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Men NeN Site Admin
 Joined: 15 Feb 2012 Posts: 684
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Posted: Tue Sep 04, 2012 10:12 pm Post subject: [Léo, Yoichi, Alis et Sissel] Le prix des rêves |
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Alis et Yochi
Quelques temps auparavant.
Ce matin là dans les rues principales de la ville de Sphinx, il avait été difficile de passer à coté de l’information à la une de toutes les chaînes.
« Un spectaculaire revirement de situation dans l’affaire qui opposait le très controversé négociant en œuvre d’art Lionel Limburgs et la journaliste connu sous le nom de Justice…. » Annonça une reporter sur l’écran géant de l’avenue Maria Schoultz.
« … coiffé d’un casque à moto à la visière opaque que la jeune femme s’est présenté à chaque audience de son procès. Il est donc à l’heure actuelle impossible de déterminer l’identité de la mystérieuse Justice. Les personnes ayant assisté à l’audience se refusent à tout commentaire. Les…» Enchaîna un écran plat situé dans la vitrine d’une rue perpendiculaire.
« … me croire, une personne qui cache son identité sous un pseudonyme aussi présomptueux et qui se terre chez elle pour vendre ses tissus de mensonge ne peut être qu’une affabulatrice éhonté ! » S’écria violemment un homme au micro d’une journaliste sur l’écran de portable d’un passant.
« … avéré que plusieurs journaux dont le The world auraient été en lien avec la journaliste Justice pour lesquelles elle signa des articles sur des sujets dérangeants voire même tabous. Ses écrits ont toujours dénoncés les malversations et les écarts de conduite des puissants. Avec cette affaire, c’est tous son travail qui est remit en cause, des voies s’élèvent déjà pour contester la crédibilité de l’ensemble des travaux de justice… » Déclara calmement le psycologue Erben Strahauss dans une émission de variété.
A l’entrée d’un café, on pouvait entendre les échos du JT.
« … condamné Justice à une lourde amende, le journal ayant publié l’article a quand à lui mit la clef sous la porte. L’archéologue Lionel Limburgs, accusé dans l’article de falsification d’œuvre d’art a su, expert à l’appui démontrer que les accusations de Justice étaient sans fondement, les... »
Il pleuvait ce jour là.
Aujourd’hui
Depuis son retour du japon, Alis avait put regagner son logis sans trop d’encombre en compagnie de Yochi. L’affaire qui avait sali sa réputation avait depuis longtemps cessé d’intéresser le public, elle n’avait cependant pas disparut des mémoires et ses anciens employeurs avaient su le lui faire comprendre.
Les plus honnêtes avaient simplement expliqué qu’ils ne pouvaient plus prendre le risque de publier ses articles, les plus direct avaient simplement refusés de lui répondre et les autres prétextaient diverses excuses dénuées de sens.
En résumé, Alis peinait à trouver un journal acceptant de publier ses articles. L’amende l’avait pratiquement mit au pied du mur et les jenis commençaient à manquer. Yochi quand à lui, fraichement débarqué dans cette ville allait devoir se prendre en main pour s’habituer à ce nouveau décors.
Où dormait-il, canapé ? Lit de Alis ? Niche du chien ? Panier du chat ? Placard ? Ils décideront. Toujours était-il que Yochi cherchait un effaceur de nen mais que ce type de manipulateur ne se pressait pas au portillon.
Où pouvait-il chercher quelqu’un dont il avait ignoré l’existence depuis le début de leur vie, La ville était grande et les possibilités infinies. La seule piste apparemment sérieuse se trouvait en la personne d’un gringalet croisé à la sortie d’un magasin quelques jours plus tôt dont le corps émettait une aura.
Une rencontre qui aurait put s’avérer banal si nos héros n’avaient rien su du nen. Le loustic avait tourné à la première rue puis avait pénétré dans un bar miteux nommé « l’ANM ».
C’était l’heure des informations, un reportage évoquait un tableau du génial Passo Picablo que tous croyait perdu, récemment retrouvé par le célèbre musée de la louve.
Difficile d’y voire de l’art aurait bougonné certain tant le dessin était grossier mais parfois, certains succès ne s’expliquaient pas. Toujours était-il qu’aujourd’hui était le jour que le musée avait choisit pour révélé l’œuvre au public au cours d’un cocktail.
Son ordinateur sonna, elle venait de recevoir un mail dont l’adresse d’expéditeur ne faisait pas parti de ses contacts. Il avait pour objet ou titre, c’est selon, « Millénaire »
Quote: |
« Bonjour,
Mon nom est Patrick Cymbale, je travail pour le journal millénaire. J’aimerai vous proposer un travail. Je vous donne rendez-vous au café des délices aujourd’hui à 15h00. Venez si vous êtes intéressé.
Cordialement. » |
Alors qu’elle achevait la lecture du mail, sa main s’empara machinalement de son appareil photo et elle visa un des journaux qui trainait à terre ouvert à la page 23.
« L’œuvre du maître retrouvé.
Longtemps considéré comme perdu, le tableau de Passo Picablo, la sorcière au comptoir, a été retrouvé par le musée de la Louve (ci-dessous une photo de l’œuvre datant de quelques semaines avant sa disparition). »
Il était 12h16, que comptait faire notre journaliste…[/quote]
Sissel
Deux jours plus tôt.
Suite à des aventures plus que mouvementés sur l’ile d’Enozama, Sissel s’en était retourné chez lui afin de retrouver famille et foyer.
Il n’avait pas obtenu le titre de hunter mais le précieux label n’était-il pas remit en jeu tous les ans ? Le prochain essai serait peut-être le bon à présent qu’il maîtrisait le nen.
Il avait été débarqué par le même navire qu’à l’aller dans le port de départ de leur précédente aventure. Puis était venu l’heure de la séparation. Kokowa et Loki s’en étaient allés de leur coté laissant Sissel seul vers sa nouvelle destination.
C’est alors qu’il fut interpelé par un vieil homme en habit de majordome courant dans sa direction. Il ne fallut pas longtemps au jeune homme pour reconnaître l’accoutrement imposé par son grand père aux personnels de la demeure familiale.
« Monsieur Tengo ! Monsieur Tengo !! Attendez-moi s’il vous plait !! » Cria t-il à son intention.
Il s’arrêta devant lui essoufflé.
« Je vous ait manqué au port… grâce au ciel, je vous retrouve enfin. Je viens de la part de votre mère. Elle vous demander de rentrer le plus rapidement possible, il se passe des choses graves là bas ! »
Aujourd’hui
Sissel faisait à présent face à Lynne Tengo, sa mère. Tous deux étaient assis dans le salon devant une tasse de thé. Le décor avait complètement changé, le manoir familial était pratiquement vide, tous les meubles ayant été saisis, les personnels congédiés et le reste de la famille absent.
Nos deux protagonistes étaient assis sur des piles de livres poussiéreux et les tasses de thés n’étaient autres que des gobelets en plastique.
« Ton grand père à perdu la raison, Sissel ! » Annonça sa mère épouvantée tout en remuant nerveusement une cuillère en plastique dans son breuvage. « Il a tout vendu ! Tout ! Il ne reste plus rien, nous avons tout perdu, nous sommes… pauvres. » Gémit-elle.
Le majordome qui l’avait retrouvé était le seul demeuré au manoir, son grand âge et les nombreuses décennies passés auprès de la famille Tengo l’empêchait d’abandonner ceux qu’il avait servit si longtemps.
« C’est à n’y rien comprendre, Sissel, tout est arrivé si vite. Les jours précédant le drame, il ne dormait plus, il passait des heures au téléphone enfermé dans son bureau, ton père et moi avons essayé de le questionné mais il était comme possédait, il répétait sans cesse la même chose : « C’est incroyable mes enfants, l’aboutissement de toute une vie, vous allez voir ! Vous n’en reviendrez pas ! » Puis il partait comme si il était possedé et s’enfermait dans son bureau à nouveau, il ne mangeait presque plus.
Et puis un matin, on a frappé à la porte, une armée de déménageur son arrivé, ils ont expliqué que tout allait être saisi et sans attendre, ils se sont mis au travail. Nous nous sommes précipité au bureau de ton grand père mais il avait disparut.
L’après midi même, le banquier de la famille nous a expliqué que ton grand père avait tout vendu, la famille Sissel ne possédait plus rien, l’entreprise était désormais la propriété d’un certain Benjamin Linus qui réside dans un hôtel de la ville. »
Lynne Tengo tremblait à présent.
Il a tout vendu, Sissel, tout !! J’ai peur pour lui, que lui est-il arrivé ? Ton père est parti à sa recherche, sans résultat pour le moment. Ton frère ne répond plus à mes appels. Et ce n’est qu’une question de semaine avant qu’ils ne nous obligent à quitter le manoir. »
Ce que Lynne ignorait, c’est que Barnabé, le majordome avait remis à Sissel une lettre de son grand père daté de deux jours suivant le drame. Elle avait été envoyée depuis la poste de la ville de Sphinx situé sur le continent Yorubian.
Quote: | Mon cher Sissel.
Je dois certainement avoir été la cause de grands tourments pour tes parents et pour toi. Sache seulement qu’il ne m’était pas possible de retenir ma soif de connaître la vérité et pour cela j’ai dû faire de grands sacrifices. Mais qu’est-ce que l’argent face à la quête de toute une vie ?
Je réalise aujourd’hui que mon journal, « le codex », que j’ai monté durant des décennies et dans lequel j’ai renfermé toute mes recherches n’était qu’une perte de temps. Je m’étais trompé, j’ai voulu privilégier la science et ne m’en tenir qu’aux faits mais un matin en écrivant une nouvelle page, j’ai compris que j’étais dans l’erreur.
Depuis toujours la science a tendance à attacher plus d’importance à ses théorie qu’aux faits eux même. Les théories sont bâtis sur des faits pour expliquer la réalité, mais dans ce processus d’autres fait sont mit de cotés. Des faits nouveaux peuvent faire évoluer les théories mais on les ignore généralement.
On appel ces faits des anomalies soit des faits qui ne cadre pas avec les théories. Durant les 150 dernières années les archéologues et anthropologues ont littéralement caché autant de faits qu’ils en ont mis à jour tout simplement parce qu’ils dérangeaient leurs grandes théories.
Aujourd’hui, je me tourne vers ces anomalies pour résoudre ma quête, elles sont proches, je le sais, la réponse est ici et je vais bientôt la trouver !
Ton grand père. |
Que comptait faire Sissel ?
[HRP : Beaucoup de possibilité disséminé dans ce post, à toi de choisir, sache juste qu’il n’y a pas une seule voie menant aux réponses mais que toute demanderont astuce et réflexion :p]
Léo
C’est la jauge de Nen gonflé à bloc et affublé d’un nouveau look que Léo démarra cette nouvelle aventure.
