !»

Ramon met une tape dans le dos à Yoichi puis, après avoir hésité, en décoche une autre pour Alis.

« Pour ce qui est de la ville, nous venons juste d’arriver. Je sais qu’elle sert de Quartier Général aux Yakuzas. Donc on limite les vols aux alentours, on a pas envie de se trouver pendu, ou avec des doigts en moins… C’est assez délicat… surtout qu’on ne connait pas trop ce pays. En tout cas on doit aller donner une représentation dans un mois pour Hashigata machin chose et à ses collaborateurs. Le spectacle doit être court et incroyable ! Nous ne sélectionnerons que les meilleurs numéros. »

[Dès Vendredi je pars en vacances jusqu'au 12 juin. Je risque de ne pas avoir internet sur place. Le délai est comme d'habitude d'une semaine mais il se peut que je poste plus tard. J'en suis désolé.]

[Dès Vendredi je pars en vacances jusqu'au 12 juin. Je risque de ne pas avoir internet sur place. Le délai est comme d'habitude d'une semaine mais il se peut que je poste plus tard. J'en suis désolé.]

Archélogie!
PJs concernés :Wildrej et Kabbale
Lieu : Temple de Yari

Voilà au moins de 2h que les deux compères sont entrés dans le temple. L’endroit est humide au possible, et le tracé qu’ils suivent les amène de plus en plus profond dans les ruines. Ils ressortent une ou deux fois à l’air libre avant de passer définitivement sous terre. Ils ont le temps d’admirer les fresques murales éclairées par des sortes d’insectes visqueux phosphorescents et des sculptures qui représentent d’anciens hommes, une espèce de secte tentant de maîtriser une énergie représentée par une espèce de vague. A plusieurs endroit Wildrej et Kabbale voient apparaître le même motif : un homme assis en tailleur devant une jarre remplie d’eau sur laquelle repose une feuille.

Selon le plan ils vont bientôt atteindre la tanière du maître de Gojin quand soudain, d’un croisement surgit un homme, les bras tendus qui grogne.


[Quelle est la couleur du bandeau qui aveugle la petite fille nue? Envoie la réponse par mp!]

Le parfait zombi que l’on voit dans les films d’horreur, sauf que celui-ci est seul. Il s’approche pas à pas en grognant la bouche ouverte, comme s’il veut manger les deux garçons. De l’autre chemin du croisement apparaît un autre homme en train de courir, il est pourchassé par une araignée t un mille patte géant. Les deux insectes de deux mètres de haut chacun ont presque du mal à passer dans les galeries. Ils s’arrêtent alors et semblent réfléchir…

L’araignée reprend sa course et poursuit l’homme que Kabballe reconnait : i l’a déjà rencontré quand il cherchait l’examen Hunter. Celui-ci avait volé une carte Hunter (si si… lors du tout premier post de l’ami kaizoku).



Le lurron hurle les bras en l’air, faisant écho dans le tout le temple, il court droit jusqu’à un mur dans lequel… il entre O_O tel un fantôme.

Pendant ce temps le mille-pattes géant aux pattes aussi acérées qu’un rasoir choisit deux nouvelles proies : cheveux verts et cheveux long. La bête frôle le zombi sans l’attaquer et fond sur eux. Il est à 10 mètres. Maintenant 9…

[Dès Vendredi je pars en vacances jusqu'au 12 juin. Je risque de ne pas avoir internet sur place. Le délai est comme d'habitude d'une semaine mais il se peut que je poste plus tard. J'en suis désolé.]
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« Voici ma carte. »

[Kabbale]

Alors qu'ils progressaient lentement à travers ce labyrinthe débile pour tenter de trouver un vieux fou aux pouvoirs magiques, toute une troupe de joyeux bizarres passèrent devant eux tour à tour provoquant agitation et bruits.

Le premier venu fut le zombi affamé.

"Yochi ? ah non, c'est pas lui... la ressemblance est pourtant frappante ^^ Tu trouves pas wlidr.. wilrdj.. euh... n'est-ce pas pas ?" Demanda t-il à cheveux verts.

