[Pré-Examen Hunter] Cache cache

[kaizoku]

La richesse, le pouvoir, le savoir. Ces trois choses sont ce que recherche tout homme sur cette terre. Ces trois choses sont ce qui cristalise le statut de Hunter. Un hunter est au dessus de tous, et c'est a cause de ce simple fait que beaucoup vendrait leur mère pour le devenir.

De Kaizoku Administrateur de Ryuuseigai 12 février 2010


Hier encore inconnue, la date de l'examen hunter semble être toute proche. Les rumeurs en ce sens abondent, et du quatre coin du monde commence à se réunir divers hommes et femmes. Tous différents mais animé par cette même envie, devenir Hunter.

Le lieu de l'examen, jamais dévoilé, est actuellement le centre des plus grosses spéculations. les infos, vérifié ou non se vendent a plusieurs millier. Les escroc de tous genre commence petit a petit à affluer sur le net.

La présidente de l'association Hunter n'a rien laissé transpercer de cet événement planétaire, malgré la meute de journaliste l'assaillant sans cesse de questions.
Rien ?
Pas tout a fait, beaucoup de magazine people ont relayé des propos qu'elle aurait tenu en Off. L'examen aura lieu a la République Padokia.
Aucune autre information. Information qu'on peut elle même tenir avec des pincettes.

C'est dans la petite ville touristique de Koripon que la nouvelle de cet examen à été le mieux accueilli. En effet l'année derniere, c'est dans cette ville qu'a été organisé l'exament hunter, enfin d'apres le maire de cette ville pas vraiment fortuné. Depuis, la ville est devenu l'attraction numéro 1 des badots et des curieux. Des affiches d'Hunter partout, il est difficile de ne pas voir le logo de l'association au détours d'une rue. Les noms également été renommé pour l'occasion. ainsi l'allée des cerisier est devenu l'allée des arbres hunter ... toutes les rues portent d'ailleurs le nom de Hunter. Plusieurs attraction ont également poussé partout, sous les indications d'un étrange promoteur ...

Le train géant, World of Hunter est censé refaire le parcours qu'on subit l'année précédente les malheureux candidats. On peut aussi trouvé a la taverne, le hunter lubrique, un ou deux poivrots qui accepteraient pour quelques monnaies sonnates et trébuchantes, de raconter comment ils ont vécu l'examen.

En toute honneté, bien difficile celui qui serait capable de dire si tout ceci est vrai, ou les affabulations d'hommes et de femmes voulant leur part du gateau. Mais au final, il est loin d'etre idiot que de commencer ses recherches ici, c'est ce que semble penser quelques personnes, vu le nombre de "bad guy" arpentant les rues. Tous armé, ces derniers dépenserait sans compter pour toutes les indications du monde.

"AU VOLEUR"

Un homme en costume, vient de se faire dépasser par une jeune brigand. Le brigand passant devant vous passe et vous pouvez voir son butin dans sa main, une carte blanche .... frappé du logo de l'association Hunter !

Serait ce possible que ?

[Kokowa]

Un jeunot aux allures de chapardeur, bientôt suivi d'un col blanc. Tous les deux qui courent comme des lièvres à la saison des amours. Drôle de couple! Kokowa soulève un sourcil et regarde défiler de ses pupilles couleur saphir ces deux inconnus qui perdent leur temps à jouer au chat et à la souris. Ce n'est pourtant pas de leur âge...

A bien y regarder toutefois, la raison de cette course, qui la légitime aussitôt, n'est autre qu'une carte Hunter. Soit, un appât au gain bien tentant. Mais voilà... Tout est trop facile, trop factice. Et il n'y a pas que ce duo de clowns. La ville entière sonne faux, comme un candidat de télé-crochet stressé par sa première audition.

Notre demoiselle dégage sa nuque et rabat sa chevelure d'ombres sur sa poitrine, en laissant une mèche s'entortiller autour de son petit doigt. Et elle regarde s'enfuir au loin sans rien faire pour les retenir, tout du moins les rattraper les deux oiseaux. De toute façon, même si elle avait voulu se dégourdir les guiboles, ce fut été ses talons aiguilles qui auraient coupé court à toute tentative, à toute envie. Trop casse gueule.