C’est après avoir appris de son maître le nen à la fin de longues péripéties que notre héros en était revenu dans la belle ville de Spinx, capitale de l’archéologie et des découvertes retentissantes. Mais l’heure n’était pas aux fouilles ni ou recherches effréné à l’intérieur de bibliothèques dégueulantes d’ouvrages poussiéreux plusieurs fois centenaires.
Non, c’était la fête du bonbon ! Ces friandises sucrées importés il y a longtemps par le confiseur Kad Burry avaient eut un grand succès, succès qui n’avait jamais été démenti depuis. C’est pourquoi en ce jour de célébration. Commerçant et artisans de la gourmandise ouvraient leur établissement aux amateurs de saveurs sucrées.
Saltimbanques et musiciens emplissaient les rues pour chanter l’hymne du bonbon, des chars gigantesques circulaient dans les rues et la foule venait emplir les trottoirs pour fêter comme il se devait l’évènement de l’année.
Le président de la fête, le hunter gourmet, Yabitaki Nakuti, ayant trop abusé de chocolats à la liqueur, ouvrit le bal en annonçant qu’il avaient rapporté de ses voyages un bonbon conçu à base de sucre de canak, un ingrédient rare et si difficile à obtenir que seul les hunters gourmets avaient la réputation d’être capable de les trouver.
Aussi lança t-il un petit jeu : celui qui parviendrait à le retrouver, gagnerait le dit bonbon !! La chasse fut aussitôt ouverte puisque ledit hunter s’éclipsa dans un nuage de fumée. Laissant une fois le brouillard dissipé pour seuls indices une tablette de chocolat noir et un rouage.
Autour de Léo, la fête battait son plein, face à lui, l’estrade depuis laquelle, le hunter avait fait son discours.
A sa gauche une avenue donnant sur le quartier des pâtisseries où des matchs de combat de tarte à la crème avaient lieux. De grosses récompenses étaient promises dont une superbe moto à l’effigie du jeu Fantasy Ultime 9.
A sa droite une rue donnant sur le quartier du chocolat, où les artisans réalisaient de sculptures impressionnantes en chocolat !!!
Dernière lui, un quartier peu animé, le quartier des affaires où les business-man ne semblaient pas enclin à se joindre à la fête. Sur un des écrans géants, l’annonce indiquait que le musée de la Louve était à la recherche de garde du corps pour réaliser une mission escorte.
Au loin surplombant la ville, la construction plusieurs fois millénaire dont les origines font encore débat chez les archéologues et les historiens : le linx. Statut gigantesque d'un linx doté d'une tête de femme.
Et dans la tête de notre héros Léo, peut-être un objectif secret à accomplir ? C’était à lui de voir ce qu’il entendait faire dès à présent.
[Hrp : Voila, tu es libre de choisir ta voie, diverses possibilités te sont ouvertes ^^
Bon RP] _________________ Men Nen pour nous les hunter ! |
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Yoichi Fallenstar Hunter
 Joined: 19 Feb 2012 Posts: 52 Location: Avec des gens ... Exam Hunter
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Posted: Sun Sep 09, 2012 8:31 pm Post subject: |
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Debout Yoichi se tenait a l'entrée du bar, l'ANM regardant calmement les pochtrons qui devait peupler ce bar. A son entrée il sentit pendant un cour instant tous les regard peser sur lui, le scruter puis l'accepter. Comme si il avait passé un test, comme si certaines personnes ne pouvaient entrer ici ... et de toute évidence ce n'était pas un age minimal qui était la condition. A bien y regarder, tous avait une aura, tous possédait le TEN, au minimum.
Mais comment Yoichi s'était il retrouvé la, il fallait revenir en arriere. Le jeune gamin avait voyagé jusqu'au Japon pour y apprendre le Nen et y avait rencontre sa "grande soeur" Alis Nemesis alias Justice. Dans ce pays reculé il avait coupé définitivement les ponts avec les mafieux qu'il avait utilisé pour participer a l'examen, et il se doutait aujourd'hui qu'il y aurait un cout a payer pour cette liberté ... il n'en avait cure pour l'instant. Il habitait avec Alis qui avait montré un effet relaxant sur le jeune fou, il avait commencer a vivre avec elle une vie qui loin d'etre modele était la plus normale qu'il n'avait jamais vécu. A son contact il avait appris une notion qui lui échappait, une notion de justice, de bien et de mal. Des concepts abstrait que nul adulte ne lui avait enseigné. Nous n'irons pas jusqu'a dire qu'il comptait les appliquer vitam eternam, mais qu'il allait tenter de les respecter, tant qu'il vivrait avec elle.
A son contact des sentiments naquirent dans le jeune homme, une culpabilité pour Kabbale et Wildrej qu'il avait trahi sur un coup de tete ... sans autres raisons que de voir ce qui se passerait, aujourd'hui il ne savait pas ce qu'il aurait fait, trouvant la chute de cette blague hilarante mais comprenant l'impact de ses actes ... Mais surtout il était redevable a ses maitres, voués a une mort certaine et qui en lui apprenant le Nen lui avait ouvert un monde fermé jusque la.
Mais se sentait il vraiment redevable ? Ne trouvait il pas drole de se jeter dans le monde du nen et la malediction de ses maitres n'étaient ils pas qu'un simple pretexte ? Pousserait il cela jusqu'au bout ou changerait il d'avis si il trouvait plus "drole" a faire, il n'en avait aucune idée et était de plus en plus conscient de sa propre folie, de son propre sens de l'humour, dérangé et malsain. Il avait songé en parler a Alis, mais elle aussi, un jour, peut etre, il la trahirait, a cette pensée son coeur se serra mais son cerveau étrangement calme lui accordait a cette possibilité toute son importance ...
Mais passons, le jeune homme chercha pendant plusieurs jours des infos sur des homme dotés de Nen et en trouva un qui entra dans un bar, un bar louche, un bar interessant.
Voila pourquoi Yoichi était a présent devant ce lieu ou il s'amusa a regarder un a un les personnes s'y dressant. Il avait prévenu Alis de ses recherches et comptait les mener a bien ... avec ou sans son accord.
Un barman essuyait des verresavec acharnement alors qu'une serveuse que d'aucun aurait trouvé sexy déambulait pour servir des commandes, sur une table deux vieux (pour yoichi la quarantaine semblait etre, comme pour tous les jeunes, le troisieme age) montrait des coupures de presse. Sur une autre table, trois mecspour une nana semblait se tirer la chique a qui fera le beau : sans interet autre qu'organiser un battle royal pour leur permettre de savoir qui était le mal dominant yoichi ettouffa un ricanement a cette pensée. et reporta son attention au bar ou un homme enfilait les verres ... Peu importe Yoichi décida de parler au Barman, apres tout, il n'allait pas déranger les autres ...
"Bonjour, c'est moi ou l'AnM n'est pas un bar comme les autres ? Enfin, j'aurai besoin d'infos sur un mec capable d'effacer ce que des gens comme vos clients savent faire, kufufufu si vous voyez ce que je veux dire Kufufufufufufu"
Sans détour, mais sans info le gamin n'avait aucun moyen d'aller plus loin _________________ - Yoichi Fallenstar - |
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Sissel J Tengo Candidat
 Joined: 12 Feb 2012 Posts: 58 Location: Continent Yorubian, Enozama
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Posted: Mon Sep 10, 2012 10:28 am Post subject: |
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L’aventure d’Enozama était enfin finie et notre antiquaire favori rentra chez lui, du moins c’est ce qu’il pensait pouvoir faire mais au dernier moment un majordome du nom de Barnabé vint l’interpeller, convoquant le jeune homme à la demeure familiale sous la demande de la matriarche. Une fois arriver dans le manoir de son enfance, Barnabé ouvrit la porte d’un monsieur, Sissel entra de suite sans se faire attendre. La première chose qui lui sauta aux yeux fut les meubles et différentes décorations qui n’étaient plus. Sa mère l’attendit non loin, elle se leva et le prit dans ses bras avant de l’inviter à s’assoir sur les bouquins qui servaient désormais de chaise. Le majordome apporta ensuite un gobelet de thé, même les porcelaines avaient disparu. Après une explication dramatique de la part de sa mère dans ce qu’il restait du manoir Tengo, le fils comprit la situation.
Le temps d’une courte réflexion puis il se tourna vers le majordome qui l’avait servi depuis sa plus tendre enfance.
« Mon vieil ami, ne saurais-tu pas ou mon grand-père aurait laissé son journal/mémoire, le codex ? Sais-tu ce qu'ils nous restent de ce manoir ? Chambre ? Meubles ? Livres ou bibliothèque ? »
Barnabey indiqua à Sissel une pile de livre sur laquelle trônait un cahier portant le nom de « Codex » écris au feutre noir. A l’intérieur du livret les trois quart des pages avaient été arrachés pour finir on ne sait où, il ne restait plus à leur place que des moignons de papier dépassant de la reliure. Parfois, une page mal arraché avait laissé une étroite bande où apparaissaient des débuts de mots mais rien qui ne soit lisible ou compréhensible.
Sur le quart restant du livre, il n’y avait que des pages blanches, hormis la première d’entre elles. Le texte suivant y avait été écrit à la main.
Quote: | « … cd s+akdssdr c’+qfhkdr c+s+ms cd k+ bhuhkhr+shnm Nj+. I’+h +bpthr k+ bnmuhbshnm ptd bdr s+akdssdr rnms k+ bkde ontq qdsqntudq k+ sq+bd cdr +qldr +mshptdr. Odqrnmmd md rdlakd bqnhqd dm bdssd gxonsgèrd l+hr k+ qébdmsd cébntudqsd cd bdqs+hmd cd bdr s+akdssdr o+q Khnmdk Khlatqf ld odqlds à mntud+t c’droéqdq.
I’+h lhs sntsd l+ enqstmd dm idt ontq kdr nasdmhq l+hr dmehm dkkdr rnms à lnh. Hk ld e+ts à oqérdms bnms+bsdq U+mc+ Rnldqg+kc, dkkd rdtkd ontqq+ ld sq+cthqd k’ébqhstqd cdr Nj+. Ds +knqr dmehm id sntbgdq+h +t ats. Mntr mntr qdsqntudqnmr c+mr sqnhr intq c+mr k+ uhkkd cd Roghmw, +knqr dmehm id ontqq+h +bgdudq k’œtuqd cd l+ uhd… » |
« Il écrit toujours avec ce langage code incompréhensible… » Commenta Barnabé. « Il parait que votre frère sait le déchiffrer mais lorsque je lui ai posé la question il a ri en disant que je ne prenais pas assez de recul. »
Sissel analysa le texte qu’il venait de lire, enfin qu’il venait de découvrir, le déchiffrer n’allait pas être une partie de plaisir mais le temps passer avec son grand-père lui permettrait de comprendre son système de codage.