Puis vinrent une araignée et un mille patte géants coursant un bonhomme apparemment déjà rencontré quelques péripéties plus tôt. si araignée continua sa poursuite, le mille pas fis marche sur eux...

"M'enfin T____T"

Pourquoi diable avait-il fallut que cette stupide bête les attaque surtout que Kabbale aimait les animaux.

"Euh... copain ?"

[Hrp : eddition du mdj]

« STOOOOOP !!! » crie le zombie, le bras levé alors que le mille-pattes géant s'arrête net.

« C'est bien la première fois que que quelqu'un me demande d'être mon ami alors qu'il voit ma tronche ET que je joue mon rôle de zombie. Zizizizizizi !!! Et c'est bien la première fois que vous devez entendre un rire si ridicule -__-»

L'homme toussote puis continue de rire avec ce son nasillard si étrange avant de reprendre...

« Je ne porte pas de nom. Pas que je veux me la joueur type mystérieux sans nom, juste que mes parents ne m'en jamais donné un. Zizizizizizizi !!! Mais bon... je me suis auto proclamé Nen Man ! Et comme ça faisait moche j'ai décidé de changer ça en Man Nen... mais comme ça faisait toujours moche j'ai changé ça en Men Nen. Pas mal non ? Zizizizi !!!! »

Il claque des doigts et le mille-pattes s'enroule au sol devenant une sorte de chaise vivante sur lequel l'homme zombie prend place.

« Et vous autres, c'est quoi vos petits noms ? Vous venez glander quoi dans le coin ? On en entendu parler de ma collection, hein ? Vous avez du mal à y croire j'imagine !»

"Nen Man ? Ooooh mais alors vous devez être cet être légendaire dont on nous a tant parlé. Il est vrai que votre collection est impressionnante mais ce n'est pas la raison de notre venu.

Comme vous pouvez le constater nous avons accidentellement oubliés nos bras dans une explosion.

Nous cherchons un moyen de nous les faire repousser..; et tant qu'à faire capable de nous enseigner son immense savoir =)"

« Je vous ai dit que Nen Man était d’une atroce atrocité -__- appelez moi donc Men Nen ou Monsieur tout simplement.


"D'accord men nen ^^ J'aurai aimé pensé à un nom aussi classe, men nen, c'est pas n'importe qui qui porterai un tel titre =)

Pour ce qui est de votre condition physique qu’est ce qu’il vous fait penser que je pourrai arranger quoi que ce soit ? D’ailleurs vous a-t-on déjà fait la blague pas de bras pas de chocolat ou pas encore ? Zizizizizizi. Quoi que vous n’en avez perdu qu’un seul remarque… mais bon vous faîtes la paire Zizizizizi.


"J'ai vu un mec passer au travers d'un mur, il ya pas 5 minute donc forcement si j'ajoute ce fait aux autres phénomènes incroyables auxquelles j'ai été confronté. J'ai de bonne raison de vous en croire capable."

Autrement vous souhaitez apprendre un quelconque savoir de ma part, mais lequel exactement ? Et tout cela gratuitement ? Celui lié à ma collection ?

"Nous aimerions apprendre ce pouvoir mystérieux dont certaines personnes sont investis.

Au vu des diverses choses que j'ai put voir, je soupçonne ce pouvoir d'être maléable selon la personnalité des gens : en gros, il doit s'agir d'une force ou énergie qui une fois maîtrisé permets de faire absolument tout ce que l'on veut... après, on ne peut pas être bon en tout donc il doit y avoir des affinité selon les personnes un peu comme un mec doué pour la course à pied.

Il faut une condition physique de base et de l'entrainement. Je me trompe ?

Après, si il faut y mettre un prix... je suppose qu'un service en vaut un autre. Il doit bien y avoir un moyen pour que chacun soit gagnant dans cette affaire ?