Tant pis.

En attendant il faut trouver à s'occuper, et de son côté là, il faut dire que la ville ne manque de rien. Train touristique, taverne... Vu d'un certain angle, on se croirait ici dans un parc d'attraction. La souris à grandes oreilles ne doit pas être loin, comptant les billets verts, des jénis plein les yeux. Kokowa, elle, a soif. Un café glacé bien sucré la tente déjà quand elle aperçoit le Hunter Lubrique. Mais ce serait remettre la chasse de l'Examen à plus tard. La belle secoue la tête en fermant les yeux, puis pose son regard bleu d'acier sur un pancarte pointant la direction de la mairie, la Hunter Mairie. Décidément... Koripon pousse son concept jusque dans le service public. La honte n'a pas de limite.

Notre charmante amie, aidée ses jambes interminables, décide alors d'en finir avec l'inertie, et d'aller faire petit un coucou à cette chère Administration. Un léger sourire vient animer ses joues de porcelaine tandis qu'elle avance d'un air chaloupé vers ce centre de décision.

Vers la Mairie !

[Une subtile dans la foulée. Na !]
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- Kokowa -
Café glacé. Bien sucré.

[Kabbale]

Après avoir voyagé à dos de rennes volant, Kabbale avait finalement atteint la ville de Koripon où deux éléphants roses en smoking l'avaient accueilli en déroulant un tapis de couleur.... vert O__o

Il avait alors tenté d'attrapper la lune sans succès puisqu'il faisait jour, un comble. Débuta alors sa quête de l'exam Hunter ou plutôt du before Exam puisqu'avant d'y participer, il fallait d'abord le trouver.

Fort heureusement, une famille pingouin l'avait pris sous son aile et guidé à travers la ville jusqu'à atteindre la grand place où se trouvait la mairie.

"Il ont construit ce bâtiment avec des briques floues du coup on a l'impression que le bâtiment ondule... ah non, ça s'arrête on dirait."

"Tu t'es endormi sur le join l'ami." Lui déclara un des pingouins portant des dread locks.

D'ailleur les autres pingouins avaient disparus, le seul pingouin restant avait d'ailleur une apparence humaine en fait, il portait un bonnet rayé jaune, vert et...

"Woaaaw, tu m'as fait peur, t'es partit dans un gros bad, tu voyais des éléphant roses dude."

Kabbale eut un moment de reflexion.

"Alors, les rennes volants n'étaient pas réels ?"

"Non mec, c'était un train."

"Ah... et là c'est la mairie, tiens elle bouge plus du tout."

"C'est bien mec, t'es redescendu de ton trip. Bon, Faut que tu trouve l'exam hunter maintenant, tu te souvient au moins ?"

"Ouais, c'est plus clair dans ma tête maintenant. Aucun problème, je vais trouver l'exam, le réussir et devenir un HUNTER !!!!"

"Ouais, ouais, c'est ça... un hunter... bon je te laisse, à l'année prochaine pour le prochain exam hunter "

" :shock: .... Quoi, mais... enfoirée."

Le rasta man parti, Kabbale se tourna vers la mairie, il était temps de se mettre au travail. Mais d'abord, il s'installa sur un banc pour récupérer un peu et nourir les pigeons qui squattaient la place.

[Le chemin s'ouvre sur un autre pan... Etre Maître n'est pas chose aisée, loin de là.... En as tu tiré quelques leçons?]
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Kabbale

Acheter chez Francis !!

[Sissel J Tengo]

Vu d’en haut la ville de Koripon semblait particulièrement sympathique et accueillante, mais une fois pied à terre notre blondinet s’aperçut que ce n’était pas le cas. Durant le voyage en vaisseau/montgolfière, Tengo resta cloitrer dans sa chambre c’est avec surprise donc que lorsqu’il arriva à destination en arrivant à l’aéroport il vit tout un tas d’homme et de femme plus sauvage les uns que les autres dégageant une atmosphère froide.

Replaçant ces lunettes de soleil, il se dirigea alors vers l’extérieur afin d’attraper un taxi pour l’emmener jusqu’à l’hôtel/auberge la plus proche du centre-ville. Pendant le chemin le chauffeur se mit à papoter demandant ce que notre grand blondin faisait ici, s’il était venu pour l’examen etc. celui-ci répondit indirectement en faisant des hochements de la tête ou encore des peut être.