« Un langage codé... je vois, merci bien mon cher Barnabé ! Savez-vous qui aurait arraché ces pages ? Mon grand-père ? »
« Apparemment, ce serait l'œuvre de votre grand père... »
Sissel positionna alors son index sur son menton tout en regardant le texte, avant de le refermer. Il continua ensuite la discussion qu’il entreprit avec le majordome.
« J'ai une dernière requête pour toi Barnabé, je souhaite que tu aille à cette adresse avec ma mère, c'est mon appartement vous pouvez y séjourner aussi longtemps que vous le voudrez. Une fois la bas contacte mon père, dit lui que mes parents et toi allez habiter la bas un temps. »
« Bien, je crois que je vais partir à présent, votre mère a plus que besoin de ce nouveau départ, nous en convenons.
Je vous recontacterai si j'ai du nouveau. »
Jowd vit alors partir sa mère avec son majordome qui portait les valises contenant certainement ce qu’il restait à la famille Tengo : leurs vêtements et des photos. Une fois seul notre blondinet sorti son cellulaire et entra dans son répertoire pour appeler quelqu’un. Le son habituel d’un appel, un « tuuu---tuuuu--- » avant que quelqu’un décroche.
« Secrétaire du hunter Tengo, je vous écoute ?
Mr tengo est parti à un rendez-vous, il sera absent durant toute la semaine et à relié son téléphone portable à mon standard, puis-je prendre un message ? »
« Sissel Tengo a l'appareil, le frère de Juugo, j'aurais voulu lui parler directement mais ce n'est pas possible à ce que je vois. Savez-vous avec qui il a rendez-vous et où ? »
« Aaah vous êtes son frère, alors à vous je peux le dire : Il est à Sphinx en ce moment même, Il aurait rendez-vous avec un certain Lionel Limburg.
Mais... vous êtes aussi mignon que monsieur Tengo ? »
« Un rendez-vous avec Lionel Limburg ? Avez-vous l'adresse ?
Je ne sais pas ce sera à vous de le juger si vous me voyez un jour en personne. »
« Mais... c'est Mr Limburg voyons... le négociant en œuvre d'art, il a même été récemment en procès avec justice, la reporter anonyme. Il dirige le musée de la Louve.
Apparemment il a gagné... mais moi monsieur Tengo, si vous voulez mon avis, ce type est louche. La preuve, il été l'amant Krissen Seewart, vous savez celle qui sortait avec Rober patin. Je 'ai lu dans le magasin Glover en page 3, 4, 5 et 6. L'affaire a aussi été publiée dans le York Shin Match. »
« Je vois, bien merci du renseignement chère secrétaire.
Dernière question, qui est cette Justice ? »
« Une journaliste mystérieuse, personne ne connait son identité. »
Après un au revoir le jeune homme raccrocha puis sorti du manoir, il contacta une nouvelle personne lui demandant des informations sur certaines personnes, l’informateur ou devrions-nous plutôt dire l’informatrice n’était autre que sa camarade qu’il appelait Honey, Kokowa. La demande compléter il appela un Taxi qui l’emmena chez lui d’abord pour récupérer une petite valise avant de l’emmener et le déposer a l’aéroport. Sissel se dirigea alors au comptoir des ventes pour attraper un vol de dernière minute, ces vols pouvaient parfois être économiques, car pour être rentable un avion doit être plein. Il leur fallait donc remplir le véhicule de transport rapidement avec le plus de personne possible, donc baisser le prix.
« Un billet pour aller a Sphinx s’il vous plait. »
C’était décidé la prochaine destination de notre blondinet était la ville de Sphinx ! _________________ Sissel J Tengo, "Un Brandy, un Cigare et mon argent je vous prie" |
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Alis Candidat
 Joined: 24 Apr 2012 Posts: 35
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Posted: Mon Sep 10, 2012 5:43 pm Post subject: |
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Si ce n'est de Yoichi, Alis s'était pleinement isolée du monde ce dernier mois. De retour dans ses mauvaises habitudes, elle avait replongé dans son affaire irrésolue, animée d'un zèle plutôt frénétique. Partant son petit appart avait pris de plus en plus des allures de tanière, la lumière étant éteinte, les volets baissés et la pièce rétroéclairée par la seule télé, toujours allumée. Les chaînes de cette dernière changeaient sans cesse, sans qu'il n'y ait pourtant quelqu'un pour les regarder. Alis ne zappait plus que de son bureau, que pour écouter d'autres JTs, trop accaparée qu'elle était par son travail à l'ordi. Sur son computer, plusieurs articles scannés et numérisés étaient recoupés, quand d'autres attendaient simplement leur heure.
Alis clique sur l'un, clique sur l'autre, dans l'espoir d'une révélation ; mais l'esprit n'est plus très frais. Notamment, son ventre gargouille... pour la vingtième fois. La jeune fille décide de l'écouter cette fois. Ne quittant pas sa chaise, elle est à roulettes, elle s'élance de son bureau à sa kitchenette. Alis se lève, s'étire, baille même, puis dans le placard saisit une boîte de pâtes instantanées qu'elle place dans le micro-onde.
Tududut, vous avez un nouveau message
Puis elle retourne à l'ordi, le temps que ça se fasse.
- « Patrick Cymbale... ? 'connais pas. 15H30 ? Ben tiens, il se renseigne même pas sur mes dispositions, culotté le gars. Et bien j'espère que ton affaire n'est pas pressé, moi je ne le suis pas ».
Message archivé
Ça sent le brûlé ! Alis retourne à sa kitchenette sans se presser, récupère ses pâtes, les jette, prend une nouvelle boîte, et répète la manœuvre sans oublier l'eau cette fois. Sur le petit écran, le JT se termine et laisse place à un reportage sur la sorcière au comptoir, un tableau du peintre Passo Picablo. C'est sa pause, Alis s'interdit de changer de chaîne et profite. C'est pourtant dans ces images que l'investigatrice trouve matière à tiquer. Elle ne saurait dire à quoi par contre ; le flair du détective ? Se vider l'esprit par des tâches mécaniques rafraîchit l'inspiration selon elle ; c'est ce qui l'amène à prendre et à régler son appareil, sa manière à elle. Parcourant machinalement la pièce, l’œil sur le viseur, la rouquine se retourne alors subitement et vise l'un des journaux qui trainait à terre. Même tableau, même auteur ; pensive, Alis agite la photo, visiblement soupçonneuse. Le micro-onde sonne, mais à nouveau sur les rails, elle préfère s'en retourner vers son ordinateur. Sur le net, Alis cherche des images du tableau avant sa disparition. Puis elle scanne la page 23 du journal. Enfin avec un logiciel de retouche d'images, elle superpose, filtre les deux tableaux, puis crée un masque pour ressortir les différences.
Une araignée oubliée sur sa toile, un collier rajouté, un noeud pap et une ceinture noircis, une tasse et un pied de tabouret soudainement endommagés, même la date est différente. La conclusion est sans appel.
- « Contrefaçon d’œuvre d'art ! C'est déjà assez de preuve pour cinq ans d'emprisonnement et cinq milliard d'amende... mais on ne me la fera pas deux fois. Yoichi a prévu des choses aujourd'hui de ce que je m'rappelle. Tant mieux ! Je ne veux pas le mêler à cette histoire. Limburgs... ».
Alis s'affaisse contre sa chaise.
- « ...es-tu derrière tout ça ?! » _________________ Alis |
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Léo Candidat
 Joined: 10 Feb 2012 Posts: 40
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Posted: Wed Sep 12, 2012 4:08 pm Post subject: |
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HRP : 3 semaines, 6 appels et 7 conseillers plus tard, ma bbox marche enfin. Désolé du retard
Il s'en était passé des choses dans cette derniere année. Il s'en était passé plus que dans tous le reste de sa vie.
Toujours a la recherche de petites choses pouvant exciter sa curiosité, Léo s'était remis en voyage en attendant la prochaine session de l'examen hunter auquel il avait échoué quelques mois plus tôt.
On lui avait certifier qu'il pourrait le repasser rapidement sans passer par la phase recherche, mais son echec lui avait peser lourd sur le moral. Jamais il n'avait échouer ou lacher le morceau jusqu'ici quand il désirait quelque chose. Et la pour s'etre blessé suite a une inattention, il avait essuyé le premier véritable échec de sa vie.
Afin que cela ne se reproduise pas c'était décidé : il devait devenir le plus fort possible. Et pour ce faire, il avait suivit les conseils de la jeune fille qu'il avait rencontré lors de l'examen, et apres moultes pérégrinations, avait rencontré le pere de cette derniere qui lui avait transmis, ainsi qu a Gamma, un garcon rencontré lors de l'aventure une nouvelle source de pouvoir : le nen.
Depuis ce jour la, pas une minute ne passait sans que Léo réfléchisse a la facon dont il allait utiliser ce pouvoir pour se renforcer. Avait il trouver la réponse ? Ca lui seul le savait !!
Enfin la n'était pas la question aujourd'hui. Ses pas l'avaient guidé jusqu'a la ville de Spinx, ou se tenait une fete tournant autour des patisseries et autres sucreries. Pourquoi se trouvait il la ? Avait il un objectif secret ? Le beau gosse qui controlait les mouvements de notre héro ( A SAVOIR MOI !!! ) s'était demandé pourquoi se retrouvait il la. Et une seule vérité lui apparut.
Peut etre qu'elle était la elle aussi. Il ne savait pas pourquoi, mais le jeune garcon voulait la revoir. Pourtant elle n'était rien pour lui, il s'était servit d'elle. Du moins c'était vrai au début, il ne savait plus.
Sans elle il n'aurait pas été aussi loin dans l'examen hunter. Sans elle il n'aurait pas rencontré l'homme qui lui avait transmis un savoir qui ferait de lui un tout autre homme lors du prochain examen.
Elle aimait les confiseries. Ca il l'avait vu plus d'une fois. Elle l'appellait ma petite sucrerie d'ailleurs, ou d'autres surnoms du meme genre. Si une fete mettait en valeur le sucre, c'etait sur, elle serait la.
Oui c'était décidé, il allait la chercher. Ne serait ce que pour etre fixé sur la raison pour laquelle il tenait a la revoir.
Errant dans les ruelles, Léo laissait trainer son regard dans les allées, a la recherche de celle qui avait été la folle a la parka, ou la tueuse au pistolet explosif.