Pour revenir à ce sujet là d’ailleurs, j’aimerai bien savoir ce que vous préférez dans ma collection. Mieux ! Que vous me disiez en quoi elle correspond exactement. J’ai tendance à devenir parano avec ce que je cache, vous comprenez ?

Ne s'agit-il pas de ces animaux étonnant tel ce mille patte... je suis un passionné de la faunes et de la flore et je peux vous dire que c'est une belle collection ^____^ bon évidement, le terme collection est un peu rude pour désigner des être vivants mais bon... "

D’ailleurs, comment avez-vous fait pour trouver votre chemin ? C’est bourré de pièges mortels dans tous les sens ici. Zizizizizi."


"Oh depuis qu'on a dû passer 'lexamen hunter, on commence à s'habituer aux labyrinthes piégés =)"

"Zizizizizi. Vous êtes un sacré menteur! Et je n'aime pas les menteurs...

Comme tous les autres, vous flattez mon égo en prétendant être un connaisseur, que ma collection est impressionnante alors que vous ne savez rien. Non je ne m'amuse pas à avoir un musée d'êtres vivants, ce sont justes mes seuls amis à qui j'ai donné un coup de pouce pour leur croissance et qui font office de gardiens en remerciement.

Le pouvoir, que vous évoquez est d'ailleurs très lié à la croissance de Pierrick le mille-pattes et de Myriam, l'araignée. Vous en savez juste assez pour en sentir l'odeur depuis la cuisine, mais pas pour pouvoir y goûter. C'est bien dommage. Remarque qu'en ayant fait l'Exam Hunter vous avez du assister à d'autres étrangetés je suppose. Surtout de la part des examinateurs. Zizizizizi. Vous êtes curieux jeune homme. C'est bien.

Si seulement vous ne m'aviez pas menti, nous aurions peut être pu trouver un terrain d'entente. Je ne comprends pas à quoi ça vous sert... Je sais que par mes propos mais aussi mon physique je passe pour quelqu'un de stupide et de naïf, c'est une bonne chose pour tester les gens. Zizizizi. Surtout que je sais vous avez pas mal discuté avec les gens de Yari avant de venir, donc je me doute bien que vous ne connaissiez pas le chemin de mon antre. Je me trompe?"

"Menteur ? Je crois que vous vous méprenez, je pensais vraiment que votre collection concernait ces insectes. Si il y a autre chose, je ne suis pas au courrant dans ce cas.

Après, comme je vous l'ai dit, on a fait l'exam hunter, donc rechercher les infos pour contourner les pièges fut la leçon numéro 1 a retenir, je ne vois pas en quoi c'est un mensonge.

J'ajouterai même que tout bon magicien ne révèle jamais ses trucs sinon ça ne prend plus. C'est pareil dans la vie, pour se rendre indispensable, il faut garder son savoir faire secret non ?"

"Dans ce cas vous me dites que je dois garder le mien bien au chaud? Zizizizi."

"Ah ba non. j'ai vendu le mien, maintenant c'est votre tour. Sinon c'est pas équitable."


"Quel secret? Vous pensez que nous sommes dans un monde juste. Je te donne ceci donc tu dois me le rendre? Zizizizizizi. Moi qui pensais que vous aviez fait l'Exam Hunter, vous ne savez donc rien du Monde."

"Le monde n'est pas plus juste qu'il n'est injuste, il n'est que le chaos =) Vous prenez pas la tête avec ça, je disais que c'était pas juste pour vous taquiner (faut que je mette des smiley pour souligner les phrases de mon perso :p)

D'ailleur, je ne sais qu'une chose Men nen, c'est que je ne sais rien !!! Supa Hero Supa Hero Ca c'est de la répplique tu trouves pas haha =)

Enfin si, en gros, on a besoins que vous nous aidiez et vous vous en amusez depuis tout à l'heure T_____T.

Donc vous nous aidez ou pas ? "

« C'est vrai que je vous mène la vie dure Zizizizizi. Faire de la corte à sauter doit vous manquer Zizizizizi.»