L’hôtel et la chambre réservé il fallait maintenant partir à la recherche d’indice, Tengo décida alors de se poser à la terrasse d’un café. Il observa les lieux ne voyant que des affiches exubérante et autre publicité disant que le lieu de l’examen Hunter était Koripon ainsi qu’il l’était de même l’année dernière. Notre héros décida alors de se lever et de marcher un peu vu qu’il n’y avait pas grand-chose d’intéressant ici. La suite vous le savez un brigand vola un homme en costume et passa ensuite devant le blondinet, celui-ci aperçut alors un logo de l’association Hunter. La première réaction de Tengo fut alors d’analyser la situation.

Le cours instant de réflexion se dissipa et les choses se poursuivirent, le voleur s’enfuit et Tengo ne bougea pas d’un poil tout en ignorant les deux hommes ou plutôt acteurs selon lui. Il continua alors son chemin en réfléchissant.

C’est ainsi qu’il se dirigea vers la Mairie, qu’allait-il voir là-bas ? Vous le saurez dans le prochain épisode qui se déroulera le 1er Mars !

[Le chemin continue dans un paysage fait de sable... qui s'étend à l'infini jusqu'à une montagne mystérieuse... Le voyage sera long et périlleux pour l'atteindre.]
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Sissel J Tengo, "Un Brandy, un Cigare et mon argent je vous prie"

[Gamma]

Décider de vouloir devenir hunter était une chose, mais réussir déjà à trouver où allaient se dérouler les épreuves était une toute autre chose. L’association des hunters semblait prendre un plaisir pervers en ne donnant presque aucune information sur l’examen. Oui presque car toutes les rumeurs s’avançaient à dire que les épreuves allaient se dérouler en République de Padokia. C’était toujours une information de prise mais il fallait désormais connaître l’emplacement précis. Après quelques semaines intensifs de recherche, allant de bar en bar car en effet. Gamma aimait bien dire qu’il n’y a pas mieux qu’un bar comme source d’information. Mais en réalité, le jeune homme avait surtout un penchant pour la picole et aimait bien allier l’utile à l’agréable.

C’est une cigarette entre les dents que Gamma descendit du train qui l’avait mené au village de Koripon. Certaines rumeurs disaient que l’examen hunter de l’an dernier avait été organisé dans ce village. Ce fut avec des yeux grands ouverts que le jeunot observait cette ville totalement folle. Tous les murs étaient tapissés d’affiches ornées du logo de l’association des hunters. Hunter, ce mot était collé dans toutes les pancartes des magasins et même des rues. Quant à celles-ci, elles n’étaient pas vraiment bien fréquentées. Le village était peuplé de types louches. L’homme au gilet rouge ne pouvait s’empêcher de se dire que tout ça était bizarre. D’un côté la fameuse association ne lâchait rien concernant le lieu de l’examen alors que cette ville s’affichait clairement comme étant le lieu des épreuves de l’année dernière et peut-être même de cette année, il fallait tirer ça au clair.

Première étape le hunter lubrique et à l’image de Koripon, tout tournait autour du fameux examen. Certains recevaient des jenis en contrepartie d’histoires sur les épreuves de l’an passé. Gamma n’arrivait pas à ôter cette impression que tout sonnait faux, tout semblait fabriqué de toute pièce pour attirer des touristes. Et même en sortant du bar, le fait de voir un brigand voler une carte ornée du logo de l’association hunter ne faisait que l’accentuer. Beaucoup de badauds s’élancèrent derrière le voleur afin de prendre la carte qu’il possédait, c’est alors que le jeunot vit deux personnes qui comme lui avaient ignoré l’action et se dirigeaient chacun de leur côté vers la même direction. La seule idée qui lui ait venu dans la tête était d’aller dans la même direction le temps de réfléchir à un meilleur plan.
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~ Gamma ~

[kaizoku]

[Kokowa]

Des vraies tigresses ces femmes ! Laissez les deux minutes dans un pièce -aussi grande que petite-, et elles trouveront toujours à inventer une vilaine jalousie établissant de facto une rivalité enfantine. Un simple regard, de travers suffit. Une paire de chaussure IN-TROU-VABLE (que toutes les stars portent à leurs jolis piétons), un petit ami aux fesses savoureuses, un nez refait par le chirurgien le plus prisé de la côte Est. Les sujets ne manquent pas. 