C'est donc naturellement qu'il s'interessa a la petite démo du hunter gourmet, ainsi qu'a sa "mission". Une douceur "légendaire", elle sera forcement a sa recherche. C'est donc ici que Léo débuta sa nouvelle aventure. _________________ Léo Vesper
It's time to kick ass and chew bubble gum, but i'm outta gum |
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Men NeN Site Admin
 Joined: 15 Feb 2012 Posts: 684
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Posted: Wed Sep 12, 2012 5:24 pm Post subject: |
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Alis
Prise par le temps, Alis dû faire un choix dans ses priorités et le mdj tenta d’y donner l’ordre logique qui suit.
La jeune journaliste, plus prudente et rusée qu’un renard fit envoya un mail afin de recruter un avatar crédible qui irait prendre sa place au rendez-vous de 15h au café des délices. Malgré l’aspect formidable que revêt internet pour obtenir tout ce qu’on désir en temps réel, il fallu deux bonnes heures avant que ne lui parviennent une réponse, il était 14h23 :
Quote: | J’accepte le rôle.
Karinne, comédienne en devenir. |
Le mail avait pour pièce jointe une photo, permettant ainsi d’apprécier si oui ou non la jeune fille correspondait au profil. Apparemment, elle ne semblait pas demander de détail par rapport à la rétribution…
L’affaire entendue, la candidate s’installa au café des délices, un endroit lambda où plusieurs couples conversaient, des solitaires dégustaient une bière ou un soda, c’est selon mais à aucune table de jeune fille seule.
Il était 15h02 quand un homme s’installa finalement sur le siège situé en face de Karinne, la candidate.
« Bonjour, vous devez être l’avatar de Justice je présume. » Déclara l’homme aux longs cheveux noirs.
« Je n’ai pas eut le temps ni l’envie de vérifier si vous aviez été sélectionné selon un critère autre que physique mais j’ose supposer que vous serez parfaitement à même de délivrer un message. »
L’homme leva un doigt en l’air puis attendit une réaction de la part de la candidate qui ne vint pas. Pourtant Alis posté en retrait vit clairement un chiffre se dessiner, un chiffre fait de Nen, le chiffre 1 000. Il n’y eut bien sur aucune autre réaction de la part de Karinne qu’un silence impatient et curieux de comprendre où l’homme voulait en venir.
« Bon… la forme de votre aura m’avait déjà mit la puce à l’oreille mais je voulais en être sur. Ouvrez à présent grande vos oreilles jeune fille car ce que je vais vous dire, il faudra le répéter à votre… cliente ^^
Je suis Patrick cymbale, j’ai hésité entre divers stratagème pour vous délivrer mon message mais cela nous aurait fait perdre du temps et puis, j’ai considéré que ce serait plus courtois de venir en personne afin de ne pas créer de suspicion.
Bien sur, je ne peux pas rentrer dans les détails avec une simple imposture, sachez simplement que je représente un journal, sans doute le seul qui souhaite encore travailler avec vous. Peut-être avez-vous fait quelques recherches sur nous... on dit tout et n’importe quoi sur notre compte, sachez cependant que nos intentions sont similaires aux vôtres, donner la vérité, uniquement la vérité.
Si vous désirez vraiment que nous allions plus loin, il vous faudra venir en personne la prochaine fois, disons demain, je vous attendrais à partir de 17h00. Si vous ne venez toujours pas, il n’y aura plus de prochaine fois.» L’homme se leva alors de table.
Il fit mine de partir puis soudainement se retourna vers Karinne.
« A propos mademoiselle, pour ce genre de rôle, je vous conseille de demander au moins 50 000 Jenis, vous avez incarné Justice tout de même, ce n’est pas rien ! »
Puis il continua son chemin jusqu’à disparaître au détour d’une rue. Alis, elle, avait de son coté réussi à prendre une série de photo du Lascar. Restait à savoir si les clichés pourraient lui en apprendre plus sur l’individu.
Elle se rendit ensuite en moto jusqu’au musée de la Louve où une foule d’amateur d’art se pressaient, curieux de voir le tableau retrouvé depuis peu. Le lieu n’était pas commun puisque le 3em plus grand au monde selon le dire d’un guide posté prêt de l’entrée.
A l’intérieur des galeries longues de plusieurs centaines de mètres exposant toute sorte d’œuvres : les tableaux de Lenoir, Bonnet, Van Loght et Rampant sur la gauche, sur la droite les multiples trésors mis à jour par des archéologues en tout genre. La zone exposant les vestiges de la civilisation Oka était signalée fermé.
Et dans l’allée centrale, les œuvres de Passo Picablo exposées dans leur intégralité avec tout au bout, le fameux tableau retrouvé. Mais actuellement, Alis était encore dans le Hall d’entrée, Il y avait donc trois options de direction s’offrant à elle hormis celle de s’en aller ainsi qu’un escalier dont l’accès était réservé au personnel du musée.
Non loin d’elle, un guide attendait patiemment que se forme un nouveau groupe pour les emmener découvrir les merveilles que contenait la Louve. Devant l’entrée de chaque galerie, des gardiens vérifiant les billets des visiteurs. Sur le perron, une quadragénaire en tailleur et au visage sévère dirigeait fermement une équipe occupé à déroulé un tapis rouge pour la venue de futurs invités de marque. Chacun de ses ordres était validé par un « Oui madame la vice-directrice. »
Quel allait être l’objectif d’Alis ?
[HRP : Donc te voici au musée de la Louve. A toi de me dire comment tu mènes tes recherches, des pistes sont dissimulés, a toi de les saisir.
Concernant le passage au café des délices, je n’ai pas donné de suite au rendez-vous. A toi de voir si tu es d’abord repassé par chez toi avant le musée pour analyser les photos, payer Karinne (et surtout comment :p) ou que sait-je. A toi de me dire tout cela ^_____^]
Yochi
Après avoir traversé la ville de Sphinx sans passer par le centre ville, bondé depuis le démarrage de la fête du bonbon, notre héro atteignit finalement le bar ANM. Yochi n’ayant pas de temps à perdre posa immédiatement sa question au barman qui sans quitter le verre qu’il essuyait répondit tout aussi simplement ce qui suit :
« Un effaceur de Nen ? Ce que tu demande ne cours pas les rue, rien que l’information permettant d’en trouver un vaut cher, très cher. »
Il posa son verre et tourna son attention vers Yochi.
« Mais bon, c’est la raison même de cet endroit après tout, les gens échanges leur infos contre de l’argent ou d’autres choses, moi je les mets en contact, ils se rencardent ici et je vis des bières qu’ils boivent tout en discutant.
D’où le nom du bar : « Avec Nen Mec !! »
Pas mal n’est-ce pas »
L’homme semblait attendre une quelconque félicitation de la part de Yochi, restait à savoir si le garnement avait apprécié la prose…
Le barman interpela alors un des clients occupé à draguer quelques tables plus loin.
« Lars… Lars… vient par ici. J’ai un client pour toi. »
Après avoir refusé deux fois, il souffla puis quitta avec un air fâché devant l’insistance du barman. Il se dirigea jusqu’au comptoir et toisa Yochi de haut en bas.
« C’est lui le client ? Pitain… mec, j’avais la cote là bas avec la brune, pourquoi tu m’oblige à vinir juste pour un mec à qui il manque la moitié di membres et di yeux ? »
« C’est un mec Lars. Tu as bien vu sa gorge n’est-ce pas ? »
« Mi qui est-ce qi ti… ah ! Oui… oui ji l’avais vu… bien sur pour qui ti me prend ? J’essayais juste di faire du business avec elle... il, enfin lui. »
« Oe… bon, monsieur ici présent cherche un effaceur de Nen, tu connais un type toi il me semble. »
« Holaaa, une minute. Oui c’est possible mais je crache pas ça gratos moi, si le sans bras veut savoir où il est, j’veux quelque chose en retour. Il choisit soit 5 million de Jenis (environs 50 000 euros) ou alors il me rend un petit service. » Acheva Lars avec un regard qui en disait long sur la nature du service : dangereux et illégal.
Un choix était à faire et il n’y avait que quatre possibilités… voir cinq
Sissel
Lorsque Sissel arriva dans le hall de l’aéroport de la ville de Sphinx, il faisait déjà nuit. Pourtant au loin résonnait chants, musique et rires : la fête du bonbon battait son plein dans le centre ville.
En revanche, la périphérie dont l’aéroport faisait partie était épargné par les réjouissances.
http://www.unspeakable.org/gallery/var/albums/wallpapers/Fantasy/Fantasy-Cities/normal_6-Fantasy-City-1920x1200.jpg?m=1323338417
[HRP : je met le lien, j'arrive pas à l'afficher -___-]
Tracts, panneaux publicitaires et voyageurs curieusement affublés impatients de s’y rendre entouraient le jeune homme classe en toute situation. Même les journaux affichaient en première page l’évènement. Mais à en croire le déroulement des précédents posts, son objectif était tout autre.
La question était au final très simple : comment comptait-il l’atteindre ? La ville était grande et rien n’arrivait jamais sans qu’on s’en donne au préalable la peine. Sans moyen de transport personnel, plusieurs options s’offraient à lui : taxi, bus, métro ou la marche à pied
Ensuite quelle destination prendre, quelle adresse rejoindre ? Des dépliants et des cartes indiquaient plusieurs offices du tourisme disséminé dans la ville. Il y avait un guichet accueillant les touristes à la recherche d’un hôtel ou d’un point de chute.
Les lieux à visiter étaient tous représenté sur les cartes de la ville et ses environs mise à disposition pour les touristes. Le Lynx, gigantesque statue célèbre dans le monde entier, le musée de la Louve, 3em plus grand édifice de son genre au monde, les tombeaux des rois situé à 20km de la ville, le quartier des affaires, symbole de modernité noyé au milieu d’une ville vieille de plusieurs millénaires, le temple du dieu serpent, les phares Jumeaux…
Des ordinateurs connectés au net permettaient de rechercher les informations soit même contre quelques centaines de Jenis. Enfin, des guides proposaient leurs services pour 2 000 Jenis de l’heure.
Restait pour Sissel à faire ses choix…
Léo
Léo se dirigea donc vers l’estrade pour contempler le rouage qui semblait appartenir à un système gigantesque et la tablette de chocolat portant le logo Milkyfun sur chacun de ses carrés.
Il ne fallut pas longtemps pour que certains participants cherchent à s’emparer des deux indices et des pugilats débutèrent puis virèrent à la bagarre générale. Notre héro s’esquiva puis fit route jusqu’au quartier du chocolat comme plusieurs autres participants.
Une fois sur les lieux, il se dirigea vers le maître chocolatier suivi par deux autres concurrents. Lorsque le jeune homme interrogea l’artisan diplômé d’un master en chocolat, les deux gus attendirent derrière lui la réponse.