Men Nen pose son index sur sa tempe et fait mine de réfléchir, prenant cet air sérieux qui lui manquait jusque là.

« J'accepte de vous aider si vous me donnez chacun trois choses. «

« La première : votre super héros préféré ! Ca en dit long sur la personnalité de chacun. J'ai coutume de dire 'Dis moi quel est ton super héros préféré je te dirai qui tu es'.

La seconde, je veux que vous me racontiez le passage le plus honteux de votre vie et que vous n'avez jamais révélé à personne. C'est toujours utile pour faire du chantage à quelqu'un si besoin. Même si c'est assez puéril je reconnais Zizizizizi.

Ma troisième et dernière demande sera de me rendre, un service... que je vous révélerai tout à l'heure. Rien de bien méchant, je veux juste récupérer quelque chose qui me tient à coeur et qu'on m'a volé. Je vous en dirai plus une fois arrivé chez moi. Et pour remplir cette petite mission, mes bourgeons, il va va falloir apprendre ce que l'on nomme le Nen...

Ces conditions remplies, je vous rendrai votre bras.»

[Les deux premières demandes sont à inviter à votre bon vouloir, avec une belle description à mettre dans votre post, pour le reste nous verrons au prochain tour . L'éveil au Nen est proche !]

"Mon super héros préféré ? Mais c'est le joker dans batman évidement =)"

Wildrej devait lui aussi être un fan vu la couleur de ses cheveux.

"L"histoire la plus honteuse.... hum une fois j'étais monté très haut dans les montagnes avec quelques amis. On a vu passer des gens tout en bas sur la route. Pour rigoler on leur a envoyé une petite giclé de liquide jaune.

Bon, j'ai compris en les entendant râler que ces gens c'était mon oncle et mon père... ahaha, c'est bète non ? Ou alors il y avait aussi ma mère a ce moment là... j'me rappelle plus bien.

En tout cas, ils m'ont donné une fessé devant tout le monde dont je me souviens encore. Tous se sont moqué de moi , même mon amie d'enfance Flora T___T Alors imaginez quand j'ai appris que je devais l'épouser de force, je peux pas me marrier avec une fille qui m'a vu cul nu me faire fesser par mon père, j'ai trop honte... ahaha ^^ Enfin du coup j'suis partit."
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Kabbale

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[Yoichi Fallenstar]

Le jeune homme parlait, écoutait, avait de réelle interaction sociale avec cet homme, ce géant, qu'il était grand d'ailleurs aussi grand que Yoichi était petit, aussi loyal a Ken que yoichi pouvait être changeant. Néanmoins d'un point de vue extérieur, Yoichi semblait plus jeune depuis le début de cette discussion, moins aux abois, moins ... chien aux aguets. Il sourit, le seul moment ou la tension est de nouveau palpable et celle suite a son départ ...

Yoichi y rit, mais d'un rire fou, proche de ceux habituels mais pas de l'ambiance qui s'instaure petit a petit entre le couple mentor/élève.

"Quelle coincidence hein ! Kufufufu désolé être parti comme ca la derniere fois, kufufufu. Mais ces Moines m'ont pas laissé le choix éhé ... enfin ...

Tu me montres la nouvelle troupe, kufufu. Et comment ils font les jumeaux, tu crois qu'ils m'expliqueront ... "

L'oeil de Yoichi pétille en disant ca. Il est sérieux il veut comprendre, aussi fou soit il une chose n'a jamais changé pour notre jeune acrobate : son besoin de comprendre. Ce besoin le poussant a regarder si le sang de la jeune blonde avait était chaud au tout premier topic de Ryuuseigai ... cela semble si loin maintenant ...