Kokowa décroise les jambes, se lève et repose son magazine sur la pile de la table basse. Debout, elle se redresse, tire sur sa robe blanche, pour la faire redescendre juste au dessous de ses genoux et bombe le torse. Elle met ainsi en avant ses deux plus beaux atouts. Depuis ses seize printemps, aujourd'hui comme tous les jours,il faut dire qu'il y a du monde au balcon. 

Puis, tout en continuant à fixer avec un certain mépris la brunette accro aux sites de rencontre, elle s'approche, et agrippe son bras à celui du grand blond qui vient de sortir du bureau du mairie. Surprise ! A ses yeux c'est sans doute le plus classe de la petite assemblée. Un costard rouge, qui détonne, et une paire de lunettes, certainement de grande marque. La garce, féline, plisse les yeux et fait mine de ronronner en posant sur l'épaule de son chevalier.

« Une cafétéria ? Kokowa attendait juste son futur mari. N'est ce pas chouchou ? » susurre t-elle d'une voix suave, pétasse, en lançant un clin d'oeil assassin en direction de la standardiste.

Elle fait claquer ses talons sur le sol puis en fixant un point au plafond et finit par rebondir.

« Curieux lieu d’accueil, s'il en est ! Aussi chaleureux qu'une porte de prison ! M'enfin... il est grand temps d'y aller. Kokowa avait peur d'être en retard, mais me voilà rassurée. L’entretien avec Monsieur le Maire aura duré juste à temps. Nous allons pouvoir passer prendre mon nouveau coupé cabriolet. J'espère que l'intérieur en peau de léopard des neiges sera du plus bel effet ! »

Kokowa tire vers elle son partenaire de circonstance et approche ses lèvres pulpeuses de son oreille droite et commence à murmurer. Comme un poème...

[Interactions avec Sissel J Tengo vues et validées par lui même]
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- Kokowa -
Café glacé. Bien sucré.

[Sissel J Tengo]

Apres dix bonnes minutes ce cher Tengo se dirigea vers la porte du bureau pour pouvoir sortir, pendant ce court trajet le blondinet avait un air songeur, il semblait réfléchir a quelque chose. A peine eut-il de passer le palier de celle-ci qu’une jeune demoiselle vint s’agripper a son bras, il tourna son regard et le déposer sur cette jeune fille voluptueuse et belle à souhait, sous la surprise il ne comprit rien du tout mis à part que les deux atouts majeur de son assaillante étaient coller à son bras.

Complètement confus, il entendit alors la fille en robe blanche parler de mariage et c’est à ce moment-là qu’il reprit conscience de la situation en l’analysant. Apparemment elle se prénommait Kokowa, un nom élégant et simple, et celle-ci avait l’air de jouer un rôle ou était simplement folle. Sur ces quelques informations Tengo choisit une option, celle d’attendre et de comprendre plus en détail celle-là.

Kokowa s’amusa donc à balancer des choses vers la secrétaire pour la rendre jalouse ou bien tout simplement pour la foutre en rogne, ahhh les femmes toujours prêtes a ce battre pour un rien…

C’est alors qu’elle tira le bras du blondin vers la sortie de la mairie tout en lui murmurant des choses à l’oreille. Tengo se redressa soudainement et cambra son bras droit tel un gentleman pour que sa « futur compagne » puisse la tenir correctement. D’un air assez élégant et confiant, l’homme en rouge déclara.