« Aaaah le chocolat Milyfun, c’est du chocolat pas cher produit à la chaîne, un achat peu recommandable pour les gourmets en quête de saveurs si vous voulez mon avis. Depuis qu’ils ont implanté leur foutu usine dans la ville de Sphinx, ils raflent tous les clients. Pour le rouage… bon, j’y connais rien honnêtement. J’suis pas mécanicien. »
Visiblement l’homme n’avait rien à ajouter, que comptait faire notre héros ?
[/quote] _________________ Men Nen pour nous les hunter ! |
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Yoichi Fallenstar Hunter
 Joined: 19 Feb 2012 Posts: 52 Location: Avec des gens ... Exam Hunter
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Posted: Sun Sep 16, 2012 10:50 pm Post subject: |
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AnM, véritable bar ou même forum d'idée et d'entraide ressemblait a s'y méprendre a un lieu conviviale ou un grand black sodomite aurait put vous .... enfin ... Yoichi toujours assis écouté les infos que lui divulguait les deux personnes ... des infos interessantes, que je vais vous énumérer ici.
La premiere était qu'on proposait a Yoichi un vol, d'un artefact, pour l'info de l'effaceur, Yoichi avait donc le choix soit choper de l'argent ... soit voler un artefact sans aucun doute lié au nen. Ses mentors lui avait expliqué qu'un simple objet pouvait avoir des capacités et qu'il fallait toujours se méfier de ce qui était ancien ... Lui restait donc l'optique de l'argent mais qui voler, les Lupertazzi l'ayant laissé sans le sous ...
"Les lupertazzi"
A ce nom Yoichi ne put cacher un vrai sourire. Un sourire fou, soit mais un vrai sourire, pour le gamin.
Il posa donc la question qui pouvait lier son amusement et l'argent a récupérer.
"ou trouver les Lupertazzi dans cette ville ?"
"Il y en a oui mais je n'ai pas besoin de vous vendre une info aussi banale, ils ne font rien pour se cacher, je dirai même qu'ils vivent au grand jour, tous le monde sait qui est Benjamin Linus. Il loge dans des appartement privé rattachés au musée de la Louve dont il est le propriétaire."
"Le louve, c'est en rapport avec l'histoire de tableau ... allons y. Je repasserai ... merci pour les infos les tontons ^^"
Et yoichi s'en alla tout courrant vers le musée du Louve, il lui fallait des infos, sur l'endroit le lieu, les sécurité, c'est qu'il allait rencontrer de vieux amis pour se faire payer son dut ... il les avait quand meme amener loin a l'exam Hunter et n'avait été lié qu'a la mort de 2 capos ... pas grand chose a vrai dire ...
"Kufufufufu je vais me marrer vraiment Kufufufufuf fufufu fufufufufu"
Il n'en pouvait plus avoir de nouveau un objectif le faisait retomber dans ses travers mais surtout, pouvoir emmerder encore une fois les mafieux lui mettait du baume au coeur .... le pauvre il ne savait pas vers quoi il allait. le fou n'avait qu'une chose en tete ou plutot un nom : benjamin Linus ...
Quote: | [Je t'envoi une sub avec les éléments que je recherche dans le musée des demain] |
_________________ - Yoichi Fallenstar - |
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Sissel J Tengo Candidat
 Joined: 12 Feb 2012 Posts: 58 Location: Continent Yorubian, Enozama
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Posted: Mon Sep 17, 2012 11:20 am Post subject: |
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A peine arrivé a l’aéroport que Sissel se sentait déjà submerger par la ville de Sphinx, cette ville de style Egypte antique était déjà assez connu sans pour autant rappeler le fait que notre ami Tengo était antiquaire, il avait donc déjà pas mal d’idée sur le type de ville qu’était le Sphinx.
Une foule l’entourait, non pas qu’il était une star mais que l’endroit était bondé pour l’évènement en cours : la fête du bonbon. A cause de cette célébration le jeune homme avait du mal à ce déplacé au sein même de l’aéroport, mais après avoir bravé la marée humaine il arriva enfin au comptoir d’un des postes/agences d’information et de tourisme. Il interpela donc l’une des demoiselles.
« Bonjour, je souhaiterai avoir des informations sur le musée de la Louve s'il vous plait, ainsi que savoir où se trouve l’hôtel le plus proche de celle-ci. »
« Bonjour, Monsieur, Le musée de la louve est situé dans les quartiers Est de la ville. Il est considéré comme le troisième plus grand édifice de son genre, c'est vous dire.
Son directeur, monsieur Limburg a organisé une soirée très spéciale ce soir, il expose toute les peintures de Passo Picablo avec en bonus l’œuvre du maitre que l'on croyait perdu et qui fut récemment retrouvé par le musée de la Louve.
Il y a deux hôtel situé à quelques dizaine de mètre du musée, le Luxor et le Aladin, ils sont tous les deux de type trois étoiles. », Dit-elle en montrant l’emplacement du musée ainsi que des hôtels.
« Merci bien, pourriez-vous me donner une carte de la ville ainsi que le numéro de l'hôtel Luxor ? Je souhaiterai prendre une chambre. Y a-t-il un stand de taxi à la sortie de l'aéroport ou bien un bus qui me permettrait se rejoindre l'hôtel ? »
La demoiselle appela alors une de ces collègues du stand voisin, celle-ci vint donc et expliqua la situation a notre bon Tengo, les bus sont bondés de touristes et les places se font donc rares à bord. Elle proposa donc une alternative : le taxi, avec évidemment la prise en charge de la réservation d’une chambre pour l’hôtel. Le service ici n’était pas à plaindre bien au contraire il était efficace. D’un oui de la tête, Sissel fit donc les démarches pour réserver sa chambre ainsi que pour obtenir son taxi avec l’aide des deux demoiselles après quelques minutes elles lui indiquèrent la sortie pour prendre son véhicule de transport. Le jeune homme entrain donc dans la voiture et celle-ci s’en alla donc. Très professionnel tout ça !
Une fois sur place, il paya son chauffeur et emmena sa valise dans le hall de l’établissement. Un membre du staff s’empressa pour récupérer le bien du monsieur et d’attendre qu’il finisse son check-in. Après quelques minutes il suivit Tengo dans l’ascenseur avant de lui ouvrir la porte de sa chambre et d’y déposer la valise, Sissel lui donna donc son pourboire bien mérité. Avec ces trois étoiles l’hôtel pouvait être fier de son service, mais passons aux choses sérieuse l’hôtel se trouver à dix minutes du musée et offrait une vue profitable en direction de celle-ci. Jowd, de son deuxième prénom, commanda un plat au room service avant de prendre une douche rapide le temps que quelqu’un vienne sonner à sa porte. Il dégusta ces pates carbonara rapidement avant de s’habiller et de redescendre. Prochaine destination : la Louve. _________________ Sissel J Tengo, "Un Brandy, un Cigare et mon argent je vous prie" |
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Alis Candidat
 Joined: 24 Apr 2012 Posts: 35
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Posted: Tue Sep 18, 2012 2:06 pm Post subject: |
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Le musée était bondé ; rien de surprenant avec l'annonce d'une telle exposition. Mais ça n'arrangeait pas l'affaire de notre jeune investigatrice, presque sans le sou, qui se serait bien faufiler en douce. Rien ne presse. Surtout, il lui fallait d'abord confirmer que cette contre-façon mêlait bien Limburgs à cette affaire. Et qui mieux qu'une vice directrice pour se mettre au courant des opérations de ce musée ? Bien sûr, le truand aura bien pris le soin de réclamer sa discrétion. Il fallait la jouer finement. Comme une touriste un peu trop curieuse, Alis approcha un des membres de l'équipe et s'exclama en apercevant une silhouette ombragé prêt du musée.
- « Woaw woaw woaw, c'est pas Lionel Limburgs que je vois là ? »
Si l'employé n'eut guère l'air de se soucier de la présence du dit Lionel Limburgs, il en fut tout autre de la vice directrice qui se retourna aussi sec.
- « Monsieur le directeur, je vous croyais dans votre bureau à travail... mais, il n'y a personne ?! », tonna t-elle en direction d'Alis.
- « Vous vous croyiez maline ? » houspilla t-elle à l'intention de notre reporter sans salaire - « Tout le monde est à cran avec cette exposition et puis... grrr dégagez de là vous nous gênez !! »
Et sans attendre, la vice directrice recommença à donner des ordres, jetant des regards semi inquiets, semi furieux à notre rouquine. À raison puisque cette dernière nous fit aussitôt une esclandre.
- « Excusez vous ! Excusez vous tout de suite !!! »
Alis tape du pied, crie et attire les regards. Un vrai scandale.
- « Vous pensez que j'ai sortis le nom de Limburgs au hasard ? Il est bien beau l'accueil. Quand je dirais à mon père comment vous m'avez traitée... c'était bien la peine de sortir le tapis rouge ! Vous n'aurez qu'à expliquer ça au directeur, il sera heureux d'entendre notre départ. Moi qui avais convaincu père de racheter la sorcière au comptoir pour mon anniversaire »
Interloquée, la vice directrice se retourne, puis regarde la jeune fille de haut en bas. Finalement elle pouffe de rire, ne se retenant qu'à grande peine, voir pas du tout. Si Alis avait peut être tardé à entrer dans son personnage, elle y était cette fois éperdument, le visage rouge de haine et la tempe veinée par cette rombière au regard répartiteur.
- « Acheter le tableau ? Mais mon enfant, cette œuvre n'est pas à vendre, c'est un musée ici, pas une vente aux enchère, tu comprends ? Et puis... sans vouloir te vexer, vu ton accoutrement et tes écarts de langages répétitifs, je doutes que tu viennes d'un milieu social suffisamment élevé pour que ton père puisse se permettre un achat de ce genre. Mais si tu veux absolument allé te plaindre au directeur, attend sagement ici, il sera présent pour la cérémonie de ce soir, peut-être daignera t-il t'accorder un peu d'attention. Il reste 4 heures à attendre »
Alis prend un tout autre air ; la posture droite, le regard un peu hautin.
- « Mon père me dit souvent ça aussi ; mais c'est mon frère qui récupérera l'affaire familiale, alors à quoi bon faire des efforts. Il n'empêche que vous n'êtes pas mon père ! Et que ça fait une réflexion de trop. Une œuvre d'art, ça ne s'achète pas, mais un musée ça se finance ; vous croyez qu'il vient là juste pour mes caprices ? On ne parle pas d'acheter certes, mais emprunter est la moindre des rétributions. Et les touches de Picablo s'accorde très bien avec mes vestes de chez Armani »
Alis boude l'histoire de deux secondes. Puis elle regarde sa montre, puis souffle. Puis recommence, encore et encore. Dans son rôle jusqu'au bout des ongles, la princesse retourne sa veste ; ses paroles sont sans saveurs, sans honnêteté, sans probité, comme une enfant pourri gâtée.