"Les jumeaux ne sont pas méchants, tu peux aller les voir avec ta soeurette, ils habitent dans la roulotte vert pomme là bas. Pour ce qui est de leur secret c'est motus et bouche cousue... Ce ne serait pas un secret sinon remarque .
Pour le reste de la troupe y'a Danio, le jongleur, on l'a recruté il y a deux mois quand Good Jimbo a fait un arrêt cardiaque. Paix à son âme. Les frères et soeurs Karr et leur numéro d'équilibriste! Tu as toujours été meilleur qu'eux... mais on fait comme on peut depuis que tu es parti Ha Ha! Zin le magicien, qui commence à se faire vieux et dont les tours de cartes sont vus et revus... Et puis il y a Mimi! Qui commence à se faire grande d'ailleurs, tu ne la reconnaîtrais pas! Elle a pris la succession de la mère en tant que dompteuse d'animaux. Elle traine souvent avec les jumeaux, d'ailleurs depuis quelque temps elle se met à faire bouger les éléphants sans leur donner d'ordre... Elle a vraiment un don, c'est la chouchou du cirque."

Les noms, tous les noms, ou presque Yoichi les connait. Le vieux Zin, son plus grand tour de magie était d'être encore en vie a son age d'apres Yoichi. La famille Karr, pas terrible comme acrobate et puis il y avait Mimi. Une soeur, une mère pour tous.

Yoichi savait un peu ce qu'il comptait faire maintenant ... il ne put néanmoins s'empecher une derniere pique à son mentor

"Kufufufu, et toi plus de numéros ? T'es pas devenu Monsieur Loyal hein Kufufufufuf"
"En effet, les tours d'acrobatie ne sont plus de mon âge Ha Ha! S'occuper d'un cirque n'est pas de tout repos remarque, surtout quand il faut gérer les égos de chacun "
Yoichi ne l'enviait pas, il pris congés, promettant qu'il reviendrait apres avoir dit bonjour a tout le monde, et surtout ... il voulait voir le spectacle. Sur la route il se parla a lui même ... a voix basse.

"Ken n'est pas la ... dans un sens c'est pas mal ca ... Depuis l'arrivée des jumeaux, le spectacle de Mimi à évolué, coincidence coincidence kufufufu ... elle aurait développer autre chose alors, quoi ? Des ultrasons kufufufu... peu de chance, des enfants entendent ce genre de bruit ... ca fluctue d'une personne a une autre et ca ferait mal aux fauves et elle elle ne ferait pas ca ... comment elle fait alors ? Gestuel Kufufu, non ca ne tiendrais pas de la magie dans ce cas, elle porte peut etre des habits amples pour que les fauves proches voient ses signes mais pas les autres ...
Mmmm dans le cas contraire on approche des choses insoluble, a ranger avec la nana qui vole et le mec au coquillage ... si c'est le cas elle l'a appris ..."

Yoichi rigole en se rendant jusque Mimi.

A proximité il ne peut s'empecher

"Kufufufufufu, Dites MADAME ! Ca mange quoi les lions ?"

Une devinette fort simple quand même ...
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- Yoichi Fallenstar -

[Alis]

- « Traitez moi de couguar tant que vous y êtes ! Je m'appelle Alis, Alis Fallenstar ». Yeux furibonds ; selon toute apparence, Alis n'a pas apprécier d'être affublé du terme « petite amie ». C'est une fleur bleue notre jeune fille, sans doute plus gênée que véritablement énervée. A sa réplique : - « T'as grande sœur donc ? », elle valide de la tête puis lui tourne le dos, bien décidée à le bouder. La discussion entre Yoichi et son maître se poursuit cela dis ; dans un air de retrouvailles qu'elle rejette. Aussi sans gêne soit elle, ça la fait se sentir indiscrète. Partant elle profite de l'occasion pour quitter les deux.