« Allons-y Honey, nous avons affaire »

Le couple s’en alla alors laissant derrière eux le blanc, la garce et le clodo.
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Sissel J Tengo, "Un Brandy, un Cigare et mon argent je vous prie"

[Gamma]

Que c’est assommant d’aller dans une administration, les gens qui y travaillent sont souvent des plus déplaisants et les salles d’attentes toujours aussi austères et dénuées de goût. La Hunter Mairie n’y échappait pas et c’était avec un plaisir quasi inexistant que l’homme au gilet rouge prenait place à côté d’une jeune femme des plus séduisantes et restait en retrait en observant le cours des évènements. Première information glanée, les femmes ne pouvaient s’empêcher de se jalouser entre elles. La secrétaire qui travaillait à la mairie s’était rapidement faite une amie en la personne de la jeune brunette aux formes avantageuses. On pouvait aisément sentir une l’hostilité émaner de la femme jalouse. Quant à l’autre, elle restait stoïque, provocatrice, se concentrant plus sur son téléphone que sur la femme qui la dévisageait d’un air renfrogné. Ahh les femmes … Changeront-elles un jour ?

La secrétaire agacée trouva vite de quoi faire avec l’arrivée successive de deux hommes, le premier était habillé d’un costume rouge ainsi que de lunettes de soleil, outil indispensable pour la séduction et accessoirement pour se protéger du soleil. La seconde personne avait un style qui tranchait avec le premier arrivé. C’était un clochard, du moins il en donnait l’impression avec son poncho et son allure négligé. Les deux désiraient l’un après l’autre avoir une entrevue avec le maire de Koripon. Gamma restait toujours en retrait espérant remarquer un détail qui l’aiderait dans sa recherche du lieu de l’examen de hunter. Mais il fut rapidement dérangé par la secrétaire qui dans un excès d’agacement et de jalousie décida d’interpeler le blond et la brune, et demande la raison de leur présence. La femme qui était assise à côté de lui eut une réaction des plus inattendue, prétextant être la futur femme de l’homme aux lunettes. Sur le chemin menant à la mairie, le jeune homme avait remarqué que les deux personnes ne se connaissaient pas marchant chacun de son côté. Cela dit il fallait également trouver quelque chose à dire et après une petite réflexion, il s’adressa finalement à la secrétaire d’un air enjoué bien qu’au fond il réprimait un soupire :

« Je voulais voir le maire. Mais depuis que je vous ai vu, je ne sais comment vous dire que je vous trouve ravissante»

Gamme était lui aussi charmant et attirant (oui Tengo :p ) et une secrétaire demeurait une bonne source d’information sur le village de Koripon. Espérons-le.
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~ Gamma ~

[Staz]

Porikon. Petite bourgade rassemblant une foule inhabituellement dense. Les raisons. L’approche de l’examen hunter et le fait qu’elle en a été le théâtre la dernière fois. Et en plein milieu de celle-ci, un jeune homme complètement blasé.

« Clopes. Trouvées. Briquet. Hmmm…» Il trifouillait ses poches. Mais pas moyen de mettre la main dessus. C’est le genre de moment où la tristitude atteint son paroxysme. Le tabac si précieux à portée de bouche. Cette envie irrépressible, étreignant nos poumons de vouloir prendre une taffe. Et non, pas de feu. Sauf que.

« Niééé… Quelle tâche. » Marmonna-t-il dans sa barbe en regardant son avant-bras gauche. Là où se trouvait un nouveau gadget qu’il venait de se procurer en chemin. Tapotant une fois dessus avec sa main droite, puis inclinant doucement le poignet, une petite flamme en sortie et, hop, voici qu’il pouvait enfin se délecter de sa nicotine si chère. Puis, il jeta un coup d’œil aux alentours.

« Le vieux m’a dit de me rendre ici. Qu’y avaient des chances que j’y trouve des sortes indices ou je sais pas quoi d’autre. Une sorte de formalité pour écumer la marée de tocards croyant en leur chance pour devenir Hunter. Mouais… on va voir ça. »

Sa pause clope fut interrompue par une poussade. Ce qui semblait être un pickpocket, dans sa course, l’avait percuté et Staz aperçut ce qui semblait être une carte de Hunter. Mais bon, il n’en était pas sûr. Par contre, il prit quand même la peine de mémoriser la gueule du pseudo Aladdin. Au cas où, on lui fasse les poches. Il préférait quand même savoir qui devrait lui rendre des comptes. Puis, avec un geste de mépris, il mata le triste sir qui criait au voleur. On a beau avoir un costume. Ca ne fait pas de nous quelqu’un.