- « 4h c'est long quand même. Et mon père qui tarde... Je peux aller voir la sorcière au comptoir le temps qu'il arrive ? De toute façon, mon billet je l'aurais, alors maintenant ou plus tard... Allez, et j'excuserais votre méprise ! »
Alis se veut insistante, et particulièrement lourde au vue des préparations en cours ; et le résultat est celui escompté. La vice directrice lui tend son billet.
- « Oui, oui, c'est ça, c'est ça... tiens une entrée gratuite et décampe par contre je ne suis pas assistante sociale donc trouve toi des amis de ton âge »
Après l'avoir montré au vigile, Alis s'en dirige sitôt vers le tableau de Pablo Picasso. Première arrivée, première servie ; l'avantage de ne pas avoir suivie de guide. Seule deux, trois gus sont déjà présents et s'extasient devant la peinture. Alis n'est pas vraiment portée sur l'art, et même aujourd'hui elle se demande encore comment il pourrait en être autrement alors que la contrefaçon semble susciter autant d'admiration que l'originale. L'avoir en fond d'écran suffirait amplement, se fait-elle l'adage. Ce qui l'attire, c'est surtout les traces de nen. En pleine réflexion, elle se ronge l'ongle, prenant la pause du penseur. Rapidement, elle s'approche et touche la toile de son doigt ainsi humecté. Elle se fait d'ailleurs remarqué ; mais le but est atteins ; elle se contente d'acquiescer. Saisissant son appareil, elle passe son flash en mode lumière noire. Et la conclusion est que son empreinte est encore là. Pas de régénération. Ça écarte le nen de matérialisation, mais le mystère reste entier.
Son flash a en tout cas fais réagir un des touristes.
- « Alors, vous aussi vous avez le sentiment que ce tableau n'est pas le vrai ? »
La contrefaçon la liant trop à Justice, Alis préfère jouer les ignorantes.
- « Qu'est ce que vous y trouvez de louche ? C'est un grand musée, il y a bien du y avoir des vérifications ».
- « Pour les gens qui n'y connaissent rien sans doute mais pour un archéologue chevronné, c'est une toute autre affaire. Quand aux experts qui l'ont identifiés, on connaît la méthode employé par Mr Limbourg : il présente la véritable œuvre aux experts, la fait certifier puis une fois cela fait, il la remplace par une contrefaçon. Ensuite, il n'a plus qu'à revendre la vrai à un collectionneur appartenant à son cercle de relations. Cette affaire avait fait un grand bruit à l'époque, une certaine Justice avait dénoncé les méthodes de ce type mais en vain, Limbourg avait été blanchi et Justice traînée dans la boue. C'est dommage car si rien qu'une seule des personnes présentes au procès avait eut comme toi et moi la maîtrise du nen, ils auraient immédiatement compris la supercherie... »
Il sait pour le nen. Il croit en l'innocence de Justice. Visiblement, Alis semble considérer un peu plus son locuteur.
- « Et vous êtes ? ».
- « Armin Ben Ja, archéologue et hunter », déclare le vieil homme en dégainant sa carte.
Ce nom lui disait effectivement quelque chose.
- « Et puis-je savoir à qui ai-je l'honneur ? Ne soyez pas méfiante. Le monde des manieurs de nen est assez restreint aussi les nouveaux sont-ils toujours très vite repérés et font l'objet de toutes les attentions »
Ce n'est pas elle qui prétendra le contraire ; ça faisait même un peu trop. Elle s'expliquait encore mal ce qui la trahissait. Il était peut être tant de demander.
- « J'ai vu ça oui ; Millénaire, ça vous dit quelque chose ? J'ai eu ceux là sur le dos récemment. J'suis qu'une pauvre fille valdinguée dans l'univers du nen d'un coup de pied au cul, c'est peu de choses pour tant d'attention si vous voulez mon avis. M'enfin... Et vous les décelez comment ces nouveaux ? Sinon, je m'appelle Alis » ponctue-t-elle, telle une broutille.
- « Je pourrais me prétendre enquêtrice, mais avec ce tableau, ça a atteins, disons... un stade plus personnelle »
- « Ah millénaire... il s'agit d'un journal tenu par des utilisateurs de nen, ils enquêtent sur des affaires ayant un rapport avec le monde des hunters. Bien sur leurs journaux sont imprimés avec une encre combiné à du nen, ce qui signifie qu'une personne lambda ne verra qu'une feuille blanche là où toi et moi nous verrons un article de presse. Il arrive aussi qu'à la demande d'un client, ils fassent des enquêtes privées et lui fournissent en retour un article qui ne sera jamais publié. Bien sur, ces demande sont soumises à certaines règles très strictes et coûtent très cher. Ils ont pour réputation de ne publier que la vérité. Il y a pas mal de hunters qui aimeraient les coincer pour mettre fin au système, il faut dire que parfois ils jettent de sacrés pavés dans la mare »
Alis écoute attentivement ; patiemment serait le terme le plus exact. Visiblement elle attend quelque chose et sans détour le fait d'ailleurs remarquer.
- « Et ? »
J'y crois pas, il a zappé. Alis s'impatiente ; ça l'asticote même. Aussi est-elle un peu amère quand elle reprend.
- « Merci pour le petit cours, mais je rappelle que la question première, c'était comment vous avez su que je maîtrisais le nen ! Et ne me dites pas : "parce que je viens de vous le dire" ; je n'ai pas beaucoup d'humour »
- « Ah... ça... votre maître ne vous l'a pas expliqué ? Les personnes ne maîtrisant pas l'aura laissent continuellement échapper un mince filet de leur nen. En revanche ceux qui ont éveillé leur nen peuvent empêcher le phénomène et ainsi prolonger leur existence... entre autre. Mais visiblement, vous ne vous en êtes tenue qu'aux bases ».
Qu'aux bases, pas vraiment non. Mais on ne peut pas dire qu'elle ait été une élève modèle ; Tim et Todd en avaient peut être effectivement fais mention. Cela dis, elle ne s'expliquait toujours pas pourquoi Cymbale avait montré le chiffre 1000 à la rencontre si la réponse était si évidente. La raisonnement inverse alors ? La réciproque n'est pas vrai. Un utilisateur de nen peut cacher son aura ? Alis n'a pas le temps de se le faire confirmer, Armin est pour le moins bavard.
- « Mais concernant millenium vous disiez qu'ils étaient sur votre dos. Vous êtes donc rentré en contact avec eux ? Que diable pouvaient-ils vous vouloir ? »
- « J'en sais trop rien. J'ai trouvé ça louche aussi. Mais de premières infos doivent déjà m'attendre bien au chaud chez moi ; rien ne presse. Ça n'est pas le cas de cette peinture. Si je dois dévoiler l'imposture, le mieux est encore que je confronte la vrai à la fausse. Et si comme vous dites, Limburgs cherche à la revendre, j'ai tout intérêt à savoir où, quand et comment, avant d'avoir à me préoccuper de ces gens du Millénium ».
- « Vous comptez vous attaquer à ce Limbourg ? Hé bien, vous ne manquez pas de cran petite... pour être honnête, ce type là est la honte la communauté des archéologue, il utilise son statut de hunter pour se remplir les poches. Bon... écoutez, ici à Sphinx le seul hunter capable d'intéresser Millenium c'est ce Limbourg mais depuis qu'il s'est fait blanchir suite à son procès contre "Justice", il s'est racheté une conduite. Vous connaissez cette reporter mystérieuse, c'était un modèle autrefois. personnellement je crois encore en elle mais ce n'est plus le cas de beaucoup. En gros tout le monde pense que si Justice s'est trompée, c'est que Limbourg est vraiment innocent. Si vous voulez vraiment vous attaquer à ce Limbourg, je vous conseille plus que vivement de vous rapprocher de ces journalistes. Je ne vous dit pas qu'ils sont des gens biens, ils sont simplement neutres et ne prennent que le parti de la vérité. Leur aide vous sera précieuse pour attraper un poisson aussi gros que cet escroc ».
Devait-elle remettre ses priorités ? À vrai dire trouver un journal qui puisse la publier à nouveau était l'une d'entre elles ; mais la manière du Millénium n'était pas la sienne. Cette dernière ne lui avait pas réussi par ailleurs ; peut être était-il tant d'en changer ? Alors que Armin achevait son discours, une musique se mit à retentir, des bruits de voix parvenait à nos deux interlocuteurs depuis le hall où la foule de visiteur se pressaient.
- « Tiens, la cérémonie aurait-elle déjà commencé ? Mais... il avait dit que ça démarrerait dans 4 heures »
C'est alors que des cris résonnèrent... _________________ Alis |
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Léo Candidat
 Joined: 10 Feb 2012 Posts: 40
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Posted: Tue Sep 18, 2012 11:43 pm Post subject: |
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L'enigme s'épaississait.
Apres un bref regard sur les indices, Léo avait du s'esquiver tant la foule qui se pressait pour les voir était importante, et surtout virulente. Si il restait la, nul doute que quelques coups allaient pleuvoir, et notre héro n'avait pas envie de se battre.
Apres tous, maintenant qu'il savait que le nen existait, il se pouvait que plusieurs de ces gens maitrisaient ce pouvoir capable de se manifester sous des tres nombreuses formes.
Le nen avait beaucoup appris a notre héro, mais lui faisait peur aussi. Un pouvoir dont il ne soupconnait meme pas l existence quelques mois auparavant, capable de donner aux gens des capacitées surhumaines, capable de faire apparaitre des chose, d'en manipuler d'autres, voir meme d'en transformer. Tous pouvait etre nen. Le fait de ne pas tous savoir sur cette force et de ne pas connaitre toutes les applications qui pouvaient en etre fait terrorrisait Léo. Il en était conscient, il n'en connaissait qu'une infime partie.
Pour ca, notre héros se méfiait maintenant encore plus de ses adversaires en combat. Nul doute qu au fur et a mesure ou il s approcherait des hunters et de leur vie, il allait rencontrer de plus en plus de personnes maitrisant a differents degrés le nen.
Pour l instant, il choisissait donc de se méfier et d eviter les foules denses.
C est avec un apercu des indices donc que le garcon se dirigea vers un maitre chocolatier, et ce qu'il y appris ne fit pas beaucoup avancer le cheminement intellectuel du garcon.
" Donc .... un chocolat industriel ... un rouage qui pourrait venir d'une machine ... La logique voudrait qu'on aille vers une usine, surement celle ou est fabriqué ce chocolat mais bon chai pas, c est trop facile ... en tous cas ca pue cette "chasse au tresor" "
Ils avaient été nombreux a se lancer sur la quete du bonbon légendaire. L'ado se demandait si les autres avaient été jusque la plus chanceux.