Se ressourçant de son autarcie, la rouquine rétablit dès lors, pour lors, son indépendance. Flânant, elle repasse alors la bande de ces dernières confidences. Le géant Ramon lui offrait son billet pour l'aile Est sur un plateau d'argent ! Un spectacle avec leur cible en guest star, c'était trop belles coïncidences. Encore fallait il le convaincre de leur talent maintenant. En mode souvenir, Alis passa en revue les numéros à sa portée ; elle ne se faisait pas trop de souci pour Yoichi déjà riche de son expérience, mais la sienne devait se ramener à un seul tour de carte. S'il suffisait de surclasser leur magicien démodé... mais c'était une compétition sur tous critères. Ceci à l'esprit, la journaliste partit guetter ses rivaux ; en particulier la star de ces lieux - ou plus justement les stars, les jumeaux – aux mérites tant vantés par leur directeur.
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Alis

[Wildrej Jelkama]

L'homme était étrange. Il ressemblait à certains colocataires qu'avait eu Wildrej à une époque. Un peu allumé et tenant un discours qui n'avait par moment aucun sens.
Adossé au mur, Cheveux Verts était resté dans l'ombre de son cadet. Kabbale avait l'air de comprendre tout ce qu'il se passait ; ce qui n'était pas le cas de Wildrej. Il écoutait, regardant autour de lui, assemblant les pièces du puzzle dans sa petite caboche.

Kabbale venait de répondre. Ouai, le Joker est un personnage vraiment classe. Mais sans réfléchir une seconde, Wildrej répondit à son tour. La question lui semblait si simple...

« Spawn... » Un petit sourire nostalgique c'était dessiné sur le visage du jeune homme.
Des bribes de son enfance lui revinrent aussitôt. Une période où tout semblait être facile, où tout allait bien.
Une tranche de vie agréable ; c'est le sentiment qui dominait lorsqu'il se revoyait. Il s'en souvenait ainsi malgré toute les années passées, malgré ces événements, et malgré les traitements qui lui avaient disloqués la mémoire.
Et même si les images étaient floues, au point que les visages - ainsi que les silhouettes - de ses parents apparaissaient plus brouillés qu'un vieux polaroïd défraîchis, Wildrej parvenait à s'y projeter.
Il était là, en pyjama, assis en tailleur sur la moquette de sa chambre, dévorant des comics pour adultes, quand la plupart des enfants de son âge étaient encore à déchiffrer les histoires de Babar.

« … parce qu'il a conclu un pacte avec le diable. Mais il le défie quand même. Il n'a plus d'identité... il a des yeux verts qui brillent avec des flammes... ! » conclua-t-il en mimant les flammes vertes qui s'échappent des yeux de Spawn

D'un geste lent et précis, Wildrej passa soigneusement sa main dans ses cheveux verts et se recoiffa

« La honte ? »

Il baissa les yeux sur le sol, puis les leva au ciel, cherchant dans sa mémoire un quelconque souvenir honteux. La requête semblait vraiment difficile pour lui. Sa main était désormais près de sa bouche, pinçant sa lèvre du bas tandis qu'il fronçait les sourcils.

« J'suis resté des années... » il marqua une pause « nan... j'suis resté le plus gros de ma vie enfermé dans des centres spécialisés... J'ai jamais essayé de partir parce que je ne comprenais pas et j'avais peur. Ils me droguaient... Et au début je me retrouvais dans des états pitoyables. »

Avec un petit sourire aux lèvres qui semblait plus nerveux que naturel, le jeune homme retroussa sa manche dévoilant une épaisse cicatrice faisant le tour de son poignet. Elle était imposante et contrastait avec la finesse de son bras ; comme un tatouage, une indélébile.

« J'avais la même sur l'autre bras... J'ai essayé de me couper les mains... » Dit-il, totalement détaché.

« Mais maintenant... j'crois que je sais ce que j'veux faire. J'irais leur rendre visite... un jour. »

Si tout cela pouvait sembler confus, pour lui cet exercice avait été des plus bénéfiques. Finalement cette courte réflexion qu'il n'avait jamais eut par manque de lucidité, venait de lui faire prendre conscience d'un besoin, celui de retourner voir ceux qui l'avait gardé enfermé si longtemps.
Reste à savoir maintenant quelle est la teneur de la troisième requête...
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~ Wildrej Jelkama ~