Après avoir gratté un peu le fond de ses poches, il arriva à trouver des vestiges de bonbons rigolos. Et comme il ne savait pas trop quoi faire. Et bah, il valait mieux se taper un bon trip solo. Ce qu’il fit. L’effet ne se fit pas attendre. Des petits coups saccadés lui tapotèrent la tempe. Une bouffée de chaleur accompagnée d’une sensation d’un énorme bien être firent surface. Et sa vision se tordit en des formes que le monde réel ne pouvait même pas reproduire. Ceci fait, il commença à marcher au hasard et à se laisser emporter par cette douce frénésie. Et paf, il arriva devant ce qui semblait être un bar… le Hunter Lubrique.

« Parfait… Parfait… » Soupira-t-il tandis qu’un sourire d’un machiavélisme déroutant se figea sur son visage. Les yeux livides et le teint zombifié, il entra donc et, d’un coup d’œil, visualisa, autant qu’il pouvait le refuge aux ivrognes. La fête allait pouvoir commencer.
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Staz

[Kabbale]

Après un entretiens fort sympatique, Kabbale fut jeté dehors par le maire dont le sang froid avait prit la poudre d'escampette tel lle soupirant d'une belle demoiselle un jour de gastro.

"Je crois que ça s'est bien passé " Déclara t-il alors que la porte se refermait violement derrière lui.

Il fit quelques pas pour quitter la mairie lorsque soudainement ses pérégrinations furent stoppé par deux hommes en costume, plus costauds que lui et sans doute aussi plus fort que lui.

"Suivez-nous !" Lui ordonnèrent-ils.

"O---K---A---Y !!!! " Répondit-il simplement.

Que faire d'autre, leur montrer qui était le patron Et puis quoi encore, ils sont costauds vous dis-je

Les deux gorilles l'emmenèrent jusqu'à une ruelle déserte où seul St LUC sait ce qu'on y fait afin de...

De l'interroger bien sur

Devant l'imposante carrure des deux molosses humains, la langue de Kabbale, tel la ceinture de chasteté d'une nymphomane à qui l'on propose une nuit entière de gang bang, se délia sans attendre...
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Kabbale

Acheter chez Francis !!

[kaizoku]

[Kabbale]

Une fois les deux gorilles maîtrisé, Kabbale passa aussitôt à l'interrogatoire afin d'en apprendre plus sur le fameux Exam Hunter.

"Parlez sinon je vous pète à la gueule avec technique : le souffle anal de St Luc !!!"

Peut-être que kabbale ne déclara pas exactement ces mots là, peut-être que les choses furent même complètement différentes mais en tout cas, c'est ce qu'il vous racontera si vous lui demandez ce qui a bien put se passer dans cette ruelle.

Qu'importe car les deux gorilles se mirent à table et lui révélèrent pas mal de chose. Une fois toutes les réponses à ses questions obtenues, il laissa les deux vilain retourner voir leur maman.

"La prochaine fois mettez des couches, ça vous évitera de vous pisser dessus face à plus fort que vous haaaahaaa "

Ceci fait, il regarda vers l'horizon avec interrogation.

"Je vois, l'exam est donc là bas... la question est de savoir si j'ai vraiment envie d'y aller... bon, aller, pourquoi pas ^^"
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Kabbale

Acheter chez Francis !!

[Kokowa]

Kokowa se sent tirer vers le bas. Vers la base. Le souvenir récent, celui du magasin la picote encore, la brûle. Meurtrie, victime, elle n’aurait jamais –Ô grand jamais- imaginé que l’une de ses deux passions, faire du shopping, puisse devenir un jour à ce point un supplice. Elle se revoit encore face à ce miroir diabolique qui lui propose ce reflet immonde dans des fringues banales, populaires. Elle frissonne, se dégoûte. Depuis, elle ne se sent plus vraiment elle. Elle pleure encore sa robe blanche et ses hauts talons : ce sont là les sacrifices d’une femme obsédée par son image.

Bien sûr, la garce s’attendait à ce que l’Examen soit comme on le dit aussi dur que dangereux, voir mortel. Atterrir à l’hôpital pour y être décorée de tubes en plastiques et perfusions en tout genre, ou dans une cage en bois à 6 pieds sous terre étaient des risques calculés –du moins semble-t-il. Mais que l’exercice soit humiliant au point d’en sacrifier son look ???