Retournant dans la rue, le garcon décida donc de laisser trainer ses oreilles en flanant dans le quartier des artisans, cherchant qui parmis les gens de la foule participait a la chasse au bonbon.
Puis repassant en mode parano, Léo chercha un endroit tranquille ou sortir de son sac son amie de toujours. _________________ Léo Vesper
It's time to kick ass and chew bubble gum, but i'm outta gum |
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Men NeN Site Admin
 Joined: 15 Feb 2012 Posts: 684
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Posted: Wed Sep 19, 2012 7:18 am Post subject: |
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Sissel
A peine arrivé à l’hôtel et installé confortablement, notre héros se dirigea vers le musée faisant fit de la piscine qui était ouverte jusqu’à 22 heures. Il escalada les marche de l’impressionnante bâtisse pénétra dans le hall avec à ses talons toute une délégation de personnalités qui d’un pas lent et festif empruntait un long tapis rouge apparemment prévu pour elles.
Une quadragénaire habillé strict croisa d’un pas rapide le chemin de notre blond aux lunettes tendances. Elle semblait perturbée par la venu du groupe et qui plus est très stressé.
« Messieurs, je ne vous attendais pas si tôt dans la soirée. »
« Pardonnez nous chère ami, nous ne pouvions plus refréner notre impatience, j’ai dû céder et nous voici. »
t« Armand, vil menteur, c’est vous qui nous avez tous convaincu de venir plus ôt ^^ »
« Vanda, vile délatrice, vous m’avez vendu. » Répondit en souriant le dénommé Armand.
« Mais… » Fit la quadragénaire. « Je n’ai pas encore eut le temps de mettre en place les dispositifs de sécurités pour votre venu, je… »
« Allons, allons, qu’est-ce qu’il pourrait bien se passer, une révolution ? Nous ne craignons rien voyons, ce n’est qu’un musée madame la vice directrice. » Déclara la dénommé Vanda
« Bien euh… alors veuillez me suivre. » Renonça la quadragénaire apparemment vice directrice de son état. « Mais, Mr Limbourg est encore dans son bureau. »
Le groupe fut alors invité à entrer par une voie spéciale apparemment inaccessible au commun des mortels et commença à progresser à l’intérieur du musée. Sissel quand à lui avait acheté un billet pour entrer par la voie standard. Un gardien contrôla son billet et il pénétra à son tour dans le musée, il fit quelque pas et puis…
Yochi
Notre adolescent en camisole fit donc route vers le musée et après avoir fait un tour, il put constater qu’avec quelques acrobaties, il pouvait aisément pénétrer dans les appartements par l’extérieur. En revanche, en entrant dans le hall du musée, il constata que c’était une autre paire de manche, caméra, gardien et portes avec digicode rendaient les accès plus compliqué.
La meilleur solution se trouvait de passer par les extérieurs d’autant que pour aller plus loin en passant par le musée, il fallait acheter un billet. Or il n’avait pas d’argent et son accoutrement ne semblait pas du goût des gardiens qui le fixaient sévèrement.
C’est alors que…
Yochi, Sissel et Alis
Alors que nos deux héros étaient à présent au sein du musée, que Yochi se trouvait dans le hall d’entrée et que la foule se pressait autour du groupe de personnalités fraîchement débarqués. La nuit entamait sa conquête du jour, évinçant le soleil et ses rayons brulant au profit de la lune et de ses reflets argentés.
A l’extérieur, Yochi vit quatre hommes serrer des foulards autour de leur tête tout en montant les marches. Puis ils dégainèrent des armes et les pointèrent vers les gardiens et la foule en hurlant. Les touristes dans le hall se mirent à crier et à courir entrainant avec eux, Yochi qui fut poussé jusqu’à l’intérieur du musée.
Alors qu’il était porté par la marée humaine, il vit apparaître petit à petit d’autres types portant également un bandeau à la tête sortis de nulle part. Au total, le groupe composé d’une vingtaine de personnes se mit à investir les lieux.
Depuis leur position, Sissel et Alis virent un groupe de vingt personnes entrer en pointant leurs armes sur les gardiens. Tous portaient un foulard enroulé autour de la tête. Certains tenaient en laisse des chiens à l’aspect peu amicale.
« Couchez-vous, à terre bande de chiens ! A terre !! » Ordonna celui qui semblait mener le groupe.
Aussitôt dit aussi tôt fait, les personnes présentes dans la salle se mirent toutes à terre en tremblants et/ou en gémissant de peur. Au milieu du chaos, Yochi, Sissel et Alis visiblement victimes d’une prise d’otage des plus inattendu puisque rappelons le, nous étions dans un musée ^____^
« Je suis Lawence, chef des Anoubis ! Vous êtes tous mes otages à présent. Il y a dans cette salle une personne portant le nom de Vanda Somerhald, où est-elle ?!! »
Un long silence s’en suivit.
L’homme tira sur l’otage le plus proche, lui explosant ainsi la caboche, il s’écroula raide mort juste à coté de Sissel. Le chef des Anoubis continua de marcher.
« Apparemment, je ne e suis pas bien fait entendre : où est Vanda Somerhald ?!! »
Nouveau silence. L’homme abattit alors une seconde personne.
« Où est Vanda… »
« C’est moi ! » S’écria alors une femme debout au milieu de la foule.
« Bien… voila qui est mieux. On m’a affirmé que vous connaissiez bien Monsieur, Limbourg, vous allez accompagner certain de mes hommes jusqu’à sa cachette et e le ramener, aller !! »
La femme fut emmené par quatre hommes et deux molosse, elle leur indiqua de monter les escaliers puis ils disparurent à l’étage. Pendant ce temps plusieurs autres hommes posèrent des sacs sur le sol et commencèrent à en extraire du matériel informatique, des câbles et des boites noires qu’ils relièrent peu à peu ensemble.
Le reste des membres d’Anoubis continuaient à maintenir en respect l’assistance. Armin profitant du calme revenu se tourna vers Alis pour lui chuchoter son avis sur la question.
« Vous avez vu, il n’y a qu’une poignée d’entre eux qui sont de véritables humains, les autres sont tous des créatures de nen, j’en ai compté 12 dont deux qui sont monté avec cette Vanda. Quelqu’un doit les contrôler ais je ne vois pas qui.
Dans l’assistance, il n’y a que trois manieurs de nen. Le blondinet aux lunettes noires, le mec avec une camisole mais ils sont retenus en Otage. Ce pourrait être leur chef le chef des Anoubis mais rien n’est sur… »
Une prise d’otage, des manieurs de nen… voila qui promettait bien des péripéties.
[Hrp : Et voila le plan.
En rouge Alis, en bleu Armin, en violet Yochi, en ers Sissel, en orange le chef des Anoubis, en marron les chiens et en gris les autres terroristes.
Les rectangles sur les murs sont des fenetres.
Voila pour d’autres precisions : mp ^___^]
Léo
Notre jeune gourmet abandonna la place pour se mettre en quête d’une usine, de concert, ses deux suivant se mirent à marcher à sa suite en conservant une bonne distance. Pourtant, il n’était pas bien difficile de remarquer qu’ils suivaient Léo.
Au aguets mais sans plus, Léo extirpa son épée étrange puis continua ses recherches interrogeant de temps à autres des artisans qui lui indiquèrent tous la même direction. Il finit donc par atterrir en dehors du centre ville, dans la périphérie de la ville de Sphinx, devant les portes closes de l’usine Milkyfun.
Le Bâtiment fermé à l’occasion de la fête du chocolat était constitué de la manière suivante : Un mur d’enceinte en béton de deux mètre de haut ceinturant un grand bâtiment, l’usine, actuellement en veille.
Il n’y avait qu’une entrée soit deux porte en fer, closes surmonté chacune d’une caméra filmant ceux qui les franchissaient. Léo encore à bonne distance, n‘était pas dans le champ des caméras, derrière lui à une dizaine de mètre les deux gus attendaient de voir ce qu’il comptait faire apparemment.
C’est alors que des bruits parvinrent de l’intérieur des bâtiments, il y avait un mélange de bruit de voix et de chocs métalliques, on aurait put supputer qu’une bagarre avait lieu à l’intérieur.
Parmi les voix, il y en eut une que notre gourmet put reconnaître entre mille, celle de la fille en parka.
« Hey, on dirait qu’on est pas les premiers, suivre ce gosse était le bon plan maintenant, il est temps d’agir sinon le bonbon va nous passer sous le nez. »
« Oe… Allons-y »
Et de concert, nos deux lascar commencèrent à avancer vers l’usine. _________________ Men Nen pour nous les hunter ! |
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Yoichi Fallenstar Hunter
 Joined: 19 Feb 2012 Posts: 52 Location: Avec des gens ... Exam Hunter
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Posted: Tue Sep 25, 2012 9:41 am Post subject: |
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Des ennuis ... voila dans quoi Yoichi était ... de gros ennuis et il ne pouvait pas les résoudre pas seul, alors comme tout a chacun, il scruta la salle, qu'elle ne fut pas sa reaction en voyant Alis ... un sourire se mut sur son visage a ce moment précis. Sourire qui ne resta pas, il pouvait voir hormis l'"ami" d'Alis deux autres manieurs, un semblait etre le chef et le dernier un otage.
... cela voulait également dire que si il pouvait les repérer eux aussi et que les coups fourrés n'étaient pas, vraiment pas possible. Il fallait donc agir, et tout le matériel informatique inquiétait le gamin, n'en connaissant pas assez, il se demander si il devait laisser faire ou s'attaquer a des ennemis en surnombre .
L'esprit du gamin tournait a toute vitesse, le Musée était ampli de fenetre, impossible de faire quoi que ce soit pour assombrir cet endroit. Il devait agir, et il n'était pas en position de se carapater. Il n'était pas en position de faire beaucoup de dégat. et il ne savait pas ce qu'avait prévu ces gars pour la suite alors .... autant s'y préparer.
Yoichi souri interieurement, la notion de bien et de mal inculqué par Alis commencait a faire son bonhomme de chemin, le capturer voila qui était mal, les tuer pour se venger ... c'est bien nan ?
Quote: | [dsl c'est court mais .... bah pas grand chose a dire] |
_________________ - Yoichi Fallenstar - |
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Sissel J Tengo Candidat
 Joined: 12 Feb 2012 Posts: 58 Location: Continent Yorubian, Enozama
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Posted: Tue Sep 25, 2012 10:57 am Post subject: |
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Lui qui était venu pour trouver des réponses sur sa recherche ne trouva que des problèmes. La raison pour venir dans la ville de Sphinx et plus précisément au musée de la Louve étaient la suivante : retrouver deux personnes. Sissel souhaitait entrer en contact avec deux personnes du milieu archéologique, ceux-ci n’était autre que Vanda Somerhald une célèbre historienne spécialiste de la civilisation Oka et Lionel Limburg le directeur de la Louve mais ne rentrons pas dans les détails tout de suite pour le bien de l’histoire.
Donc après être entré dans le musée, une prise d’otage eut lieu à la grande surprise de tout le monde les assaillants réclamèrent une certaine « Vanda Somerhald» ce qui fit tilter notre blond favoris, il resta calme et lorsque celle-ci sorti du lot Sissel pu enfin voir à quoi ressemblait l’historienne. La personne en mémoire il se disait qu’il pourrait toujours la retrouver mais l’emmener à l’écart du groupe pouvait sous-entendre de gros risque.
La situation était dangereuse il fallait rester calme et l’analyser. Tengo observa donc les lieux de gauche à droite il remarqua quelques personnes qui sortaient du lot. Tout d’abord un jeune homme avec une camisole, le chef de ces terroristes « Anoubis » prénommer Lawrence, en fond de salle une demoiselle ainsi qu’un vieil homme a ces cotés et en dernier une personne se situant dans l’aile gauche du musée.
S’il pouvait les voir eux aussi l’auraient remarqué cela le mettait encore plus en danger. Il continua son observation et vit les différentes fenêtres, la plus proche de lui était celle d’en face. Allait-il tenter quelque chose ou bien attendre la suite des évènements ?
Quote: | [Pas grand chose a dire non plus =/ ] |
_________________ Sissel J Tengo, "Un Brandy, un Cigare et mon argent je vous prie" |
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Léo Candidat
 Joined: 10 Feb 2012 Posts: 40
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Posted: Wed Sep 26, 2012 12:32 am Post subject: |
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Ne sachant pas trop ou aller, Léo s'était depuis le début de cette aventure laissé guidé que par son instinct. Il avait choisit de suivre une piste au tous début, et n'avait ensuite pas bifurqué. C'était son truc, sa marque de fabrique. Léo vivait par ses obsessions. Dans sa vie, quand il commenceait un truc, il le finissait.
Arrivé dans cette ville sans aucun véritable but ( du moins aucun véritable but avouable ), il tentait depuis de rechercher une personne qu'il souhaitait revoir. Apres tous, ou avait on le plus de chance de trouver un hunter gourmet si ce n'était a une fete mettant en valeur un produit culinaire ??? Cette fete du chocolat était donc l endroit tous désigné pour revoir Maria.
C'est ainsi que depuis quelques heures notre héros arpentait les rues d'une vivant au rythme du chocolat. Ce n'était pas non plus pour lui déplaire. Le garcon était un adolescent comme beaucoup d'autres, qui malgré une corpulence plus proche du maigre que du gros était un fan inconditionnel de cette sucrerie.
Et c'est dans ces rues qu'il avait trouvé une mini quete qui d'apres lui le rapprocherait potentiellement de son objectif.
Et quelle ne fut pas sa surprise quand il entendit cette voix. Car en effet, dans sa tete retrouver Maria pendant qu'il cherchait le légendaire chocolat relevait du fantasme pur et simple. Il s'etait imaginé une quete au cours de laquelle, comme dans nombre des jeux videos auxquels il avait la encore comme tout ado longuement joué, il tomberait par un hasard propre a ce type de jeu sur LE personnage qu'il recherchait.
Et la, derriere ce mur parmis les bruits metalliques qui rappellaient ceux d'un combat, cette voix était parvenue aux oreilles du garcon.
Lui qui suivit depuis un moment par 2 mecs qu'il avait repéré tant la discretion était leur fort, avait suivit la petite piste qu'il s'était trouvé. Cette piste qui l'amenait devant une usine de fabrication de chocolat, usine qui aux dires des artisans locaux fabriquait un chocolat industriel de qualité inférieure.
Mais apres tous, c'était logique. Si Maria était vraiment en ville, elle participait forcement a la chasse au bonbon mystere. Et son enquete l'avait surement amener au meme point que Léo, avec malgré tous visiblement un peu d'avance, cette derniere se trouvant déja a l interieure de l'enceinte de l'usine. Il fallait qu'il entre. Il fallait qu'il sache ce qui se passait. Il fallait qu'il voit si la demoiselle était en danger.
Il semblait n'y avoir qu'une seule entrée a l'usine, du moins c'était la seule que Léo voyait, et bien sur, composée d'une lourde porte en fer, elle était fermée et surveillée d'une caméra.
Cependant, le mur d'enceinte était relativement bas vu que mesurant 2metres.
Prenant en main son épée, et vérifiant qu'elle était prete au combat, Léo s'élanca donc a la suite des 2 guignols en direction de l'usine, pret a en découdre. _________________ Léo Vesper
It's time to kick ass and chew bubble gum, but i'm outta gum |
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Alis Candidat
 Joined: 24 Apr 2012 Posts: 35
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Posted: Wed Sep 26, 2012 10:16 am Post subject: |
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Pris en otage par dix créatures de nen et leur créateur inconnu, c'était le tableau profilé par Armin, un tableau bien moins noir que ceux entrevus par Alis qui jugeait du même coup sa nouvelle connaissance d'un air dubitatif. Selon la logique de l'archéologue, le manieur serait - ou le blond - ou le gars à la camisole, ça lui faisait penser à quelqu'un tiens ; mais Yoichi était dans un bar bien loin de tout ça - ou le chef des Anoubis ? Un décompte qui ne seyait guère à notre journaliste et qu'elle n'attendit pas pour réfuter... à sa manière.
- « Ça pourrait être moi », rétorqua-t-elle d'un ton assez neutre.
Armin eut d'abord le sourire crispé à cet aveu, souhaitant sans doute y voir une touche d'humour ; mais il déchantât vite devant le flegme de notre rouquine.
- « Après tout, les malfrats semblent tenir de l'animosité contre ce Limburgs ; et je vous ai déjà avoué la mienne »
La tension est palpable ; Alis prend même des pauses entre chaque phrase alourdissant l'ambiance déjà peu agréable d'une prise d'otages. À l'écoute, Armin boit littéralement ses paroles. On n'aurait pas tord de penser que la situation amuse alors notre rouquine ; cette inversion des rôles, elle l'hunter et lui le novice. Elle reste en tout cas sérieuse dans le sien et prend progressivement un ton plus froid.
- « Remarquez, ça pourrait être aussi vous »
Yeux mauvais, la raison s'amène, et on y voit plus clair ; Alis doute de notre bonhomme. Celui là même qui critiquait Limburg il y a peu, a toutes les raisons de participer à cette mise en scène. Les mêmes que les siennes, en fait, mais à lui, elle ne connaît pas encore ses extrêmes.
- « Armin, je m'excuse d'avance si je me trompe, mais je vais vous demander d'utiliser votre zetsu »
Le message est clair ! Si il en est le propriétaire, son zetsu devrait faire revenir à lui ses créatures. Une semonce déguisée en supplique ; c'est demander poliment, mais le regard d'Alis en dit long, c'est tout sauf de la courtoisie ! De même, l'archéologue regarde maintenant la rouquine d'un nouvel air ; lui aussi aura appris de cette dernière visiblement.
- « Je... je vous fais confiance ». Ou pas.
- « J'accepte de me mettre en zetsu mais en retour, faites de même juste après. Ainsi il n'y aura plus aucun mal entendu entre nous, d'autant que vous me mettez subitement le doute »
Il s'exécute avec le doigté de l'expérimenté et les créatures de nen sont toujours là. Enfin une bonne nouvelle ! La rouquine prend une sacré bouffée d'air. Même si elle ne le montrait, elle était visiblement plus angoissée que l'archéologue. Aussi après s'être essuyé ses quelques sueurs froides, elle aborde Armin avec le sourire du soulagé ; pour cette raison et sans doute aussi pour le remettre en confiance.
- « Je m'excuse encore. Je ne m'expliquais pas comment les malfrats avaient pu tomber à point nommé alors que cette Vanda était de quatre heures en avance. Ma seule déduction était le complice déjà présent, et j'ai tout de suite envisagé le pire. Tout semble si terrifiant une fois qu'on a découvert le nen »
En tout cas, il avait céder bon gré, malgré. À elle de tenir parole. Yeux fermés, bras écartés, tête relevé, Alis prend une profonde inspiration et son aura regagne progressivement ses shokos. Tout ça manque d'entraînement, mais il faut bien avouer que l'état de zetsu n'est pas vraiment la technique qui la tranquillise le plus. La paupière droite qui se réouvre périodiquement et d'ailleurs là pour trahir encore une certaine inquiétude. Néanmoins, elle accorde à Armin un bon 85C (quatre vingt cinq pour cent de confiance à l’échelle d'Alis).
- « Enfin, je suis ravie d'avoir un confrère plus expérimentée dans ce barda. Dites... vous pouvez m'expliquez comment vous vous y prenez pour distinguer les clones des autres. On ne sait jamais, si la situation nous amène à être séparer... »
- « Oui, ceci est très étrange en effet. Il doit y avoir une explication mais laquelle. Pour les hommes de nen, c'est grâce au Gyo... mais ce n'est pas l'heure pour un cour de nen. Si on s'en sort, je vous apprendrais cela mais bon... »
- « Oui, enfin, c'est tout de même maintenant que j'en aurais eu besoin » rumine-t-elle sous cape.
Tant pis, elle fait avec les moyens du bord et se les fait donc signaler tour à tour par l'archéologue. Pas héroïne pour un sou, Alis souhaite s'éclipser ; elle est journaliste, pas gendarme, et la seule chose qui la préoccupe actuellement c'est ce que ces malfrats vont faire de son Limburgs. Ils ne vont tout de même pas lui abattre sa proie ? Elle a encore sa réputation à laver elle. Et puis même, ils ont eu ce qu'ils voulaient ; la situation devrait donc être calme au rez de chaussée. La seule chose qui lui taraude donc vraiment l'esprit, c'est comment rejoindre discrètement les escaliers ; y a quand même seize bonhommes et deux chiens. Dix huit paire de yeux. Dix matérialisés certes, mais dix huit quand même. Dix matérialisés... Dix qui bougent et surveillent, et tout ça en même temps, c'est quand même un sacré nen ! Ou ça craint vraiment, ou y a anguille sous roche. Ça taraude Alis.
- « …allez, osons »
Vérifiant bien que ni Lawrence, ni aucun autres de ces malfrats humains, ne regardent dans sa direction, Alis interpelle discrètement une des poupée de nen : - « Hep ! Toi là, le pantin, hep ! » et agite sa main alors qu'il lui fait face ; mais le soldat continue à balayer la salle d'un regard parfaitement inerte. L'hypothèse se confirme.
- « Nullement besoin d'avoir des oreilles et des yeux partout si tu peux le prétendre... c'est bien vu pour de la matérialisation, je n'aurais pas pensé mieux ». _________________ Alis |
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