Kokowa serre les dents. Et boude. Elle boude comme une fillette qui a perdu sa peluche, comme une femme qui n’a pas eu son sac à main pendant les soldes, arraché in extremis des mains par sa « rivale de mode ». Alors, elle n’a pas d’autre choix et se raccroche à ce qui la caractérise et qui la définit, ce qu’elle tient précieusement entre ses doigts. Mais, au fond de ce pioytable déspoire surgit une question simple : Kokowa se réduit elle donc à un simple objet ? N’est-elle au fond pas plus que ça ? Une personne ?

La garce secoue la tête et tourne la tête vers Sissel, son partenaire de jeu. Elle plante ses yeux d’azur dans son dos qui vient d’être choyé par une bille. Jusque là leur plan a plutôt bien fonctionné et voilà que Dieu –ici le MJ comprenez bien- décide de semer sur leur route –droite- une flopée de tanks miniatures. Le bougre est il à ce point fan du Stand Bad Compagny ?!

« Kokowa déteste les Wargamers et autres modélistes. Ce sont, soit des ados aussi boutonneux que des calculatrices et aussi gras que des churros, soit des adultes qui n’ont jamais fini leur puberté et qui ont autant de charisme et de confiance en eux qu’un cul-de-jatte à un concours de corde à sauter. Ajouté à ça que dans les deux cas ils n’ont qu’une idée en tête : réussir à sortir leur cornichon du bocal. Et vous voilà avec un très beau tableau. »

La demoiselle marque une pause regarde ce qu’elle tient dans sa main, bien caché, et fait le parallèle avec la situation, l’environnement qui l’entoure. Ses pupilles glissent, sa caboche cogite. L’analyse terminée, elle sort son plus beau sourire. C’est à ce point intrigant et excitant qu’elle en arrive à oublier qu’elle porte.

« Kokowa a compris ce petit manège , et je dois avouer qu’il est plutôt pimenté, bien pensé. Comme Kokowa l’aime. »

Et, une nouvelle fois, la discussion se transforme en murmures.
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- Kokowa -
Café glacé. Bien sucré.

[Sissel J Tengo]

Un peu plus tôt dans les magasins notre petit couple se mirent à une parodie du célèbre film « Pretty Hunter » - oui il y a un copyright dessus - la jeune brunette semblait ne pas apprécier de petit moment, c’est sûr pour une fashionista de s’habiller comme la peuplade était hors de question et surtout une humiliation, mais pour la situation il y avait exception. Tengo, lui n’avait pas l’air d’être en colère il s’était changer dans des vêtements plus simple et passe partout, sa lui allait plutôt bien. Mais ce qui pouvait surtout « impressionner » sur le moment était qu’il avait retiré ces fameuses lunettes de soleil Hunter Armani, laissant paraitre ces beaux yeux bleu azur similaire à la belle Kokowa. D’ailleurs celle-ci malgré le fait qu’elle n’appréciait guère sa tenue semblait être toujours aussi voluptueuse et élégante.

C’est ainsi que le couple se balada en ville, s’arrêtant de temps en temps dans des ruelles pour on ne sait quoi. Jusqu’à arriver à une certaine place ressemblant à un quartier artisan.

Tengo regarda ces alentours comme s’il y avait quelque chose de louche, mais ne perdit pas de vue la blonde qu’il suivait, oui en réalité le duo étaient entrain de suivre une personne, voilà ce que le MJ à dévoiler ! Et Dieu mi-homme mi-chèvre décida d’abattre une calamité sur eux ou plutôt sur notre blondinet.

Celui-ci reçu une sorte de bille à pleine vitesse dans le bas de son dos, le jeune homme voulu hurler sa douleur mais se retint de faire un bruit quelconque déjà car c’était un cri étouffer et ensuite qu’il ne voulait pas « attirer » l’attention de la blonde suivie un peu plus tôt. La bille avait sans nul doute déposé sa marque de passage avec un hématome.

C’est alors que Kokowa, sa partenaire, se mit à expliquer son dégout des tanks miniature en suggérant que leur utilisateurs n’était point « élégant », pour ne pas choquer les plus jeunes. Puis après un court un instant de réflexion la demoiselle rayonna de joie.